Ses critiques
26 critiques
9/10
Comme les trois mousquetaires « les Goguettes » sont quatre sauf que d’Artagnan est une femme.
Des chanteurs chansonniers nous enchantent en chantant des chansons populaires dont les paroles sont réécrites avec humour sur la vie politique. Exercice particulièrement bien réussi. Ce n’est pas si simple d’actualiser au jour le jour leur répertoire au fil des évènements. Il est vrai que les actes et déclarations de nos Présidents, Ministres et députés sont riches d’opportunités. Ils mettent le public dans leur poche avec leurs pastiches drolatiques en surfant sur l’actualité. Mais ils sont aussi d’excellents chanteurs et musiciens.
Ils sont en marche vers le succès. « Un trio en goguette, un humour super chouette, le public en délire, la politique du rire, les goguettes »
Des chanteurs chansonniers nous enchantent en chantant des chansons populaires dont les paroles sont réécrites avec humour sur la vie politique. Exercice particulièrement bien réussi. Ce n’est pas si simple d’actualiser au jour le jour leur répertoire au fil des évènements. Il est vrai que les actes et déclarations de nos Présidents, Ministres et députés sont riches d’opportunités. Ils mettent le public dans leur poche avec leurs pastiches drolatiques en surfant sur l’actualité. Mais ils sont aussi d’excellents chanteurs et musiciens.
Ils sont en marche vers le succès. « Un trio en goguette, un humour super chouette, le public en délire, la politique du rire, les goguettes »
5/10
Oh my God, c’est le cas de le dire ! Cette comédie satanique déjantée jusqu'à l’excès m’a laissé un goût mitigé !?!
Les décors sont stupéfiants comme les substances que semblent avoir pris les acteurs tant leur jeu frise le délire paranoïaque. Ils sont fous ces cathos. Le thème de la pièce est intéressant et amusant, mais ça part en vrille jusqu’à un simulacre érotique par procuration. Le grotesque flirte avec le grossier et même si c’est souvent drôle c’est d’un humour lourdingue. Pour couronner le tout, deux heures, c’est diablement long.
Un point positif pourtant la prestation explosive et démoniaque de Thomas Ronzeau qui fait littéralement vivre sa marionnette.
Les décors sont stupéfiants comme les substances que semblent avoir pris les acteurs tant leur jeu frise le délire paranoïaque. Ils sont fous ces cathos. Le thème de la pièce est intéressant et amusant, mais ça part en vrille jusqu’à un simulacre érotique par procuration. Le grotesque flirte avec le grossier et même si c’est souvent drôle c’est d’un humour lourdingue. Pour couronner le tout, deux heures, c’est diablement long.
Un point positif pourtant la prestation explosive et démoniaque de Thomas Ronzeau qui fait littéralement vivre sa marionnette.
8/10
Les « DIVA » sont divines comme les « Divalala » sauf qu’au lieu d’un trio c’est un quintette de chanteuses lyriques qui sont à l’Opéra ce que les autres sont à la variété.
Elles sont accompagnées en live par un remarquable quartet à cordes pour revisiter avec humour les grands airs d’Opéra. Il y a du Gauthier dans les costumes de Michel Dussara et les incoyables coiffures sont à la manière des merveilleuses du XVIIIe siècle. Les mélomanes resteront sur leur faim, pour les autres c’est une approche des grands airs de l’opéra avant d’aller affronter quatre heures durant des œuvres intégrales.
Plaisante et loufoque mise en scène de Manon Savary la digne fille de son père. Les cantatrices Flore Philis et Marie Menand mènent à la baguette ce spectacle rythmé, chic et déjanté.
Elles sont accompagnées en live par un remarquable quartet à cordes pour revisiter avec humour les grands airs d’Opéra. Il y a du Gauthier dans les costumes de Michel Dussara et les incoyables coiffures sont à la manière des merveilleuses du XVIIIe siècle. Les mélomanes resteront sur leur faim, pour les autres c’est une approche des grands airs de l’opéra avant d’aller affronter quatre heures durant des œuvres intégrales.
Plaisante et loufoque mise en scène de Manon Savary la digne fille de son père. Les cantatrices Flore Philis et Marie Menand mènent à la baguette ce spectacle rythmé, chic et déjanté.
7/10
La complicité de l’auteur et interprète Jacques Mougenot en patient torturé par le manque de curiosité et Hervé Devolder son psy offre au public une pièce agréable et bien interprétée.
Cette pépite malicieuse parle de l’ennui sans que cela nous ennuie un seul instant. C'est bien écrit avec finesse, humour et intelligence. Le sujet est original et drôle. On ne s’attend pas au rebondissement ultime qui fait penser à l'arroseur arrosé où ça fini bien à la fin ! Ça vaut vraiment le détour ...
Cette pépite malicieuse parle de l’ennui sans que cela nous ennuie un seul instant. C'est bien écrit avec finesse, humour et intelligence. Le sujet est original et drôle. On ne s’attend pas au rebondissement ultime qui fait penser à l'arroseur arrosé où ça fini bien à la fin ! Ça vaut vraiment le détour ...
8/10
Le Café de la gare a pris de la « Bouteille » grâce à un bon cru de talentueux jeunes comédiens.
« Tout le monde peut se tromper » mais je peux dire avec certitude que cette troupe là ira loin et affirmer que cette comédie comique de Carole Greep et Guillaume Labbé pourrait bien devenir culte. Bon, l’intrigue est un peu simplette mais qu’importe : comment rendre jaloux un amoureux que l’on croit infidèle en lui faisant croire qu’on lui est infidèle ! Les acteurs s’en donnent à cœur joie avec générosité et dynamisme. On voit qu’ils s’amusent à nous amuser.
Il n’y a aucun temps mort, c’est un déploiement d’énergie permanent. Les gags s’enchainent déclenchant des rires à chaque réplique. J’ai un petit faible pour l’humour décalé de Sébastien Pierre, dans le rôle d’Henri il s’appelle Henri Chocapic aussi. Mais les autres interprètes ne sont pas en reste en particulier l’inépuisable Karine Dubernet. Un grand bol de bonne humeur pour un grand moment de détente.
« Tout le monde peut se tromper » mais je peux dire avec certitude que cette troupe là ira loin et affirmer que cette comédie comique de Carole Greep et Guillaume Labbé pourrait bien devenir culte. Bon, l’intrigue est un peu simplette mais qu’importe : comment rendre jaloux un amoureux que l’on croit infidèle en lui faisant croire qu’on lui est infidèle ! Les acteurs s’en donnent à cœur joie avec générosité et dynamisme. On voit qu’ils s’amusent à nous amuser.
Il n’y a aucun temps mort, c’est un déploiement d’énergie permanent. Les gags s’enchainent déclenchant des rires à chaque réplique. J’ai un petit faible pour l’humour décalé de Sébastien Pierre, dans le rôle d’Henri il s’appelle Henri Chocapic aussi. Mais les autres interprètes ne sont pas en reste en particulier l’inépuisable Karine Dubernet. Un grand bol de bonne humeur pour un grand moment de détente.