Critiques pour l'événement Scènes de la vie conjugale
Un peu mitigée à la fin de la pièce, comme au sortir du film de Bergman.
Il faut dire que la mise en scène extrêmement épurée et la scène de départ où les comédiens regardent une vidéo d'eux où chacun fait une sorte d'auto psychanalyse font prendre à la pièce un tour statique particulièrement pesant pour la première partie et on décroche un peu...
De plus, dans cette première partie, seul Raphael Personnaz tire son épingle du jeu, il efface totalement le jeu de Laetitia Casta qui est fade et souvent elle parle beaucoup moins fort que lui, on a du mal à suivre.
Cependant, tout s'équilibre dans la seconde partie et les deux comédiens se retrouvent à jeu égal, Laetitia Casta gagne en puissance autant vocalement que par l'épaisseur de son personnage et on reprend plaisir à suivre ce couple qui ne sait peut être pas s'aimer mais qui ne peut pas vivre l'un sans l'autre.
Il faut dire que la mise en scène extrêmement épurée et la scène de départ où les comédiens regardent une vidéo d'eux où chacun fait une sorte d'auto psychanalyse font prendre à la pièce un tour statique particulièrement pesant pour la première partie et on décroche un peu...
De plus, dans cette première partie, seul Raphael Personnaz tire son épingle du jeu, il efface totalement le jeu de Laetitia Casta qui est fade et souvent elle parle beaucoup moins fort que lui, on a du mal à suivre.
Cependant, tout s'équilibre dans la seconde partie et les deux comédiens se retrouvent à jeu égal, Laetitia Casta gagne en puissance autant vocalement que par l'épaisseur de son personnage et on reprend plaisir à suivre ce couple qui ne sait peut être pas s'aimer mais qui ne peut pas vivre l'un sans l'autre.
Un couple en déliquescence dans un décor minimaliste.
2 acteurs insipides qui cherchent à donner le meilleur d'eux mais le spectateur n'est pas dupe. Un rôle ne s'improvise pas, il faut faire passer des émotions et non réciter des répliques. Je conçois que l'exercice est compliqué avec un texte sans relief menant à un ennui abyssal. On n'arrive pas à rentrer dans ces scènes de ce couple. Trop bourgeois ? trop convenu ? On se fout complètement de leurs errements et de leur caprices existentiels. Ils ne savent pas ce qu'ils veulent ! Et alors ! C'est une crise de la quarantaine qui laisse froid et ennuie pendant 1h30.
Le décor est minimaliste certes c'est un parti pris et ce n'est pas gênant.
Ce qui casse la pièce est la trop longue scène où les comédiens de dos contemplent leurs réponses filmées lors d'une thérapie de couple. On se demande si toute la pièce va être si soporifique.
2 acteurs insipides qui cherchent à donner le meilleur d'eux mais le spectateur n'est pas dupe. Un rôle ne s'improvise pas, il faut faire passer des émotions et non réciter des répliques. Je conçois que l'exercice est compliqué avec un texte sans relief menant à un ennui abyssal. On n'arrive pas à rentrer dans ces scènes de ce couple. Trop bourgeois ? trop convenu ? On se fout complètement de leurs errements et de leur caprices existentiels. Ils ne savent pas ce qu'ils veulent ! Et alors ! C'est une crise de la quarantaine qui laisse froid et ennuie pendant 1h30.
Le décor est minimaliste certes c'est un parti pris et ce n'est pas gênant.
Ce qui casse la pièce est la trop longue scène où les comédiens de dos contemplent leurs réponses filmées lors d'une thérapie de couple. On se demande si toute la pièce va être si soporifique.
L'histoire est extraordinairement banale. Le thème de l'usure du couple et des problématiques sous-jacentes (pression sociale, familiale, déclassement matériel engendré par la séparation) parle au plus grand nombre. Seuls une interprétation sans faille, une mise en scène soignée et des dialogues percutants auraient pu sortir cette pièce de l'ennui mortel.
