Ses critiques
272 critiques
9/10
Parlons d'autre chose est une très belle pièce de théâtre.
Léonore Confino nous livre avec justesse les préoccupations de l'adolescence et de la jeunesse. De la difficulté à être une femme, à celle de trouver l'amour et de savoir quelle place ces ados auront dans la société.
Ces préoccupations, tangibles et réelles me font penser à mes propres réflexions au même âge.
Catherine Schaub, par sa mise en scène, n'émousse en aucun cas ce texte. Au contraire, ses chorégraphies, sa précision et son minimalisme poussent et illustrent le propos.
Les acteurs sont bons, très bons.
Rien à redire, à aller voir d'urgence !
Léonore Confino nous livre avec justesse les préoccupations de l'adolescence et de la jeunesse. De la difficulté à être une femme, à celle de trouver l'amour et de savoir quelle place ces ados auront dans la société.
Ces préoccupations, tangibles et réelles me font penser à mes propres réflexions au même âge.
Catherine Schaub, par sa mise en scène, n'émousse en aucun cas ce texte. Au contraire, ses chorégraphies, sa précision et son minimalisme poussent et illustrent le propos.
Les acteurs sont bons, très bons.
Rien à redire, à aller voir d'urgence !
4,5/10
Folle Amanda est une pièce qui m'a parue longue.
L'histoire est plutôt sympa mais malheureusement le texte manque d'humour et de finesse. Les quelques quiproquos intéressants sont pressentis et, du coup, tombent à plat.
J'ai passé deux heures à m'ennuyer. Les acteurs sont très bons mais je ne pense pas que la distribution soit appropriée. Michèle Bernier, ne convainc pas vraiment dans le rôle d'Amanda, femme fatale, vedette de Music-hall déchue. Arielle Dombasle est étonnamment convaincante dans son rôle mais aurait magnifié celui d'Amanda.
Une pièce qui manque cruellement de consistance.
L'histoire est plutôt sympa mais malheureusement le texte manque d'humour et de finesse. Les quelques quiproquos intéressants sont pressentis et, du coup, tombent à plat.
J'ai passé deux heures à m'ennuyer. Les acteurs sont très bons mais je ne pense pas que la distribution soit appropriée. Michèle Bernier, ne convainc pas vraiment dans le rôle d'Amanda, femme fatale, vedette de Music-hall déchue. Arielle Dombasle est étonnamment convaincante dans son rôle mais aurait magnifié celui d'Amanda.
Une pièce qui manque cruellement de consistance.
5,5/10
Ce spectacle ne m'a pas laissé indifférente.
J'ai apprécié la musique et ce que le (d)jazz peut nous faire... les émotions que la musique peut transmettre à notre corps.
J'aime beaucoup Jacques Gamblin et son rapport à la musique. Ses propos susurrés à nos oreilles et sa liberté de mouvement dans ce spectacle.
J'ai apprécié les fragments d'histoires qu'il nous offrait, mais paradoxalement j'ai été déçue par l'ensemble.
J'ai trouvé le spectacle long, trop long et les histoires d'apothéose (l'histoire d'amour par exemple) m'a laissé indifférente. La musique et les musiciens sont très bons et on a envie de les écouter et les suivre mais l'inconfort des fauteuils m'a gênée.
Jacques Gamblin est transporté mais il ne nous transporte pas avec lui. C'est dommage et ça rend le concert très moyen.
Dommage.
J'ai apprécié la musique et ce que le (d)jazz peut nous faire... les émotions que la musique peut transmettre à notre corps.
J'aime beaucoup Jacques Gamblin et son rapport à la musique. Ses propos susurrés à nos oreilles et sa liberté de mouvement dans ce spectacle.
J'ai apprécié les fragments d'histoires qu'il nous offrait, mais paradoxalement j'ai été déçue par l'ensemble.
