Critiques pour l'événement La tête dans les étoiles
L’Homme et l’espace. Voilà un thème qui n’a cessé de faire rêver au cours des dernières décennies. Le cinéma comme la télévision s’en sont régulièrement emparés pour servir de cadre à leurs fictions. Le théâtre moins … " La tête dans les étoiles " veut ainsi réparer cette injustice.
Dès le départ, le résumé de la pièce annonce la couleur : « du jamais vu sur scène ! » Un descriptif audacieux, et un peu dangereux tant il laisse entendre que le spectateur va assister à quelque chose d’exceptionnel, mais qui a suffi à me décider à prendre un billet. Après tout, un voyage spatial ne se refuse pas.
Avant toute chose, il faut saluer le choix d’un tel sujet. Original, il change des comédies classiques. Malheureusement, j’en suis ressorti un peu déçu. Sans aller jusqu’à quitter la salle (comme cela fut le cas pour des personnes lors de la représentation à laquelle j’assistais), j’ai eu bien du mal à être passionné par les cinquante premières minutes de la pièce, car elles se perdent en dialogue. Les personnages se croisent, s’alpaguent, discutent, mais leurs interactions ne servent pas à installer une quelconque intrigue. Au bout d’un moment, naît chez le spectateur l’impression que l’histoire tourne en rond. Dommage. Côté comédiens, Jérôme Bénilouz sort du lot. Pratiquement omniprésent sur scène, il mène incontestablement la barque. Axelle Marine tire aussi bien son épingle du jeu en épouse blasée. En revanche, j’ai été moins convaincu par les interprétations d’Eric Blanc et Valentine Kipp. L’humour, prévisible et parfois jouant avec la facilité, est néanmoins très présent. Certains passages sont amusants. Malgré cela, au fur et à mesure que les minutes s’écoulent, l’attention a tendance à s’émousser.
Et trente minutes avant la fin, patatras, changement d’ambiance. L’histoire se met en place. L’intrigue se révèle. Tout s’enchaîne pour emmener le spectateur dans une histoire faite de rebondissements rocambolesques. L’ennui se transforme en intérêt. On a presque l’impression de vivre une deuxième pièce dans la pièce. La fin est entendue. Certes. Mais elle est drôlement amusante !
Au final, cette comédie n’est pas exceptionnelle, mais ne compte pas parmi les pires.
Dès le départ, le résumé de la pièce annonce la couleur : « du jamais vu sur scène ! » Un descriptif audacieux, et un peu dangereux tant il laisse entendre que le spectateur va assister à quelque chose d’exceptionnel, mais qui a suffi à me décider à prendre un billet. Après tout, un voyage spatial ne se refuse pas.
Avant toute chose, il faut saluer le choix d’un tel sujet. Original, il change des comédies classiques. Malheureusement, j’en suis ressorti un peu déçu. Sans aller jusqu’à quitter la salle (comme cela fut le cas pour des personnes lors de la représentation à laquelle j’assistais), j’ai eu bien du mal à être passionné par les cinquante premières minutes de la pièce, car elles se perdent en dialogue. Les personnages se croisent, s’alpaguent, discutent, mais leurs interactions ne servent pas à installer une quelconque intrigue. Au bout d’un moment, naît chez le spectateur l’impression que l’histoire tourne en rond. Dommage. Côté comédiens, Jérôme Bénilouz sort du lot. Pratiquement omniprésent sur scène, il mène incontestablement la barque. Axelle Marine tire aussi bien son épingle du jeu en épouse blasée. En revanche, j’ai été moins convaincu par les interprétations d’Eric Blanc et Valentine Kipp. L’humour, prévisible et parfois jouant avec la facilité, est néanmoins très présent. Certains passages sont amusants. Malgré cela, au fur et à mesure que les minutes s’écoulent, l’attention a tendance à s’émousser.
Et trente minutes avant la fin, patatras, changement d’ambiance. L’histoire se met en place. L’intrigue se révèle. Tout s’enchaîne pour emmener le spectateur dans une histoire faite de rebondissements rocambolesques. L’ennui se transforme en intérêt. On a presque l’impression de vivre une deuxième pièce dans la pièce. La fin est entendue. Certes. Mais elle est drôlement amusante !
Au final, cette comédie n’est pas exceptionnelle, mais ne compte pas parmi les pires.
Hélas, la fusée ne décolle pas : mes deux pieds sont restés bien sur terre malgré les efforts de J. Benilouz.
Quand c'est mal écrit, rien ne peut y faire. En effet, j'ai trouvé que le texte n'était pas assez travaillé, et je n'étais pas la seule à me faire cette remarque au vu des départs des spectateurs avant la fin du spectacle.
Costumes et décors sont toutefois sympas.
Quand c'est mal écrit, rien ne peut y faire. En effet, j'ai trouvé que le texte n'était pas assez travaillé, et je n'étais pas la seule à me faire cette remarque au vu des départs des spectateurs avant la fin du spectacle.
Costumes et décors sont toutefois sympas.
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