Ses critiques
26 critiques
7/10
Comme on ne dit jamais, jamais, ce soir à la grande happy comédie, c’est une époustouflante Julia Gourand qui nous a séduit dans son interprétation des multiples personnages féminins de cette pièce.
C’est une sorte de comédie à sketchs qui tient principalement grâce au jeu de la comédienne.
Un spectacle interactif agréable et d’un comique décapant pour une bonne soirée divertissante.
C’est une sorte de comédie à sketchs qui tient principalement grâce au jeu de la comédienne.
Un spectacle interactif agréable et d’un comique décapant pour une bonne soirée divertissante.
7/10
Les tontons farceurs sont aussi des flingueurs. Cinq comédiens interprètent cette comédie comico-policière à la Audiard avec conviction même si parfois ils improvisent avec humour pour retrouver leur texte. Les vieux de la vielle composés de Chevallier et Chapelle forment un duo de choc.
La pulpeuse Nathalie Marquay pousse la chansonnette avec un beau brin de voix. Catherine Vranken et David Le Roch complète la bande. Ce théâtre de boulevard, sans amant dans le placard mais avec un cadavre dans la male, n’est sans doute pas la pièce du siècle, mais il nous fait bien rire.
La pulpeuse Nathalie Marquay pousse la chansonnette avec un beau brin de voix. Catherine Vranken et David Le Roch complète la bande. Ce théâtre de boulevard, sans amant dans le placard mais avec un cadavre dans la male, n’est sans doute pas la pièce du siècle, mais il nous fait bien rire.
7/10
Déjà le Moulin de la galette nous met dans l’ambiance. Puis, la décoration du jolie Théâtre Lepic nous fait rentrer, dès notre arrivée, dans les années vingt. Le décor de la pièce nous confirme que l’on est bien dans les années folles. Transposer le téléphone rose à cette époque est une idée savoureuse. Le trio d’auteures, comédiennes et chanteuses a beaucoup de talent et du dynamisme à revendre.
Elles ont une joie de jouer et de vivre communicative. C’est sympathique, léger, drôle et charmant. Mais attention de ne pas dépasser « la ligne rose » pour ne pas passer du central à la centrale !
Elles ont une joie de jouer et de vivre communicative. C’est sympathique, léger, drôle et charmant. Mais attention de ne pas dépasser « la ligne rose » pour ne pas passer du central à la centrale !
8/10
Les vieux du vieux sont de retour sur scène dans une comédie de boulevard drôle et drôlement bien écrite avec humour par Jean Franco.
Du sur mesure pour le tonitruant Jean-Marie Bigard qui fait du Bigard et Patrice Laffont en homo évaporé. Le reste de la troupe n’est pas en reste et donne la réplique avec talent et drôlerie. Même si les mots d’esprit et les répliques sont parfois prévisibles elles sont toujours percutantes et provoquent des éclats de rire d’un public conquis.
On s’amuse et on se détend deux heures durant. A déguster sans modération et sans contre-indication !
Du sur mesure pour le tonitruant Jean-Marie Bigard qui fait du Bigard et Patrice Laffont en homo évaporé. Le reste de la troupe n’est pas en reste et donne la réplique avec talent et drôlerie. Même si les mots d’esprit et les répliques sont parfois prévisibles elles sont toujours percutantes et provoquent des éclats de rire d’un public conquis.
On s’amuse et on se détend deux heures durant. A déguster sans modération et sans contre-indication !
6/10
Sympathique retour en arrière pour les nostalgiques des sixties. Le temps de réaménager la scène après un numéro de claquettes qui n’apporte rien le show démarre une demi-heure plus tard. Les chanteuses sont éblouissantes hélas les rétroprojecteurs aussi et ne parlons pas de la sono.
Ces quelques imperfections oubliées ça reste un spectacle rafraichissant, pas comme la salle, et agréable à écouter et à regarder. La bonne humeur communicative du quartet de jolies filles nous enchante. Les interludes rétro en noir et blanc avec la speakerine de l’ORTF apportent une note d’humour. La troupe de danseurs complète le tableau. C’est court mais bon quand même !
Ces quelques imperfections oubliées ça reste un spectacle rafraichissant, pas comme la salle, et agréable à écouter et à regarder. La bonne humeur communicative du quartet de jolies filles nous enchante. Les interludes rétro en noir et blanc avec la speakerine de l’ORTF apportent une note d’humour. La troupe de danseurs complète le tableau. C’est court mais bon quand même !