Hélas! ce n'est pas le cas. La première scène est à ce titre représentative du reste de la pièce. Les deux acteurs regardent pendant de longues minutes leur autoportrait filmé sur grand écran. Le spectateur plonge dans l'ennui de cette scène trop longue dès les premières minutes. L'interprétation de Laetitia Casta est caricaturale à souhait. Elle surjoue son rôle de femme effacée vivant dans l'ombre de son mari, à tel point qu'on se demande comment un homme aussi brillant et séduisant a pu tomber amoureux d'une femme aussi terne. Le reste de la pièce n'est qu'une succession lassante d'aller/retour sur le thème de "je t'aime, moi non plus". Le spectateur ne ressent au final aucune empathie pour les deux personnages et se prend à espérer que la rupture intervienne franchement afin de signer le clap final de cette histoire sans fin.
Hélas! ce n'est pas le cas. La première scène est à ce titre représentative du reste de la pièce. Les deux acteurs regardent pendant de longues minutes leur autoportrait filmé sur grand écran. Le spectateur plonge dans l'ennui de cette scène trop longue dès les premières minutes. L'interprétation de Laetitia Casta est caricaturale à souhait. Elle surjoue son rôle de femme effacée vivant dans l'ombre de son mari, à tel point qu'on se demande comment un homme aussi brillant et séduisant a pu tomber amoureux d'une femme aussi terne. Le reste de la pièce n'est qu'une succession lassante d'aller/retour sur le thème de "je t'aime, moi non plus". Le spectateur ne ressent au final aucune empathie pour les deux personnages et se prend à espérer que la rupture intervienne franchement afin de signer le clap final de cette histoire sans fin.
Que dire de cette pièce à part que je me suis ennuyée...
On ne peut rien dire sur les deux comédiens ils sont bons dans leurs rôles mais il n'y a aucune alchimie entre eux. Je suis sensible à ce genre de sujet souvent la larme à l'œil mais là aucune émotion. J'ai été vraiment déçue. La mise en scène est quasi inexistante. Les cris de Laetitia Casta sortent de nulle part et n'apportent rien.
Bref je la déconseille.
On ne peut rien dire sur les deux comédiens ils sont bons dans leurs rôles mais il n'y a aucune alchimie entre eux. Je suis sensible à ce genre de sujet souvent la larme à l'œil mais là aucune émotion. J'ai été vraiment déçue. La mise en scène est quasi inexistante. Les cris de Laetitia Casta sortent de nulle part et n'apportent rien.
Bref je la déconseille.
Marianne et Johann forment un couple idéal. Mariés depuis 10 ans ils ont de belles situations professionnelles, deux beaux enfants, des familles aimantes et aimées, un cadre de vie agréable. Mais à bien y regarder l'interview où ils se présentent on voit à certains regards, à certains silences, que le beau vernis commence à craqueler.
C'est Marianne qui ouvre le tir, sans vraiment se rendre compte qu'elle vient d'ouvrir la boîte de Pandore. Parce qu'elle n'a pas envie de ce traditionnel dimanche en famille. Pour une fois elle ne souhaite qu'une chose : rester dans les bras de Johann pour un dimanche de tendresse. Pas forcément pour le sexe, mais pour une pause, un moment de douceur non programmé. Mais lui n'est pas si enthousiaste. Alors que Marianne nous apparaît froide dans la rigidité de son confort bourgeois qui ne lui a jamais permis de réellement s'exprimer, Johann se fait plus sanguin, plus désabusé aussi.
En 6 panneaux nous traversons 20 années de l'histoire de ce couple qui ne sait plus comment s'aimer. Nous assistons à la déliquescence de leur amour, à leurs luttes internes et physiques, les suivons le long de leur parcours vers une autre vérité, un chemin de croix qui les mènera vers la sérénité, la tendresse, et une nouvelle forme de bonheur.
