Ses critiques
26 critiques
8/10
Cette adaptation de l’œuvre de Billy Wilder par Judith Elmaleh et l’infatigable Gérald Sibleyras est une véritable réussite. D’emblée la musique de George Gershwin nous met dans l’ambiance du New York des années 50. Puis l’exceptionnel et superbe décor d’Edouard Laug nous transporte de « la garçonnière » aux bureaux d’une compagnie d’assurance en passant par l’ascenseur, allant d’une scène à l’autre sans intermède.
Baxter, Guillaume de Tonquédec, est excellent en employé de bureau modèle, brave homme au grand cœur à la recherche de reconnaissance et d’une promotion professionnelle. La superbe Claire Keim est la touchante liftière un peu paumée séduite par son infidèle patron, Jean-Pierre Lorit, qui profite de sa position pour abuser de ses charmes. Mais à la fin de l’histoire, l’amour l’emportera-t-il sur l’ambition et le carriérisme de Baxter ? L’interprétation remarquable des douze comédiens augure de la réussite certaine de cette comédie romantique.
Baxter, Guillaume de Tonquédec, est excellent en employé de bureau modèle, brave homme au grand cœur à la recherche de reconnaissance et d’une promotion professionnelle. La superbe Claire Keim est la touchante liftière un peu paumée séduite par son infidèle patron, Jean-Pierre Lorit, qui profite de sa position pour abuser de ses charmes. Mais à la fin de l’histoire, l’amour l’emportera-t-il sur l’ambition et le carriérisme de Baxter ? L’interprétation remarquable des douze comédiens augure de la réussite certaine de cette comédie romantique.
8/10
Savoureuse comédie écrite et mise en scène par Fraticelli entre les « Pieds Niclés » et les « Dalton ».
Une autodérision humoristique et décapante des mafiosi Corse. Les comédiens s’en donnent à cœur joie multipliant les bavures, du contrat raté à l’enlèvement foiré. Il n’y en a pas un pour racheter l’autre. La belette Eric Fraticelli va de gaffes en bévues. Philippe Corti est parfait en gangster quinquagénaire raté. Jean-Jacques Perrone campe avec justesse en abruti cruel qui à arrêté ses étude au portail de l’école. Tant qu’à Denis Braccini, l’intellectuel du gang, pense comme il suit !
Enfin la ravissante Aurélia Decker se rebiffe mais finira par attraper le syndrome de Stockholm. Pour passer une agréable soirée sans prise de tête cette plaisante pièce comique vaut le détour …
Une autodérision humoristique et décapante des mafiosi Corse. Les comédiens s’en donnent à cœur joie multipliant les bavures, du contrat raté à l’enlèvement foiré. Il n’y en a pas un pour racheter l’autre. La belette Eric Fraticelli va de gaffes en bévues. Philippe Corti est parfait en gangster quinquagénaire raté. Jean-Jacques Perrone campe avec justesse en abruti cruel qui à arrêté ses étude au portail de l’école. Tant qu’à Denis Braccini, l’intellectuel du gang, pense comme il suit !
Enfin la ravissante Aurélia Decker se rebiffe mais finira par attraper le syndrome de Stockholm. Pour passer une agréable soirée sans prise de tête cette plaisante pièce comique vaut le détour …
8/10
Ce spectacle musical est avant tout un époustouflant spectacle de danse sur les standards cultes de « Saturday nigth fiver ».
Le DJ Gwendal Marimoutou, que nous avions déjà remarqué dans « Résiste », mène la danse. On se retrouve plongé dans la fièvre du samedi soir des années disco. La talentueuse troupe de danseurs est remarquable. La chorégraphie de Stéphane Jarny colle magnifiquement avec les tubes sublimissimes des Bee Gees interprétés avec talent par un trio de chanteurs et Vinicius Timmerman. Tony, le beau Nicolas Archambault et Stéphanie, la fantastique danseuse Fauve Hautot forment un couple parfait. Les décors sont superbes sans oublier les incontournables boules à facettes ainsi que les costumes à paillettes.
