Ses critiques
11 critiques
7/10
Une pièce intéressante, très bien portée. Amaury de Crayencour est étincelant, Matyas Simon très convaincant (déçu de ne pas avoir vu Benoît Solès...).
Malheureusement quelques longueurs viennent alourdir un spectacle autrement assez bien huilé.
Ca crie un peu trop à mon goût, et ça ça dénature par moments les émotions.
Il y a un côté un peu trop linéaire, on ne surprend pas vraiment le spectateur.
En bref, bon spectacle, mais un peu surcoté
Malheureusement quelques longueurs viennent alourdir un spectacle autrement assez bien huilé.
Ca crie un peu trop à mon goût, et ça ça dénature par moments les émotions.
Il y a un côté un peu trop linéaire, on ne surprend pas vraiment le spectateur.
En bref, bon spectacle, mais un peu surcoté
1,5/10
Ce n'est pas du théâtre.
C''est une espèce de farce grossière et vulgaire.
Les dialogues sont d'une pauvreté rare.
On se noie dans toutes les caricatures imaginables.
Rien à sauver dans ce spectacle, mis à part peut-être le concept de l'interactivité avec le public qui aurait pu s'avérer judicieuse avec un "vrai" texte.
C''est une espèce de farce grossière et vulgaire.
Les dialogues sont d'une pauvreté rare.
On se noie dans toutes les caricatures imaginables.
Rien à sauver dans ce spectacle, mis à part peut-être le concept de l'interactivité avec le public qui aurait pu s'avérer judicieuse avec un "vrai" texte.
6,5/10
J'avais beaucoup (trop) d'attentes vis à vis de ce spectacle.
On l'a porté aux nues comme jamais, et... j'ai été très déçu.
On passe un bon moment, attention.
Les situations face à la maladie paraissent très réalistes.
Mais la pièce est linéaire, on n'est jamais surpris, tout est attendu, voire prévisible.
Les comédiens sont bons (Arthur Dupont et Charlie Bruneau), mais je n'ai pas cru à la construction de cette histoire d'amour, et donc je n'ai pas cru à la force de cette relation. Ca m'a semblé très artificiel, des émotions souvent factices...
Je me dis qu'avec Marie-Julie Baup et Thierry Lopez, je n'aurais pas forcément eu le même ressenti.
L'investissement des créateurs doit jouer pour beaucoup dans la qualité du spectacle.
En résumé, très surcôté.
On l'a porté aux nues comme jamais, et... j'ai été très déçu.
On passe un bon moment, attention.
Les situations face à la maladie paraissent très réalistes.
Mais la pièce est linéaire, on n'est jamais surpris, tout est attendu, voire prévisible.
Les comédiens sont bons (Arthur Dupont et Charlie Bruneau), mais je n'ai pas cru à la construction de cette histoire d'amour, et donc je n'ai pas cru à la force de cette relation. Ca m'a semblé très artificiel, des émotions souvent factices...
Je me dis qu'avec Marie-Julie Baup et Thierry Lopez, je n'aurais pas forcément eu le même ressenti.
L'investissement des créateurs doit jouer pour beaucoup dans la qualité du spectacle.
En résumé, très surcôté.
6,5/10
Je m'attendais à (beaucoup) mieux.
N'est pas Michalik qui veut, et revisiter l'histoire en y ajoutant sa patte, c'est une entreprise bien délicate.
Une idée intéressante, intelligente, mais des dialogues inégaux, un propos de départ qui s'égare et sert de prétexte à l'histoire dans l'Histoire, dont le traitement manque de panache.
Jean-Philippe Daguere, m'a bluffé, scotché à mon siège avec le brillant Adieu Mr Haffmann, là il me laisse dubitatif. Ce n'est pas mauvais, loin de là, mais simplement pas à sa mesure. Un rythme inégal, des ficelles trop évidentes, on tombe dans certains clichés, certaines banalités, on enfonce des portes déjà bien ouvertes. Et paradoxalement, parfois, on se surprend à apprécier une certaine finesse.
Un manque de travail ? Je ne sais pas.
Malgré tout ça, un décor sympathique et ingénieux, un Stéphane Dauch très charismatique qui endosse le rôle le plus difficile à endosser avec brio. Le reste de la distribution est un peu inégal. Le jeu de Geoffrey Palisse manque cruellement de nuances (formatage Cours Florent sans doute). Dommage car il a une très belle énergie.
Un très bel esprit de troupe contribue en partie à rattraper les défauts de ce spectacle, dont les acteurs inspirent tout de même beaucoup de sympathie.
Bref, vous l'aurez compris, une expérience mitigée.
N'est pas Michalik qui veut, et revisiter l'histoire en y ajoutant sa patte, c'est une entreprise bien délicate.
Une idée intéressante, intelligente, mais des dialogues inégaux, un propos de départ qui s'égare et sert de prétexte à l'histoire dans l'Histoire, dont le traitement manque de panache.
Jean-Philippe Daguere, m'a bluffé, scotché à mon siège avec le brillant Adieu Mr Haffmann, là il me laisse dubitatif. Ce n'est pas mauvais, loin de là, mais simplement pas à sa mesure. Un rythme inégal, des ficelles trop évidentes, on tombe dans certains clichés, certaines banalités, on enfonce des portes déjà bien ouvertes. Et paradoxalement, parfois, on se surprend à apprécier une certaine finesse.
Un manque de travail ? Je ne sais pas.
Malgré tout ça, un décor sympathique et ingénieux, un Stéphane Dauch très charismatique qui endosse le rôle le plus difficile à endosser avec brio. Le reste de la distribution est un peu inégal. Le jeu de Geoffrey Palisse manque cruellement de nuances (formatage Cours Florent sans doute). Dommage car il a une très belle énergie.
Un très bel esprit de troupe contribue en partie à rattraper les défauts de ce spectacle, dont les acteurs inspirent tout de même beaucoup de sympathie.
Bref, vous l'aurez compris, une expérience mitigée.
9/10
Un grand classique, une belle claque, mais...
Une entrée triomphale qui vous prend aux tripes, ça commence très très fort.
C'est bien ficelé, les décors et les costumes sont extraordinaires, les chanteurs incroyables.
Quelques petites longueurs cependant, avant et après l'entracte. Dommage...
Une entrée triomphale qui vous prend aux tripes, ça commence très très fort.
C'est bien ficelé, les décors et les costumes sont extraordinaires, les chanteurs incroyables.
Quelques petites longueurs cependant, avant et après l'entracte. Dommage...