Ingmar BERGMAN a souvent interrogé le couple, la famille. Avec SCÈNES DE LA VIE CONJUGALE il dresse le portrait d'un couple en crise, confronté à la quête moderne du bonheur. Ils ont tout pour être heureux. Ils font tout pour y croire. Mais le vide abyssal de ce bonheur parfait se cache derrière une vie trop bien réglée, dans ses moindres détails. L'ennui n'a pas tardé à pointer le nez. Un nouvel enfant serait-il la clé d'une passion retrouvée ? L'herbe est-elle plus verte ailleurs ? Le couple peut-il exister sans le sexe ? Lorsque Paula s'incruste au milieu de ce couple parfait le verni craque, les faux-semblants s'effacent, les sentiments éclatent, les personnalités profondes vont pouvoir se révéler.
Johann (Raphaël PERSONNAZ) se fait odieux, goujat pour ne pas dire parfait salaud. Derrière le gendre / père / fils idéal se cachait un monstre de lâcheté qui trouve tellement facile de blesser l'autre par les mots, par le mépris, par l'indifférence affichée. Il quitte Marianne pour Paula. Mais Paula n'est pas celle qu'il pensait et bientôt il expérimente la solitude de la vie avec l'autre, au point de vouloir revenir vers Marianne. L'homme un peu macho par lâcheté et par cynisme découvrira le pouvoir des sentiments.
Marianne (Laetitia CASTA) fera un chemin inverse. Au fil des moments importants de cette désunion, lui décline tandis qu'elle rayonne de plus en plus. Dans la scène finale il a trouvé sa petitesse dit-il alors qu'elle a trouvé sa grandeur. Et chacun a alors accédé à sa vérité et à sa sérénité. Entre-temps elle aura souffert, traversé des déserts d'amour, affronté ses démons, délié ses chaînes pour enfin se trouver, libérer ses émotions et les accepter. La femme parfaite mais sans relief s'est transformée en une femme mûre qui a confiance en elle. Lui a accepté ses propres limites, ses faiblesses, et avec humilité accepte enfin que l'amour puisse être de l'affection et de la tendresse.
Par leur jeu tout en sincérité et en sobriété ils forment un couple beau et sensible. Laetitia Casta n'est pas seulement belle, d'une beauté froide au début à une sensualité révélée, affirmée et apaisée à la fin de son parcours. Raphaël PERSONNAZ brille en gendre idéal qui se fragmente. Pas de passion dans ce couple trop propre sur lui. Mais comme le dit Johann : on ne nous apprend pas à gérer nos sentiments. Les barrages sont hauts à franchir, traces d'une éducation trop lisse, d'un cadre social trop figé.
La mise en scène de Safy NEBBOU est épurée. La scénographie est simple, faite d'un décor aussi neutre que possible pour laisser la place au jeu des comédiens et au texte. Le bois du cadre et la forêt dans la brume qui illustre le fond de scène créée un univers bourgeois, rigide, carré, lisse. Une épure qui est transcendée dans la scène finale, toute en émotion et en finesse. Un happy-end comme le voulait le réalisateur suédois.
En bref : Une adaptation théâtrale avec une mise en scène épurée qui laisse la place au texte et au jeu des comédiens. Un voyage au cœur d'un couple en crise. La mort et la renaissance d'un amour. Une interprétation sensible dans une ambiance froide et bourgeoise.
C'est Marianne qui ouvre le tir, sans vraiment se rendre compte qu'elle vient d'ouvrir la boîte de Pandore. Parce qu'elle n'a pas envie de ce traditionnel dimanche en famille. Pour une fois elle ne souhaite qu'une chose : rester dans les bras de Johann pour un dimanche de tendresse. Pas forcément pour le sexe, mais pour une pause, un moment de douceur non programmé. Mais lui n'est pas si enthousiaste. Alors que Marianne nous apparaît froide dans la rigidité de son confort bourgeois qui ne lui a jamais permis de réellement s'exprimer, Johann se fait plus sanguin, plus désabusé aussi.
En 6 panneaux nous traversons 20 années de l'histoire de ce couple qui ne sait plus comment s'aimer. Nous assistons à la déliquescence de leur amour, à leurs luttes internes et physiques, les suivons le long de leur parcours vers une autre vérité, un chemin de croix qui les mènera vers la sérénité, la tendresse, et une nouvelle forme de bonheur.
