Ses critiques
47 critiques
7/10
Destin d'une femme libre, qui s'est affranchie des codes, et tenté de rompre les sérails, les carcans. Ses atours lui ont permis de côtoyé d'illustres artistes comme Auguste Renoir, Toulouse Lautrec.
Derrière la gouaille de cette goulue de la vie, des hommes, de la fête, se cache l'enfant qui a toujours cherché à plaire, plaire à tout prix et quelqu’un soit le prix y compris la violence, les coups...
Franchir le seuil de la salle « cabaret » du théâtre de l’essaion, c'est déjà entrer dans le cœur de Paris, se laisser accueillir par ses voûtes en pierre de taille, le décor est déjà planté , troquons le portable contre la montre à gousset et nous voici prêt au voyage dans le temps.
Le temps de la belle époque, du moulin rouge, le rythme de l'accordéon nous évoque le mythique Montmartre.
La Goulue nous embarque dans son monde mais aussi dans ses tribulations, des trébuchements, ses hauts mais surtout ses bas et ses méandres. l'émotion est bien présente, l'humour du clown triste aussi.
On retiendra la gouaille comme ritournelle mais aussi la tendresse déclenche le personnage, l'interaction recherchée auprès du public.
Derrière la gouaille de cette goulue de la vie, des hommes, de la fête, se cache l'enfant qui a toujours cherché à plaire, plaire à tout prix et quelqu’un soit le prix y compris la violence, les coups...
Franchir le seuil de la salle « cabaret » du théâtre de l’essaion, c'est déjà entrer dans le cœur de Paris, se laisser accueillir par ses voûtes en pierre de taille, le décor est déjà planté , troquons le portable contre la montre à gousset et nous voici prêt au voyage dans le temps.
Le temps de la belle époque, du moulin rouge, le rythme de l'accordéon nous évoque le mythique Montmartre.
La Goulue nous embarque dans son monde mais aussi dans ses tribulations, des trébuchements, ses hauts mais surtout ses bas et ses méandres. l'émotion est bien présente, l'humour du clown triste aussi.
On retiendra la gouaille comme ritournelle mais aussi la tendresse déclenche le personnage, l'interaction recherchée auprès du public.
8,5/10
Le pitch :
Kean est l’histoire d’un comédien anglais shakespearien du début du XIXème siècle, Edmond Kean. Cette pièce en 5 actes, écrite en 1936 par Dumas père, a été revisitée par Sartre en 1953.
Kean a dédié sa vie à la scène. A la fois extravagant, impertinent et passionné, Kean a un besoin urgent d’être le centre de l’attention de tous. Femmes, argent et célébrité sont les clés de sa vie n’est pas n’importe quelle pièce. C’est une réflexion sur le métier d’acteur. Un miroir dans lequel Jean-Paul Belmondo, 54 ans, a pris le temps de se regarder en 1987 sur la scène du théâtre Marigny ( 211 représentations ! 200 000 spectateurs)
Mon Avis
Le défi était donc de taille! Cette Belle troupe, mise habilement en scène par Alain Sachs, relève le gant avec honneur et brio.
Alexis Desseaux incarne un Kean passionné, passionnant, inspiré, inspirant, flamboyant et sombre tout autant, emportant dans sa folle course sa cour et celle du prince de Galles mais aussi celles et ceux qui tombent sous sa coupe et qui sont prêts à boire jusqu’à la lie….
Kean aurait pu aussi être ce Dom Juan avec son fidèle complice et valet Sganarelle remarquablement incarné par Stéphane Titeca, son double tout autant que son opposé, son miroir tout autant que son juge.
Mention particulière aussi pour Justine Thibaudat, qui endosse probablement le rôle le plus charmant et le plus attachant et qui irradie d’une fraicheur “ingénue.
Kean est l’histoire d’un comédien anglais shakespearien du début du XIXème siècle, Edmond Kean. Cette pièce en 5 actes, écrite en 1936 par Dumas père, a été revisitée par Sartre en 1953.
Kean a dédié sa vie à la scène. A la fois extravagant, impertinent et passionné, Kean a un besoin urgent d’être le centre de l’attention de tous. Femmes, argent et célébrité sont les clés de sa vie n’est pas n’importe quelle pièce. C’est une réflexion sur le métier d’acteur. Un miroir dans lequel Jean-Paul Belmondo, 54 ans, a pris le temps de se regarder en 1987 sur la scène du théâtre Marigny ( 211 représentations ! 200 000 spectateurs)
Mon Avis
Le défi était donc de taille! Cette Belle troupe, mise habilement en scène par Alain Sachs, relève le gant avec honneur et brio.
Alexis Desseaux incarne un Kean passionné, passionnant, inspiré, inspirant, flamboyant et sombre tout autant, emportant dans sa folle course sa cour et celle du prince de Galles mais aussi celles et ceux qui tombent sous sa coupe et qui sont prêts à boire jusqu’à la lie….
Kean aurait pu aussi être ce Dom Juan avec son fidèle complice et valet Sganarelle remarquablement incarné par Stéphane Titeca, son double tout autant que son opposé, son miroir tout autant que son juge.
Mention particulière aussi pour Justine Thibaudat, qui endosse probablement le rôle le plus charmant et le plus attachant et qui irradie d’une fraicheur “ingénue.