Critiques pour l'événement Ça reste entre nous
Un couple a organisé chez eux le mariage de leur fille. Ils reçoivent les beaux-parents. Ils annoncent alors leur divorce. Et là suit une histoire classique dans ce style.
Ce type de pièce n’est pas du tout mon style mais je suis restée agréablement surprise. C’est plutôt drôle, plaisant, sympathique. Le sujet traité aurait pu faire basculer la pièce dans les stéréotypes bien pénibles. Ce n’est pas le cas. Le texte évite plutôt tout cela. C’est bien interprété par les 4 acteurs.
Agréable surprise car mon a priori était négatif. On passe un bon moment.
Ce type de pièce n’est pas du tout mon style mais je suis restée agréablement surprise. C’est plutôt drôle, plaisant, sympathique. Le sujet traité aurait pu faire basculer la pièce dans les stéréotypes bien pénibles. Ce n’est pas le cas. Le texte évite plutôt tout cela. C’est bien interprété par les 4 acteurs.
Agréable surprise car mon a priori était négatif. On passe un bon moment.
C’est une pièce très théâtre de boulevard voir trop théâtre de boulevard mais ça reste entre nous ! La seule modernité c’est le coming out qui viendra bouleverser une fin de soirée de mariage et faire exploser les couples de beaux parents. Une manière d’aborder l’infidélité homosexuelle masculine avec un humour qui manque un peu de subtilité. Jaqueline Maillan tu nous manques pour nous faire passer une soirée inoubliable. Les comédiens font ce qu’ils peuvent malgré un jeu inégal. Bref on s’amuse quand même, mais cette comédie qui a son public ne restera pas dans les annales.
J'ai été déçue par cette pièce même si je me faisais une joie de retrouver ce quatuor d'acteurs.
Non, les acteurs je les ai trouvé parfaits, mais c'est le texte qui pêche.
L'idée de départ et la différence sociale des 2 couples sont à mon avis intéressantes mais mal été exploitées.
Du coup, j'avais l'impression d'attendre quelque chose qui n'est pas venu.
Enfin, le revirement du personnage joué par M. Garcia m'a étonné.
Non, les acteurs je les ai trouvé parfaits, mais c'est le texte qui pêche.
L'idée de départ et la différence sociale des 2 couples sont à mon avis intéressantes mais mal été exploitées.
Du coup, j'avais l'impression d'attendre quelque chose qui n'est pas venu.
Enfin, le revirement du personnage joué par M. Garcia m'a étonné.
Du bonheur au malheur, il n’y a parfois qu’une parole à prononcer.
Alors que la cérémonie de mariage vient de se terminer, que les jeunes mariés ont rejoint le lieu de rêve loué pour leur nuit de noce, les parents se retrouvent au calme pour achever la soirée. Achever étant ici le terme adéquat, car, pris d'un irrépressible besoin, le père de la mariée saisit l'instant pour annoncer à l’aimable assistance une grande nouvelle … Nouvelle qui va faire l’effet d’une bombe et littéralement miner les relations entre les quatre présents. Dès lors, non-dits, quiproquos et coups fourrés vont se succéder. Mais, attention, tous sont d’accord sur un point : cette histoire doit rester entre eux !
Le spectateur se retrouve ainsi le témoin d’un règlement de compte général. En guise de ring, le beau salon d’une luxueuse résidence. En guise de boxeurs ? A ma droite, Pierre Douglas et Michèle Garcia, couple fortuné, lui grand patron du CAC40 et elle consultante, parents de la mariée. A ma gauche, Isabelle de Botton et Bruno Chapelle, respectivement responsable d’un salon de beauté et concessionnaire, parents du marié.
A ce seul descriptif, on sent qu’une partie du potentiel comique de la pièce va reposer sur cette différence de classe sociale. C’est le cas. Toutefois, si l’incompréhension entre ces deux mondes est bien présente, le trait ne vire pas au cliché grossier. Quelques bons mots permettent même de sourire.