J'ai trouvé le spectacle long, trop long et les histoires d'apothéose (l'histoire d'amour par exemple) m'a laissé indifférente. La musique et les musiciens sont très bons et on a envie de les écouter et les suivre mais l'inconfort des fauteuils m'a gênée.
Jacques Gamblin est transporté mais il ne nous transporte pas avec lui. C'est dommage et ça rend le concert très moyen.
Dommage.
7/10
Aglaé existe vraiment ! Cette information est plus qu'importante puisque tous les mots, gestes et intonations en deviennent justes, vrais et donc absolument subversifs.
Cette pièce s'amuse avec les codes et surtout joue avec les corps, celui de l'actrice transfigurée en prostituée mais aussi ceux des spectateurs. Ils sont invités à s'asseoir sur les côtés de la scène ou au centre sur des petits tabourets (très) peu confortables.
Claude Degliame, utilise les espaces entre les spectateurs, les coins de la salle, elle se balade entre les corps pour parler de sexe et de liberté. Et cette liberté se retrouve dans la tenue d'Aglaé, sa verve et sa non-conventionnalité.
Claude Degliame est parfaite pour ce rôle, elle est drôle, attendrissante et joue juste.
Une très jolie pièce, franche et crue qui ne laisse pas indifférent. Bien sûr, si vous êtes un peu pudique et que vous n'aimez pas ce genre et ces propos... ne venez pas, vous êtes prévenus !
Cette pièce s'amuse avec les codes et surtout joue avec les corps, celui de l'actrice transfigurée en prostituée mais aussi ceux des spectateurs. Ils sont invités à s'asseoir sur les côtés de la scène ou au centre sur des petits tabourets (très) peu confortables.
Claude Degliame, utilise les espaces entre les spectateurs, les coins de la salle, elle se balade entre les corps pour parler de sexe et de liberté. Et cette liberté se retrouve dans la tenue d'Aglaé, sa verve et sa non-conventionnalité.
Claude Degliame est parfaite pour ce rôle, elle est drôle, attendrissante et joue juste.
Une très jolie pièce, franche et crue qui ne laisse pas indifférent. Bien sûr, si vous êtes un peu pudique et que vous n'aimez pas ce genre et ces propos... ne venez pas, vous êtes prévenus !
4,5/10
Cette exposition est très décevante.
Les pièces qui sont de véritables œuvres d’art sont exposées les unes à côté des autres, presque sans lien. Le discours quasiment inexistant s’échine à montrer combien ces œuvres sont rares. Mais nous sommes au Quai Branly, et l’art africain est depuis longtemps reconnu comme art.
Pas besoin de ce discours là et cette exposition n’est pas intéressante pour cela. De réels sujets comme la figure du collectionneur, le choix de ses œuvres, comment elles font partie de sa maison. Ce sont ces choses-là que l’on aurait du nous montrer !
Le Quai Branly est clairement passé à côté de son sujet. L’exposition en devient vide, presque dénuée de sens.
Bons points pour la scénographie qui est épurée et fonctionnelle. Les cartels sont explicites et compréhensifs.
En somme, le Quai Branly s’est trompé dans le choix du discours. Nous espérions plus de lien et du sens.
Les pièces qui sont de véritables œuvres d’art sont exposées les unes à côté des autres, presque sans lien. Le discours quasiment inexistant s’échine à montrer combien ces œuvres sont rares. Mais nous sommes au Quai Branly, et l’art africain est depuis longtemps reconnu comme art.
Pas besoin de ce discours là et cette exposition n’est pas intéressante pour cela. De réels sujets comme la figure du collectionneur, le choix de ses œuvres, comment elles font partie de sa maison. Ce sont ces choses-là que l’on aurait du nous montrer !
Le Quai Branly est clairement passé à côté de son sujet. L’exposition en devient vide, presque dénuée de sens.
Bons points pour la scénographie qui est épurée et fonctionnelle. Les cartels sont explicites et compréhensifs.
En somme, le Quai Branly s’est trompé dans le choix du discours. Nous espérions plus de lien et du sens.