Vous apprendrez même les rudiments de la danse dico, le déhanché, les moulinets, et autres mouvements à la base de cette danse. Nostalgie quand tu nous tiens !
Le DJ Gwendal Marimoutou, que nous avions déjà remarqué dans « Résiste », mène la danse. On se retrouve plongé dans la fièvre du samedi soir des années disco. La talentueuse troupe de danseurs est remarquable. La chorégraphie de Stéphane Jarny colle magnifiquement avec les tubes sublimissimes des Bee Gees interprétés avec talent par un trio de chanteurs et Vinicius Timmerman. Tony, le beau Nicolas Archambault et Stéphanie, la fantastique danseuse Fauve Hautot forment un couple parfait. Les décors sont superbes sans oublier les incontournables boules à facettes ainsi que les costumes à paillettes.
Vous apprendrez même les rudiments de la danse dico, le déhanché, les moulinets, et autres mouvements à la base de cette danse. Nostalgie quand tu nous tiens !
9/10
Ou suis-je ?
Ainsi commence la pièce. C’est dans l’imagination fertile d’Eric-Emmanuel Schmitt qu’a muri cette comédie magnifiquement jouée par une talentueuse troupe de comédiens. Au premier rang desquels il faut saluer la superbe prestation du couple, à la scène comme à la ville, de Davy Sardou et Noémie Elbaz. Les autres n’ont pas démérité non plus, en particulier Jean-Paul Farre et Michèle Garcia dans une remarquable interprétation de leurs monologues percutants et émouvants.
On est transporté dans l’espace métaphysique de l’hôtel des deux mondes entre la vie et la mort. Durant deux heures on ne voit pas le temps passer, on ne s’ennuie pas un seul instant tant l’histoire est poignante et pas dénuée d’humour. On s’attache avec émotion aux personnages tiraillés entre la vie, l’amour et la mort. On ne sait ni comment ils sont arrivés là, ni où ils s’en iront.
Ainsi commence la pièce. C’est dans l’imagination fertile d’Eric-Emmanuel Schmitt qu’a muri cette comédie magnifiquement jouée par une talentueuse troupe de comédiens. Au premier rang desquels il faut saluer la superbe prestation du couple, à la scène comme à la ville, de Davy Sardou et Noémie Elbaz. Les autres n’ont pas démérité non plus, en particulier Jean-Paul Farre et Michèle Garcia dans une remarquable interprétation de leurs monologues percutants et émouvants.
On est transporté dans l’espace métaphysique de l’hôtel des deux mondes entre la vie et la mort. Durant deux heures on ne voit pas le temps passer, on ne s’ennuie pas un seul instant tant l’histoire est poignante et pas dénuée d’humour. On s’attache avec émotion aux personnages tiraillés entre la vie, l’amour et la mort. On ne sait ni comment ils sont arrivés là, ni où ils s’en iront.
8/10
Le thème « d’Ensemble » n’est pas facile et pourtant la façon de l’aborder par le jeune Fabio Marra l’auteur, metteur en scène et interprète fait qu’à l’arrivée, c’est une pièce réussie pleine d’émotion.
La talentueuse Catherine Arditi en mère qui sacrifie sa vie pour accompagner son fils, simple d’esprit, est formidable de naturel et de sincérité. Sonia Palau incarne avec justesse une sœur qui a du mal à assumer le handicap de son frère. La pétulante Floriane Vincent complète le casting.
Le risque était de faire du pathos, mais le texte traité avec humour en fait une comédie attachante.
La talentueuse Catherine Arditi en mère qui sacrifie sa vie pour accompagner son fils, simple d’esprit, est formidable de naturel et de sincérité. Sonia Palau incarne avec justesse une sœur qui a du mal à assumer le handicap de son frère. La pétulante Floriane Vincent complète le casting.
Le risque était de faire du pathos, mais le texte traité avec humour en fait une comédie attachante.