Critiques pour l'événement Les Grands Rôles
Un exercice assez fun que de triturer et de détourner les grandes tirades du répertoire. Sur la scène du Lucernaire, tout est permis : les quatre comédiens très investis vont en effet très loin dans le détournement et nous proposent de faire connaissance avec quatorze personnages du théâtre classique…ou presque. On découvrira par exemple lady Macbeth en cuir noir, façon Matrix, un baba cool chantant du Hamlet accompagné de son ukulélé, et un Rodrigue affrontant l’armée Maure en version bataille manga.
Nous avions beaucoup aimé les précédentes créations de ses mauvais élèves et leur nouvel opus est également très réussi.
Même si les propositions sont parfois inégales, certains passages sont mémorables ! Élisa Benizio en danseuse de tango est absolument irrésistible et Juliette interprétée par un Antoine Richard plein de bonne volonté malgré toutes les difficultés qu’il rencontre est excellent.
L’ensemble promet donc une soirée très agréable en compagnie de cette troupe déjantée.
Nous avions beaucoup aimé les précédentes créations de ses mauvais élèves et leur nouvel opus est également très réussi.
Même si les propositions sont parfois inégales, certains passages sont mémorables ! Élisa Benizio en danseuse de tango est absolument irrésistible et Juliette interprétée par un Antoine Richard plein de bonne volonté malgré toutes les difficultés qu’il rencontre est excellent.
L’ensemble promet donc une soirée très agréable en compagnie de cette troupe déjantée.
Les amoureux de Corneille, Hugo, Molière, Rostand ...
A trop vouloir aimer, on peut parfois se perdre!
Bien sûr la folie et la fantaisie des Mauvais Elèves est plus fougueuse que jamais, mais l'ensemble est brouillon et le résultat inégal.
Les morceaux de bravoure, tel le Cid - génial Valerian Béhar Bonnet - ou la Médée langoureuse d'Elisa Benizio succèdent à d'autres scènes beaucoup moins convaincantes.
Souvent le rythme retombe, les enchaînements sont confus.
Un parfum d'inachevé.
A trop vouloir aimer, on peut parfois se perdre!
Bien sûr la folie et la fantaisie des Mauvais Elèves est plus fougueuse que jamais, mais l'ensemble est brouillon et le résultat inégal.
Les morceaux de bravoure, tel le Cid - génial Valerian Béhar Bonnet - ou la Médée langoureuse d'Elisa Benizio succèdent à d'autres scènes beaucoup moins convaincantes.
Souvent le rythme retombe, les enchaînements sont confus.
Un parfum d'inachevé.
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