Ses critiques
8 critiques
8/10
Découverte de l'école de Vitebsk grace à cette exposition, qui permet de découvrir aussi une facette de Chagall et des influences de ses pairs.
Entre travail collectif, guerre d'égos, cette exposition est une plongée dans la Russie du début du 20ème et dans le travail collectif voire en commun des artistes et les influences qu'ils peuvent ainsi avoir les uns sur les autres.
Entre travail collectif, guerre d'égos, cette exposition est une plongée dans la Russie du début du 20ème et dans le travail collectif voire en commun des artistes et les influences qu'ils peuvent ainsi avoir les uns sur les autres.
6/10
Théâtre de boulevard agréable. Le rythme est intense, les portes claques, les comédiens crient. Rien à dire sur le jeu des comédiens.
Certaines blagues sont convenues et peu subtiles, mais c'est l'avantage de ce type de pièces : un bon moment, facile, qui divertit. Quand c'est bien fait, pourquoi s'en passer !
Certaines blagues sont convenues et peu subtiles, mais c'est l'avantage de ce type de pièces : un bon moment, facile, qui divertit. Quand c'est bien fait, pourquoi s'en passer !
8/10
Comme toujours, les pièces d'Alexis Michalik sont rythmées, percutantes et poétiques. On nous embarque avec ces personnages dans le voyage d'une vie, avec cette curiosité d'en découvrir plus.
Le fil se ressent à un moment et on s'attend à la suite, mais qu'importe, elle est si bien emmenée.
Très bon jeu d'acteurs, mise en scène ingénieuse et dynamique.
Le temps passe vite alors que la pièce est assez longue.
Le fil se ressent à un moment et on s'attend à la suite, mais qu'importe, elle est si bien emmenée.
Très bon jeu d'acteurs, mise en scène ingénieuse et dynamique.
Le temps passe vite alors que la pièce est assez longue.
7/10
Mise en scène vivante, jeu d'acteurs convaincant, très agréablement surprise par Bruno Solo.
La première partie est un peu plus lente et tout s’enchaîne plus vite après l'entracte. Le sujet est très bien traité, et permet également d'ouvrir sur des problématiques plus larges de lutte des classes. La fin ouvre encore une nouvelle perspective. A trop vouloir en faire et brasser de nombreux domaines, on s'y perd un peu justement et le texte perd en percutant.
La première partie est un peu plus lente et tout s’enchaîne plus vite après l'entracte. Le sujet est très bien traité, et permet également d'ouvrir sur des problématiques plus larges de lutte des classes. La fin ouvre encore une nouvelle perspective. A trop vouloir en faire et brasser de nombreux domaines, on s'y perd un peu justement et le texte perd en percutant.
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