Critiques pour l'événement Expo Gustav Klimt
J’ai beaucoup apprécié cette exposition.
Je comprends les critiques qu’on peut lui faire. On apprend rien de nouveau sur Klimt mais si ça peut amener les jeunes vers la culture, les sortir de leurs jeux vidéos et télévision je dis oui. Beaucoup de jeunes dans cette exposition alors certes c’est très bruyant mais je trouve que l’organisation et l’agencement de la salle permet d’accueillir tout ce monde.
Je comprends les critiques qu’on peut lui faire. On apprend rien de nouveau sur Klimt mais si ça peut amener les jeunes vers la culture, les sortir de leurs jeux vidéos et télévision je dis oui. Beaucoup de jeunes dans cette exposition alors certes c’est très bruyant mais je trouve que l’organisation et l’agencement de la salle permet d’accueillir tout ce monde.
Très original, techniquement parfait et ingénieux. Plein les yeux, dans un lieu chargé d'histoire.
Des sièges tout autour de la salle auraient été bienvenus.
Des sièges tout autour de la salle auraient été bienvenus.
Ne parlons pas d’expo pour ce lieu, plutôt d’une projection contemplative de l’oeuvre d’un artiste.
Vous n’y trouverez donc ni contenu pédagogique, ni anecdotes intéressantes sur une œuvre ou l’artiste : en somme un peu de musique et des animations de tableaux (pas toujours bien faites).
Il n’y aurait pas de problème si c’était vendu comme ça mais leur communication est fausse et mensongère. J’ai été très déçue par ce nouveau lieu dont toute la presse parlait tant.
Vous n’y trouverez donc ni contenu pédagogique, ni anecdotes intéressantes sur une œuvre ou l’artiste : en somme un peu de musique et des animations de tableaux (pas toujours bien faites).
Il n’y aurait pas de problème si c’était vendu comme ça mais leur communication est fausse et mensongère. J’ai été très déçue par ce nouveau lieu dont toute la presse parlait tant.
Sans parler du prix, vraiment excessif !
Mardi 9 octobre 2018
Un bon moment en famille.
Je ne savais pas ce que j'allais voir (idée de sortie de ma femme). Donc je n'étais pas déçu.
J'ai apprécié le côté déambulatoire dans la salle, l'aspect plus intimiste de la petite salle "au miroir". On voit tout en se déplaçant ou alors en restant statique posé par terre.
Il est vrai que je ressors sans en connaitre plus sur Klimt. Mais c'était un bon moment partagé avec mes filles avec lesquelles je pouvais parler librement sans les "Chut" habituels dans des endroits moins décibélisés.
Je ne savais pas ce que j'allais voir (idée de sortie de ma femme). Donc je n'étais pas déçu.
J'ai apprécié le côté déambulatoire dans la salle, l'aspect plus intimiste de la petite salle "au miroir". On voit tout en se déplaçant ou alors en restant statique posé par terre.
Il est vrai que je ressors sans en connaitre plus sur Klimt. Mais c'était un bon moment partagé avec mes filles avec lesquelles je pouvais parler librement sans les "Chut" habituels dans des endroits moins décibélisés.
J'ai adoré cette immersion totale... Au paradis de Klimt.
Entre rêve et réalité, mes émotions vibrent encore ;
Mes souvenirs me rappellent l'évasion et la détente que procurent cette exposition pas du tout comme les autres.
Magique, enchanteresse, cette expo est avant tout un grand moment de lâché prise avec le temps, avec la vie.
Expo sensuelle qui parlera à ceux qui savent s'abandonner...
Go !!!
Entre rêve et réalité, mes émotions vibrent encore ;
Mes souvenirs me rappellent l'évasion et la détente que procurent cette exposition pas du tout comme les autres.
Magique, enchanteresse, cette expo est avant tout un grand moment de lâché prise avec le temps, avec la vie.
Expo sensuelle qui parlera à ceux qui savent s'abandonner...
Go !!!
Si c'est cela l'avenir du musée, c'est bien triste.
