Critiques pour l'événement L'Affaire Courteline
L’affaire Courteline est la succession de sept saynètes, portée par la Compagnie « La boite aux lettres » que j’avais déjà vue au Théâtre Michel dans « le jeu de l’amour et du hasard ».
Les saynètes s’enchainent, entrecoupées d’une chansonnette à chaque fois.
Une mise en scène décalée, enjouée où chaque comédien est soit actif ou assis, statique sur un siège en attendant son entrée en scène. Le changement d’accessoires et de décor est fluide et fait entièrement partie du spectacle.
Quelques saynètes sont un vrai régal : Celle de la mère qui donne des conseils à son fils (Sigismond) avant la visite chez la belle famille, est ma préférée. De même que la prestation d’Etienne Launay dans le rôle de M. Badin.
Néanmoins, un petit bémol quant à l’inégalité des saynètes au niveau du texte et de l’humour qui rend l’ensemble un peu irrégulier.
Toutefois, c’est tout un univers drôle, bien joué qui nous est proposé.
Les saynètes s’enchainent, entrecoupées d’une chansonnette à chaque fois.
Une mise en scène décalée, enjouée où chaque comédien est soit actif ou assis, statique sur un siège en attendant son entrée en scène. Le changement d’accessoires et de décor est fluide et fait entièrement partie du spectacle.
Quelques saynètes sont un vrai régal : Celle de la mère qui donne des conseils à son fils (Sigismond) avant la visite chez la belle famille, est ma préférée. De même que la prestation d’Etienne Launay dans le rôle de M. Badin.
Néanmoins, un petit bémol quant à l’inégalité des saynètes au niveau du texte et de l’humour qui rend l’ensemble un peu irrégulier.
Toutefois, c’est tout un univers drôle, bien joué qui nous est proposé.
Ce sont sept pièces courtes qui sont présentées dans « L'affaire Courteline ». Ces pièces reprennent les thèmes qui ont le succès de l'auteur : la tromperie dans le couple, la condition des employés...
Sur le plateau tout s'enchaîne de façon très fluide. La mise en scène de Bertrand Mounier fait mouche : les pièces sont entrecoupées de quelques chansons plutôt légères où les comédiens (se) changent un ou plusieurs accessoires à la vue de tous sur les bords de la scène. Les comédiens sont assis comme figé de chaque côté du plateau et attendent leur tour quand ils ne sont pas dans la scène présentée.
Justement les comédiens, parlons-en !
Le plaisir de retrouver Isabelle de Botton qui excelle dans ce registre qui lui va si bien (personnellement, j’ai adoré la mère qui briefe son fis avant de visiter sa fiancé), Salomé Villiers qui alterne les différentes partitions avec bonheur, Etienne Launay livre une prestation fort sympathique ( j’ai hâte de voir sa mise en scène du monte plats de Pinter dans le même théâtre), le reste de la compagnie n’est pas en reste, tous sont en belle forme.
Bref un moment agréable.
Sur le plateau tout s'enchaîne de façon très fluide. La mise en scène de Bertrand Mounier fait mouche : les pièces sont entrecoupées de quelques chansons plutôt légères où les comédiens (se) changent un ou plusieurs accessoires à la vue de tous sur les bords de la scène. Les comédiens sont assis comme figé de chaque côté du plateau et attendent leur tour quand ils ne sont pas dans la scène présentée.
Justement les comédiens, parlons-en !
Le plaisir de retrouver Isabelle de Botton qui excelle dans ce registre qui lui va si bien (personnellement, j’ai adoré la mère qui briefe son fis avant de visiter sa fiancé), Salomé Villiers qui alterne les différentes partitions avec bonheur, Etienne Launay livre une prestation fort sympathique ( j’ai hâte de voir sa mise en scène du monte plats de Pinter dans le même théâtre), le reste de la compagnie n’est pas en reste, tous sont en belle forme.
Bref un moment agréable.
C’est peut-être moi qui, à force d’avoir trop vu et trop entendu ce registre boude un peu Courteline, car j’émets quelques réserves sur la pièce.
Si vous n’avez jamais vu de Courteline : foncez! Le maquillage, les accessoires… La modernité de la mise en scène et les extraits choisis sont judicieux. Tout vous mettra dans l’ambiance « Courteline » ! Cela dit, à répertoire égal, l’interprétation au théâtre des Déchargeurs dans « Concerto de passion » (qui mélangeait cette fois Courteline, Feydeau et Guitry) était plus novatrice et m’avez semblé plus juste, plus piquante. Ici, c’est un peu bruyant : cela manque de finesse. Les saynètes s’enchaînent gaiement mais sans plus.
Pourtant les comédiens sont bons, pourtant leur partition est bonne mais il y a quelque chose... Mais mon souvenir de la pièce se concentrera plus sur les acteurs ! Salomé Villiers que j’avais découvert dans « l’aigle à deux têtes » au théâtre du Ranelagh est rayonnante tout comme l’ensemble de la troupe de la Boîte aux Lettres !
Un bon moment!
Si vous n’avez jamais vu de Courteline : foncez! Le maquillage, les accessoires… La modernité de la mise en scène et les extraits choisis sont judicieux. Tout vous mettra dans l’ambiance « Courteline » ! Cela dit, à répertoire égal, l’interprétation au théâtre des Déchargeurs dans « Concerto de passion » (qui mélangeait cette fois Courteline, Feydeau et Guitry) était plus novatrice et m’avez semblé plus juste, plus piquante. Ici, c’est un peu bruyant : cela manque de finesse. Les saynètes s’enchaînent gaiement mais sans plus.
Pourtant les comédiens sont bons, pourtant leur partition est bonne mais il y a quelque chose... Mais mon souvenir de la pièce se concentrera plus sur les acteurs ! Salomé Villiers que j’avais découvert dans « l’aigle à deux têtes » au théâtre du Ranelagh est rayonnante tout comme l’ensemble de la troupe de la Boîte aux Lettres !
Un bon moment!
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