Ingmar BERGMAN a souvent interrogé le couple, la famille. Avec SCÈNES DE LA VIE CONJUGALE il dresse le portrait d'un couple en crise, confronté à la quête moderne du bonheur. Ils ont tout pour être heureux. Ils font tout pour y croire. Mais le vide abyssal de ce bonheur parfait se cache derrière une vie trop bien réglée, dans ses moindres détails. L'ennui n'a pas tardé à pointer le nez. Un nouvel enfant serait-il la clé d'une passion retrouvée ? L'herbe est-elle plus verte ailleurs ? Le couple peut-il exister sans le sexe ? Lorsque Paula s'incruste au milieu de ce couple parfait le verni craque, les faux-semblants s'effacent, les sentiments éclatent, les personnalités profondes vont pouvoir se révéler.
Johann (Raphaël PERSONNAZ) se fait odieux, goujat pour ne pas dire parfait salaud. Derrière le gendre / père / fils idéal se cachait un monstre de lâcheté qui trouve tellement facile de blesser l'autre par les mots, par le mépris, par l'indifférence affichée. Il quitte Marianne pour Paula. Mais Paula n'est pas celle qu'il pensait et bientôt il expérimente la solitude de la vie avec l'autre, au point de vouloir revenir vers Marianne. L'homme un peu macho par lâcheté et par cynisme découvrira le pouvoir des sentiments.
Marianne (Laetitia CASTA) fera un chemin inverse. Au fil des moments importants de cette désunion, lui décline tandis qu'elle rayonne de plus en plus. Dans la scène finale il a trouvé sa petitesse dit-il alors qu'elle a trouvé sa grandeur. Et chacun a alors accédé à sa vérité et à sa sérénité. Entre-temps elle aura souffert, traversé des déserts d'amour, affronté ses démons, délié ses chaînes pour enfin se trouver, libérer ses émotions et les accepter. La femme parfaite mais sans relief s'est transformée en une femme mûre qui a confiance en elle. Lui a accepté ses propres limites, ses faiblesses, et avec humilité accepte enfin que l'amour puisse être de l'affection et de la tendresse.
Par leur jeu tout en sincérité et en sobriété ils forment un couple beau et sensible. Laetitia Casta n'est pas seulement belle, d'une beauté froide au début à une sensualité révélée, affirmée et apaisée à la fin de son parcours. Raphaël PERSONNAZ brille en gendre idéal qui se fragmente. Pas de passion dans ce couple trop propre sur lui. Mais comme le dit Johann : on ne nous apprend pas à gérer nos sentiments. Les barrages sont hauts à franchir, traces d'une éducation trop lisse, d'un cadre social trop figé.
La mise en scène de Safy NEBBOU est épurée. La scénographie est simple, faite d'un décor aussi neutre que possible pour laisser la place au jeu des comédiens et au texte. Le bois du cadre et la forêt dans la brume qui illustre le fond de scène créée un univers bourgeois, rigide, carré, lisse. Une épure qui est transcendée dans la scène finale, toute en émotion et en finesse. Un happy-end comme le voulait le réalisateur suédois.
En bref : Une adaptation théâtrale avec une mise en scène épurée qui laisse la place au texte et au jeu des comédiens. Un voyage au cœur d'un couple en crise. La mort et la renaissance d'un amour. Une interprétation sensible dans une ambiance froide et bourgeoise.
Mitigée, c'est plutôt le terme qui me vient à l'esprit, il est vrai que j'ai du mal en général avec Bergman !
Mise en scène épurée, décor minimaliste. On finit par s'habituer...
Par contre, autant le jeu de Raphaël Personnaz est juste, Laetitia Casta, pour moi n'est pas toujours naturelle.
Elle est une belle image mais un peu glacée, après tout c'est peut être aussi le rôle très effacée de Marianne.
Mise en scène épurée, décor minimaliste. On finit par s'habituer...
