Ses critiques
5 critiques
9/10
On n'oublie jamais Cyrano de Bergerac, c'est une évidence. Qui plus est grâce à la prestation remarquable de la compagnie du grenier de Babouchka ! Allez donc cueillir le baiser de la gloire.
9/10
Le "Patron" dans un rôle qu'il connait bien, Luchini ou la vie de Céline, on a du mal à savoir tant il est brillant de bout en bout ; Dans LE voyage du 20ème siècle, Luchini revisite quelques passages du livre comme celui de l'avortement du 5ème étage et décore ces propos par du Gallimard et La Fontaine, ces deux ombres qui planent au dessus l'œuvre de Céline.
La politique n'est jamais loin du spectacle, l'humour non plus en véritable fil conducteur du narrateur : "il subsiste en vous toujours un petit peu de curiosité de réserve pour le côté du derrière" conclut-il à la fin du spectacle.
Du pure Louis Ferdinand par l'artisan, lui aussi, d'une petite musique : Fabrice.
A voir donc avant que le vent l'emporte dans les mémoires de certains privilégiés.
La politique n'est jamais loin du spectacle, l'humour non plus en véritable fil conducteur du narrateur : "il subsiste en vous toujours un petit peu de curiosité de réserve pour le côté du derrière" conclut-il à la fin du spectacle.
Du pure Louis Ferdinand par l'artisan, lui aussi, d'une petite musique : Fabrice.
A voir donc avant que le vent l'emporte dans les mémoires de certains privilégiés.
7/10
Rocambolesque, "Nina" nous fait rire du début jusqu’à la fin. Mathilde Seigner en amante femme fatale est parfaite, François Vincentelli se prête à merveille au ridicule de la pièce et François Berléand... il est bluffant de bout en bout tant sa prestation est remarquable.
C'est beaucoup de plaisir, ça réchauffe les coeurs en cette fin d'automne.
C'est beaucoup de plaisir, ça réchauffe les coeurs en cette fin d'automne.
6,5/10
Je Danse Toujours est une d'histoire d'amour imaginaire comme on peut s'en inventer les jours d'Automne. Pleins de rêves perdus et de beaux mots. Doté d'un texte raffiné et mélancolique, Clémence Poésy est époustouflante dans son rôle. A l'image de son charme, sa prestation est une promesse à un souvenir mémorable. Les souvenirs d'hier, les souvenirs d'aujourd'hui, de demain c'est justement ça le sujet de la pièce. Hélas, au milieu de cette tragédie aux allures d'Antigone, on se noie et du coup on en ressort perpexle et confus. Encore un face à face avec la beauté qui nous laisse sur notre faim.
8/10
Le Porteur d'Histoire est une invitation à un voyage dans le temps. Avec beaucoup de plaisir, et si votre imagination n'a pas peur du romanesque, on se prend facilement d'affection pour les personnages et leurs aventures. Pendant une heure et demi on savoure une belle écriture et le sourire vient aisément. Un bon moment donc mais ce n'est pas vraiment une surprise quand il s'agit de retrouvailles avec Alexandre Dumas...