Son balcon
SAISON 2024-2025
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Mini Molières
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Avant lui
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Actualités de ses filatures
L'immense Greco termine ses adieux. Elle dit au revoir depuis plusieurs semaines déjà, dans diverses salles oú Festival où elle s'est toujours produite...
Et l'émotion, palpable, est double.
D'abord elle donne chair à ce qu'on savait déjà sans vouloir se l'admettre: Greco ne chantera plus. Un jour. Et ce jour est venu.
Ensuite, parce que resurgissent sur scène les plus beaux textes de la chanson et de la poésie francaise, de Ferré à Gainsbourg, sous la voix de Greco. Et le sentiment qu'elle fut l'interprète et le porte-parole d'une géneration, d'une époque devient un instant ce moment fragile de la transition, de l'instant charnière où tout cela basculera très vite dans le souvenir.
Pour l'instant Greco est la dernière, porteuse et témoin des chefs d'oeuvre de la chanson francaise.
Sur scène et dans la salle, la communion est totale et l'insolence et la vigueur toujours présents.
Un moment inoubliable.
Et l'émotion, palpable, est double.
D'abord elle donne chair à ce qu'on savait déjà sans vouloir se l'admettre: Greco ne chantera plus. Un jour. Et ce jour est venu.
Ensuite, parce que resurgissent sur scène les plus beaux textes de la chanson et de la poésie francaise, de Ferré à Gainsbourg, sous la voix de Greco. Et le sentiment qu'elle fut l'interprète et le porte-parole d'une géneration, d'une époque devient un instant ce moment fragile de la transition, de l'instant charnière où tout cela basculera très vite dans le souvenir.
Pour l'instant Greco est la dernière, porteuse et témoin des chefs d'oeuvre de la chanson francaise.
Sur scène et dans la salle, la communion est totale et l'insolence et la vigueur toujours présents.
Un moment inoubliable.
Une galerie de personnages hauts en couleur, stéréotypés et délicieusement clichés. Le spectacle file de l'absurde au grotesque.
On rit beaucoup même si le spectacle du bonhomme reste très fidèle aux formats classiques du genre...
On rit beaucoup même si le spectacle du bonhomme reste très fidèle aux formats classiques du genre...
Un Richard 3 gothico-kitsch, dans une mise en scène parfois trop statique malgré une scénographie très visuelle, très spectaculaire : lumières, son, décors, costumes font glisser le spectacle du côté du show, quasi-circassien.
Toutefois, on déplore que son Richard 3 soit tout en hors-champs, ce qui ne permet pas au style spectaculaire du metteur en scene de s'exprimer pleinement...
Toutefois, on déplore que son Richard 3 soit tout en hors-champs, ce qui ne permet pas au style spectaculaire du metteur en scene de s'exprimer pleinement...
Véritable gageure, Henry VI version Thomas Jolly est une aventure de 18h, de sensations multiples et d'immersion totale.
Variant les genres à loisir, au gré des scènes et des parties se succédant, du burlesque au tragique, Thomas Jolly enchante les planches d'une scénographie fabuleuse et inventive, jouant du sommaire au plus spectaculaire !
Shakespeare n'a jamais été aussi abordable, déclamé dans le texte original et dans son intégralité (à peine quelques fines coupes).
Jubilation enfantine, enchantement visuel, démesure dramatique, Henry VI est un spectacle à la hauteur du théâtre populaire: ambitieux et accessible.
Sans hésiter, la révélation du dernier festival d'Avignon 2014 est un ovni immanquable !
Variant les genres à loisir, au gré des scènes et des parties se succédant, du burlesque au tragique, Thomas Jolly enchante les planches d'une scénographie fabuleuse et inventive, jouant du sommaire au plus spectaculaire !
Shakespeare n'a jamais été aussi abordable, déclamé dans le texte original et dans son intégralité (à peine quelques fines coupes).
Jubilation enfantine, enchantement visuel, démesure dramatique, Henry VI est un spectacle à la hauteur du théâtre populaire: ambitieux et accessible.
Sans hésiter, la révélation du dernier festival d'Avignon 2014 est un ovni immanquable !
Lamentable. Un échec monumental. Incroyablement mauvais.
Les comédiens s'en sortent plutôt bien : comment auraient-ils pu faire davantage au milieu d'un tel ramassis de ratés !
Le texte de Carey Perloff étant déjà mauvais (des banalités à pleurer autour d'une histoire classique de triangle mère / fils / Amie-maîtresse), il était suicidaire de proposer une adaptation plus mauvaise encore !
On se moque pas mal des détails qu'on nous raconte pendant plus de la moitié du spectacle. L'élément clef du récit, qui permettait ENFIN une montée d'intensité dramatique, arrive tellement trop tard.
La mise en scène est inexistante (pas étonnant, Dominique Borg est la... costumière) et aucune scénographie... L'enchainement incessant des scènes se fait par des lamentables fondus au noir, avec un manque de génie et d'intelligence scénique pathétique. (on doit avoir autant de temps de noirs que de jeu, tant les techniciens mettent des heures à installer deux chaises ou une table...)
La musique est limitée à un pauvre thème qui revient de temps en temps... Et la mise en scène, pour peu qu'elle existe, est agaçante d'artifices vieillots : les longs "face-public" sont insupportables, surtout lorsqu'ils sont accompagnés de lentes traversées...
Quant à la direction artistique (ou le semblant de scéno) elle serait risible si elle n'était pas sérieuse : Il suffit que le comédien dise "comme la lune est belle" pour faire apparaitre une lune sur l'écran en fond etc etc
Que dire de plus, si ce n'est que l'ennui est rapidement le sentiment qui va envahir votre être, alors que l'émotion attendue ne viendra jamais.
Une belle mascarade si ce n'est une catastrophe (et passons sur l’exagéré parallèle avec Phèdre... Lien qui ne s'assume pas jusqu'au bout...en plus).
Les comédiens s'en sortent plutôt bien : comment auraient-ils pu faire davantage au milieu d'un tel ramassis de ratés !
Le texte de Carey Perloff étant déjà mauvais (des banalités à pleurer autour d'une histoire classique de triangle mère / fils / Amie-maîtresse), il était suicidaire de proposer une adaptation plus mauvaise encore !
On se moque pas mal des détails qu'on nous raconte pendant plus de la moitié du spectacle. L'élément clef du récit, qui permettait ENFIN une montée d'intensité dramatique, arrive tellement trop tard.
La mise en scène est inexistante (pas étonnant, Dominique Borg est la... costumière) et aucune scénographie... L'enchainement incessant des scènes se fait par des lamentables fondus au noir, avec un manque de génie et d'intelligence scénique pathétique. (on doit avoir autant de temps de noirs que de jeu, tant les techniciens mettent des heures à installer deux chaises ou une table...)
La musique est limitée à un pauvre thème qui revient de temps en temps... Et la mise en scène, pour peu qu'elle existe, est agaçante d'artifices vieillots : les longs "face-public" sont insupportables, surtout lorsqu'ils sont accompagnés de lentes traversées...
Quant à la direction artistique (ou le semblant de scéno) elle serait risible si elle n'était pas sérieuse : Il suffit que le comédien dise "comme la lune est belle" pour faire apparaitre une lune sur l'écran en fond etc etc
Que dire de plus, si ce n'est que l'ennui est rapidement le sentiment qui va envahir votre être, alors que l'émotion attendue ne viendra jamais.
Une belle mascarade si ce n'est une catastrophe (et passons sur l’exagéré parallèle avec Phèdre... Lien qui ne s'assume pas jusqu'au bout...en plus).