Ses critiques
3 critiques
2,5/10
Je suis bien d'accord avec cette longue critique d'une pièce qui n'en mérite pas tant !
Barbara Schulz est pétillante et sauve à elle seule la pièce et la soirée des spectateurs.
L'histoire ; une bluette sentimentale, un roman de gare qui avait déjà servi un assez mauvais film, mais quelle idée de récidiver au théâtre.
Le soir de la première, Pascal Elbé était très mauvais, il faut bien le dire même si j'en suis désolée pour lui. Toujours en retrait, mal dans sa peau, dans son personnage, dans la pièce, peut-être mal dirigé, sûrement même… ou bien un trac monstre… Je ne sais, mais quelle frustration !
Barbara Schulz est pétillante et sauve à elle seule la pièce et la soirée des spectateurs.
L'histoire ; une bluette sentimentale, un roman de gare qui avait déjà servi un assez mauvais film, mais quelle idée de récidiver au théâtre.
Le soir de la première, Pascal Elbé était très mauvais, il faut bien le dire même si j'en suis désolée pour lui. Toujours en retrait, mal dans sa peau, dans son personnage, dans la pièce, peut-être mal dirigé, sûrement même… ou bien un trac monstre… Je ne sais, mais quelle frustration !
9,5/10
Première ce soir de « Peur » d'après une nouvelle de Stefan Zweig au théâtre Michel.
Ça, c'est du théâtre !
Du texte, une histoire, des dialogues bien sûr, mais qui en disent beaucoup plus ;
des acteurs épatants et toujours juste ;
une mis en scène simple, efficace et très très astucieuse…
Et pour nous dans la salle, un grand moment de plaisir.
Ça, c'est du théâtre !
Du texte, une histoire, des dialogues bien sûr, mais qui en disent beaucoup plus ;
des acteurs épatants et toujours juste ;
une mis en scène simple, efficace et très très astucieuse…
Et pour nous dans la salle, un grand moment de plaisir.
2,5/10
Quel ennui ! J'ai failli m'endormir. Eddy Mitchell n'est vraiment pas un acteur de théâtre, ses partenaires font ce qu'ils peuvent, sans grand succès, pour servir le texte insipide d'une morne histoire.
Si les deux héros sont sensés "voyager", ils sont bien seuls à le faire et en coulisses sûrement, les spectateurs, eux, restent collés sur leur siège en attendant la fin.
Triste soirée à qui il manque la tristesse mélancolique, poétique et évocatrice du film.
Si les deux héros sont sensés "voyager", ils sont bien seuls à le faire et en coulisses sûrement, les spectateurs, eux, restent collés sur leur siège en attendant la fin.
Triste soirée à qui il manque la tristesse mélancolique, poétique et évocatrice du film.