- Théâtre contemporain
- Théâtre Libre - Comédia
- Paris 10ème
Monologues du Vagin

- Théâtre Libre - Comédia
- 4, boulevard de Strasbourg
- 75010 Paris
- Strasbourg Saint-Denis (l.4, l.8, l.9)
Après avoir recueilli la parole de plus de 200 femmes à travers le monde, Eve Ensler crée, en 1996, un spectacle sur l’intime féminin.
Partant de questions directes (« quel rapport entretenez-vous avec votre vagin ? »), l’auteure pose des mots sur ce qui n’était pas dit, mettant ainsi à jour la dimension politique et culturelle de la sexualité féminine.
Le vagin n’est pas seulement un organe. C’est le lieu des fantasmes, des tabous, des interdits. C’est à la fois l’origine du monde et le mobile d’insupportables violences.
C’est l’image du combat mené par les femmes pour obtenir droits, respect et reconnaissance, en tout temps et en tout lieu.
Plus de 20 ans après sa création, et après avoir rencontré le succès dans plus de 140 pays et en 48 langues, ce spectacle n’a rien perdu de son actualité. Saisissant, souvent troublant, parfois hilarant, il est un cri de liberté poussé sur une scène de théâtre.
La critique de la rédaction : 7.5/10. Très distrayante cette lecture des Monologues du Vagin.
Nous ne connaissions pas ce texte et avons été agréablement surpris par sa pertinence, sa puissance, son humour. Le thème du vagin est exploité en long et en large, en évoquant les noms qui lui sont donnés, l’accouchement, les règles, les odeurs, les poils...
Contrairement à ce que nous aurions pu penser, ce n’est jamais lourd, chaque mot est pesé.
Des passages plus sérieux parlent des violences faites aux femmes, du viol.
Nos trois lectrices Muriel Robin, Carole Bouquet et Anne le Nen ont une voix et une diction qui tiennent notre attention tout du long. Muriel Robin est impressionnante. Dès qu’elle parle, la salle s’esclaffe. Elle est très bonne actrice, met bien le ton et est sympathique.
Quant à la mise en scène, elle se révèle toute simple.
Un texte à découvrir !
Nous ne connaissions pas ce texte et avons été agréablement surpris par sa pertinence, sa puissance, son humour. Le thème du vagin est exploité en long et en large, en évoquant les noms qui lui sont donnés, l’accouchement, les règles, les odeurs, les poils...
Contrairement à ce que nous aurions pu penser, ce n’est jamais lourd, chaque mot est pesé.
Des passages plus sérieux parlent des violences faites aux femmes, du viol.
Nos trois lectrices Muriel Robin, Carole Bouquet et Anne le Nen ont une voix et une diction qui tiennent notre attention tout du long. Muriel Robin est impressionnante. Dès qu’elle parle, la salle s’esclaffe. Elle est très bonne actrice, met bien le ton et est sympathique.
Quant à la mise en scène, elle se révèle toute simple.
Un texte à découvrir !