Nous sommes déjà trop submergés d'écrans et de passivité pour ne pas avoir envie de nous en contenter lors de la découverte de l’œuvre d'un artiste.
Et si c'était cela le but, l'aspect ludique est assurément trop superficiel pour provoquer l'envie d'en savoir plus à un public moins habitué des musées.
Et pour un prix exagéré.
Nous sommes déjà trop submergés d'écrans et de passivité pour ne pas avoir envie de nous en contenter lors de la découverte de l’œuvre d'un artiste.
Et si c'était cela le but, l'aspect ludique est assurément trop superficiel pour provoquer l'envie d'en savoir plus à un public moins habitué des musées.
Et pour un prix exagéré.
Une expérience qui laisse sur sa faim…
Ce n’est ni une exposition, ni un documentaire, ni une « conférence numérique »… Alors qu’est-ce ???
Je ne saurais le dire. Il s’agit, dit le site, d’une « exposition numérique immersive »… Hum !
On ressort sans avoir rien appris qu’on ne sache déjà, si on en sait un peu sur Klimt et la Sécession…
Après avoir parcouru un grand hall -obscur- où sont assis, ou étendus par terre, tout plein de gens (attention dans le noir, à ne pas tomber !!!) ou, après être grimpé jusqu’à une mezzanine (non sans mal l’escalier étant encombré de gens assis anarchiquement) on choisit soit d’être statique, soit debout et à la longue c’est bien long, soit assis par terre, ou alors de circuler…
Certains visiteurs sont rêveurs, d’autres filment ou photographient à tire larigot (la nouvelle mode dans les expos !) … Ces derniers ne regardent rien. Ils regarderont chez eux ! Curieuse démarche !
De quoi s'agit-il ?
Par des moyens techniques, certes époustouflants, car plutôt précis, sont projetées des images.
Certaines se construisent peu à peu sur les murs, les colonnes, le sol, enfin, sur toutes les surfaces possibles de ce vaste entrepôt. Ainsi on voit s’édifier, puis se décorer de frises et de fresques, le Palais de la Sécession de Vienne ou, alors s’élaborer des détails des peintures, bien connues, comme si l’artiste était en train de les peindre.
D’autres moments rassemblent des portraits, comme sur un mur d’expo, avec zoom sur des expressions ou des regards, ou sur des détails de fonds.
Si on connait Klimt, Schiele, mais aussi, Wagner, Mahler, Lehar, ou Puccini, etc. On aura reconnu bien des choses, mais sans pour autant avoir véritablement repéré l’intention et la cohérence de ce projet … sinon... de nous épater ? De faire différent ? De faire parler ? Et peut-être aussi… de faire du fric (entrée coûteuse !) ?
Une expérience peut-être à faire pour voir … une fois dans sa vie ?
Encore que … car les peintres, les musiciens et cette époque méritent mieux, me semble -t-il.
Et la musique choisie -citée d’ailleurs trop brièvement au générique- constitue surtout un bruit de fond, sans l’ajout d’une quelconque émotion.
Sinon, c’est assez mal organisé car, avoir du monde un peu partout et gênant la circulation, pourrait se révéler dangereux…
Les entrées sont filtrées, semble-t-il, en nombre de participants, mais à l’intérieur, rien n’est organisé (zone de circulation et escaliers). J’ai failli tomber sur un sac à dos dans l’obscurité.
Donc cet art numérique, je l’ai vu mais il me semble avoir assisté à une séance de « boboïsation » de l’art.
Et contrairement à leur petit doc publicitaire, je n’ai pas été « portée par une musique envoutante » et n’ai pas « découvert les figures iconiques de la fresque de Klimt »
Et à mon avis il est préférable d’aller à Vienne… !
Ou alors de concevoir un projet numérique qui soit mieux pensé et mieux établi (peut être en collaboration avec des spécialistes de l’art pictural pour trouver une ligne conductrice).
Et Klimt, choisi comme produit d’appel, sans doute pour faire connaître, les 2 autres projets numériques « Hundertwasser » et « Poetic AI » ! Ceci laisse en moi un sentiment de malaise.
