C'est une pièce qui a le mérite d'être originale ! Reprenant les codes de la célèbre série TV du moment, l'intrigue se passe dans un monde où les hommes se transforment en zombies eux-mêmes mangeurs d'hommes.

Les costumes sont très bien faits, et heureusement le ton est décalé, les personnages caricaturés. Ce qui donne à la pièce un côté comique dans tout ce drama apocalyptique.

Un bon moment passé au théâtre des Béliers !

Une expo qui aurait gagné à être un peu plus structurée... On se ballade d'abord au milieu des herbiers (en fait, si on avait voulu voir des herbiers on serait allés au jardin des plantes...) et des bijoux des mécènes aka Cartier et Van Cleef (pas très discret le placement de produits).

Il y a quand même des oeuvres intéressantes, des Monet, Redon, Vuillard... Mais comme une fois sur deux au Grand Palais, on s'y perd dans ce trop-plein d'oeuvres sans mise en perspective.

Et dans une expo sur les jardins, dommage de ne pas avoir mis en avant et rappelé la conception du jardin à la française ?!

On retrouve toute la patte de Michalik sans les artifices des pièces de plus grande ampleur.

On se laisse porter par cette histoire entraînante, originale et bien menée. Une mise en scène comme toujours minutieuse et des comédiens qui enchaînent les rôles pour mieux épater le spectateur.

Encore une réussite !

Une mise en scène avec beaucoup trop d'éléments (pourquoi essayer d'en faire trop quand le texte est déjà assez fort ?). Vidéo, hologrammes, décors mouvants, majorettes... bref, on est perdu dans ce trop-plein d'éléments scénique qui in fine, n'apporte rien.

Côté comédiens, on a franchement vu mieux.

Bel orchestre, excellents musiciens, chanteurs impeccables. Pourtant la mayonnaise ne prend pas. Quel dommage de réduire un roman aussi riche que celui de V.Hugo à quelques paroles de chansons, sans transition ni réelle mise en scène ?

J'ai été épatée par la comédie musicale de Londres, mais là je suis sortie frustrée. Pourtant, la salle est debout...