Rire ? J’ai plus souvent souri que ri, malheureusement. Si le texte n’est pas mauvais, le déroulement de l’histoire est, à mon sens, un peu trop convenu. A une exception près cependant : le retournement de positionnement du personnage joué par Michèle Garcia. Alors que cette dernière fait preuve d’une infaillible attitude durant les trois quarts de la pièce, subitement et sans que l’on comprenne pourquoi, revirement complet, c’est une toute autre personne qui est sur scène. J’avoue ne pas avoir bien compris pourquoi elle avait changé ainsi …
En dehors de ce fait, c’est plutôt bien joué. Pierre Douglas est aussi classieux dans son apparence que dans son verbe. Michèle Garcia (exception faite de cette fameuse fin …) incarne cette femme sûre d’elle et complètement égoïste. Isabelle de Botton joue très bien son rôle de femme gentille, mais un brin nunuche. Quant à Bruno Chapelle, à la croisée des chemins, il nous montre un homme sachant se tenir, mais qui s’il n’y prête garde peut avoir des réactions surprenantes.
Partant d’une idée originale (mais que je ne vous dévoilerai pas), « Ça reste entre nous » est une comédie sympathique, mais pas hilarante.
Alors que la cérémonie de mariage vient de se terminer, que les jeunes mariés ont rejoint le lieu de rêve loué pour leur nuit de noce, les parents se retrouvent au calme pour achever la soirée. Achever étant ici le terme adéquat, car, pris d'un irrépressible besoin, le père de la mariée saisit l'instant pour annoncer à l’aimable assistance une grande nouvelle … Nouvelle qui va faire l’effet d’une bombe et littéralement miner les relations entre les quatre présents. Dès lors, non-dits, quiproquos et coups fourrés vont se succéder. Mais, attention, tous sont d’accord sur un point : cette histoire doit rester entre eux !
Le spectateur se retrouve ainsi le témoin d’un règlement de compte général. En guise de ring, le beau salon d’une luxueuse résidence. En guise de boxeurs ? A ma droite, Pierre Douglas et Michèle Garcia, couple fortuné, lui grand patron du CAC40 et elle consultante, parents de la mariée. A ma gauche, Isabelle de Botton et Bruno Chapelle, respectivement responsable d’un salon de beauté et concessionnaire, parents du marié.
A ce seul descriptif, on sent qu’une partie du potentiel comique de la pièce va reposer sur cette différence de classe sociale. C’est le cas. Toutefois, si l’incompréhension entre ces deux mondes est bien présente, le trait ne vire pas au cliché grossier. Quelques bons mots permettent même de sourire.
Rire ? J’ai plus souvent souri que ri, malheureusement. Si le texte n’est pas mauvais, le déroulement de l’histoire est, à mon sens, un peu trop convenu. A une exception près cependant : le retournement de positionnement du personnage joué par Michèle Garcia. Alors que cette dernière fait preuve d’une infaillible attitude durant les trois quarts de la pièce, subitement et sans que l’on comprenne pourquoi, revirement complet, c’est une toute autre personne qui est sur scène. J’avoue ne pas avoir bien compris pourquoi elle avait changé ainsi …
En dehors de ce fait, c’est plutôt bien joué. Pierre Douglas est aussi classieux dans son apparence que dans son verbe. Michèle Garcia (exception faite de cette fameuse fin …) incarne cette femme sûre d’elle et complètement égoïste. Isabelle de Botton joue très bien son rôle de femme gentille, mais un brin nunuche. Quant à Bruno Chapelle, à la croisée des chemins, il nous montre un homme sachant se tenir, mais qui s’il n’y prête garde peut avoir des réactions surprenantes.
Partant d’une idée originale (mais que je ne vous dévoilerai pas), « Ça reste entre nous » est une comédie sympathique, mais pas hilarante.
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