J’aime trop Gustav Klimt pour une telle utilisation.
Cela étant j’ai trouvé le projet numérique Hundertwasser (un contemporain de Klimt d’après le dépliant ) assez gai, même si je n’ai pas, là non plus, saisi l’intention.
Je demeure perplexe devant une telle proposition.
Ce n’est ni une exposition, ni un documentaire, ni une « conférence numérique »… Alors qu’est-ce ???
Je ne saurais le dire. Il s’agit, dit le site, d’une « exposition numérique immersive »… Hum !
On ressort sans avoir rien appris qu’on ne sache déjà, si on en sait un peu sur Klimt et la Sécession…
Après avoir parcouru un grand hall -obscur- où sont assis, ou étendus par terre, tout plein de gens (attention dans le noir, à ne pas tomber !!!) ou, après être grimpé jusqu’à une mezzanine (non sans mal l’escalier étant encombré de gens assis anarchiquement) on choisit soit d’être statique, soit debout et à la longue c’est bien long, soit assis par terre, ou alors de circuler…
Certains visiteurs sont rêveurs, d’autres filment ou photographient à tire larigot (la nouvelle mode dans les expos !) … Ces derniers ne regardent rien. Ils regarderont chez eux ! Curieuse démarche !
De quoi s'agit-il ?
Par des moyens techniques, certes époustouflants, car plutôt précis, sont projetées des images.
Certaines se construisent peu à peu sur les murs, les colonnes, le sol, enfin, sur toutes les surfaces possibles de ce vaste entrepôt. Ainsi on voit s’édifier, puis se décorer de frises et de fresques, le Palais de la Sécession de Vienne ou, alors s’élaborer des détails des peintures, bien connues, comme si l’artiste était en train de les peindre.
D’autres moments rassemblent des portraits, comme sur un mur d’expo, avec zoom sur des expressions ou des regards, ou sur des détails de fonds.
Si on connait Klimt, Schiele, mais aussi, Wagner, Mahler, Lehar, ou Puccini, etc. On aura reconnu bien des choses, mais sans pour autant avoir véritablement repéré l’intention et la cohérence de ce projet … sinon... de nous épater ? De faire différent ? De faire parler ? Et peut-être aussi… de faire du fric (entrée coûteuse !) ?
Une expérience peut-être à faire pour voir … une fois dans sa vie ?
Encore que … car les peintres, les musiciens et cette époque méritent mieux, me semble -t-il.
Et la musique choisie -citée d’ailleurs trop brièvement au générique- constitue surtout un bruit de fond, sans l’ajout d’une quelconque émotion.
Sinon, c’est assez mal organisé car, avoir du monde un peu partout et gênant la circulation, pourrait se révéler dangereux…
Les entrées sont filtrées, semble-t-il, en nombre de participants, mais à l’intérieur, rien n’est organisé (zone de circulation et escaliers). J’ai failli tomber sur un sac à dos dans l’obscurité.
Donc cet art numérique, je l’ai vu mais il me semble avoir assisté à une séance de « boboïsation » de l’art.
Et contrairement à leur petit doc publicitaire, je n’ai pas été « portée par une musique envoutante » et n’ai pas « découvert les figures iconiques de la fresque de Klimt »
Et à mon avis il est préférable d’aller à Vienne… !
Ou alors de concevoir un projet numérique qui soit mieux pensé et mieux établi (peut être en collaboration avec des spécialistes de l’art pictural pour trouver une ligne conductrice).
Et Klimt, choisi comme produit d’appel, sans doute pour faire connaître, les 2 autres projets numériques « Hundertwasser » et « Poetic AI » ! Ceci laisse en moi un sentiment de malaise.
J’aime trop Gustav Klimt pour une telle utilisation.
Cela étant j’ai trouvé le projet numérique Hundertwasser (un contemporain de Klimt d’après le dépliant ) assez gai, même si je n’ai pas, là non plus, saisi l’intention.
Je demeure perplexe devant une telle proposition.
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