- Théâtre contemporain
- Théâtre de l'Atelier
- Paris 18ème
L'aide Mémoire

- Sandrine Bonnaire
- Pascal Grégory
- Théâtre de l'Atelier
- 1, place Charles-Dullin
- 75018 Paris
- Anvers (l.2)
Une femme légère s'immisce dans l'appartement d'un juriste. Elle semble bientôt vouloir s'y installer pour de bon.
Il est l'ordre, elle est la liberté. Il note tout de peur d'oublier. Elle ne sait pas de quoi sera fait demain.
Tout les oppose et personne ne pouvait imaginer qu'ils pourraient s'aimer.
Cela pourrait être une comédie romantique.
C'est une fable magique qui parle du mystère de la rencontre entre deux êtres.
La pièce L'Aide-Mémoire a été récompensée de la Tomate AuBalcon 2014 de la pièce qui ferait dormir un insomniaque.
Cette pièce a été touchée par le syndrome de la tête d'affiche.
Avertissement : dans ce théâtre, vous pouvez rencontrer des spectateurs impassibles.
L'avis de la rédaction : Une pièce que nous aimerions très vite oublier.
Sandrine Bonnaire et Pascal Greggory jouent une douce et romantique histoire d'amour dans laquelle s’engage un suis moi je te fuis, fuis-moi je te suis. Malheureusement, on s'ennuie ferme car il ne se passe pas grand-chose, l’action est rare.
Les dialogues manquent d’intérêt, jusqu’à en devenir interminables. C’est trop plat et on devine si facilement la suite qu’on ne l’attend plus.
Les acteurs souvent dos au public, jouent au ralenti dans la première partie de l’histoire puis se bécotent trop dans la seconde partie.
Nous sommes sortis bien déçus.
C'est bien écrit, les dialogues déambulent à la manière d'un conte absurde tout en couleurs... c'est très bien joué.
Bonnaire est solaire... on ressort de cette pièce heureux !!!
Ces deux acteurs sont plutôt fait pour le cinéma que pour le théâtre : ils manquent de voix et de présence sur scène. Il faudrait leur donner un peu de vitamines !
Plusieurs personnes sont parties avant la fin, je vous avoue que l'idée m'a traversé l'esprit...
L'histoire a peu d'intérêt et on se perd dans un récit qui n'a ni queue ni tête malgré le bon jeu de Sandrine Bonnaire.