Par contre, autant le jeu de Raphaël Personnaz est juste, Laetitia Casta, pour moi n'est pas toujours naturelle.
Elle est une belle image mais un peu glacée, après tout c'est peut être aussi le rôle très effacée de Marianne.
Impossible de rentrer dans cette pièce, malgré son esthétisme indéniable, le jeu juste des comédiens, la beauté de Laetitia Casta.
Je suis restée à distance de leurs disputes, leurs retrouvailles.
Le décor, leur jeu tout m'est apparu froid, sans âme.
Il est sûr que le texte est profond et percutant mais il manque à l'interprétation de la vie, de la maturité, des tripes pour rendre le jeu entre haine et passion.
Je ne veux pas être médisante mais j'ai l'impression que sans Laetitia Casta la salle serait moitié vide. Mes voisins (j'ai bien regardé) ne semblaient éveillés qu'aux moments "chauds". Mais c'est vrai qu'elle est magnifique. Maintenant je ne vais pas au théâtre pour ça...
Pour le reste j'ai trouvé ça chiant.
Je suis restée à distance de leurs disputes, leurs retrouvailles.
Le décor, leur jeu tout m'est apparu froid, sans âme.
Il est sûr que le texte est profond et percutant mais il manque à l'interprétation de la vie, de la maturité, des tripes pour rendre le jeu entre haine et passion.
Je ne veux pas être médisante mais j'ai l'impression que sans Laetitia Casta la salle serait moitié vide. Mes voisins (j'ai bien regardé) ne semblaient éveillés qu'aux moments "chauds". Mais c'est vrai qu'elle est magnifique. Maintenant je ne vais pas au théâtre pour ça...
Pour le reste j'ai trouvé ça chiant.
C'est en me souvenant avec bonheur de la performance implacable de Raphaël Personnaz dans "les cartes du pouvoir" au théâtre Hébertot (2014) que je suis allée voir "scènes de la vie conjugale". Mais dans cette réécriture du film d'Ingmar Bergman, ni lui ni sa tendre partenaire Laetitia Casta n'arrivent à créer de vraies émotions. Le sujet était pourtant d'une richesse vertigineuse !
Certes il y a sur scène deux acteurs de talent. Il y a également dans cette écriture toute la réalité absurde et complexe du sentiment amoureux, toute la frustration des amours vieillissants qui amènent à s'interroger sur soi, sur l'amour, sur les liens inextinguibles se créant entre deux personnes vivant ensemble.
Mais ce couple ne convainc pas : il manque de la passion, il manque de la complicité et même si la pièce s'améliore étrangement au fur et à mesure que ce couple se détruit, la composition reste assez fade, dissonante. Le décor sordide n'est pas non plus d'une grande aide.
Quel dommage !
Certes il y a sur scène deux acteurs de talent. Il y a également dans cette écriture toute la réalité absurde et complexe du sentiment amoureux, toute la frustration des amours vieillissants qui amènent à s'interroger sur soi, sur l'amour, sur les liens inextinguibles se créant entre deux personnes vivant ensemble.
Mais ce couple ne convainc pas : il manque de la passion, il manque de la complicité et même si la pièce s'améliore étrangement au fur et à mesure que ce couple se détruit, la composition reste assez fade, dissonante. Le décor sordide n'est pas non plus d'une grande aide.
Quel dommage !
Adaptation très réussie du film de Bergman, formidablement revisité par Jacques Fieschi (décidemment l'un des plus grands!) et Safy Nebbou.
Interprétation magistrale de Raphael Personnaz et Laetitia Casta. C'est la grande révélation de la pièce. Un duo parfait, moderne, qui donne vie au couple Johan/Marianne.
A voir absolument.
Le théâtre de l'oeuvre nous propose de petits bijoux !
Interprétation magistrale de Raphael Personnaz et Laetitia Casta. C'est la grande révélation de la pièce. Un duo parfait, moderne, qui donne vie au couple Johan/Marianne.
A voir absolument.
Le théâtre de l'oeuvre nous propose de petits bijoux !
Les avis de la rédaction