Ses critiques
15 critiques
7/10
Super soirée a la Cigale.
Bigard à son meilleur avec le verbe très haut, les gros-mots pleuvent et sa vision de la femme a un peu changé (un brin !) car la nature refait surface pour notre plus grand bien.
Rires assurés.
Bigard à son meilleur avec le verbe très haut, les gros-mots pleuvent et sa vision de la femme a un peu changé (un brin !) car la nature refait surface pour notre plus grand bien.
Rires assurés.
4/10
Un peu déçu par le jeu des acteurs.
Guillaume de Tonquedec n'arrive pas à poser sa voix, Claire Keim est presque inexistante et les autres comédiens transparents à part sur quelques répliques (Si vous n avez pas vu le film de Billy Wilder peut-être aurez-vous une vue différente ?)
Sinon la mise en scène et les décors sont au top.
Guillaume de Tonquedec n'arrive pas à poser sa voix, Claire Keim est presque inexistante et les autres comédiens transparents à part sur quelques répliques (Si vous n avez pas vu le film de Billy Wilder peut-être aurez-vous une vue différente ?)
Sinon la mise en scène et les décors sont au top.
10/10
Un moment de grâce et 2 heures de joie et d'intenses émotions, le livret des chansons fonctionne a plein et l'on en oublie presque celle de 98.
7/10
Captant l'air du temps mieux que jamais, le "viré de France Inter" qui n'a pas perdu son public, pose un regard décapant sur notre société en pleine déprime. Son nouveau one man show, lancé vendredi 5 février sur la scène du théâtre Déjazet à Paris, mêle avec justesse une forme de thérapie collective salutaire et brillante doublée d'une autodérision désopilante. Stéphane Guillon se fait psy compréhensif pour libérer la parole "des socialistes qui ont des pulsions de droite" lors d'une épatante réunion de "Hollandais anonymes".
Dans une séquence d'anticipation, il imagine Nicolas Sarkozy en maison de retraite. Nous sommes en 2057, Marion Maréchal-Le Pen dirige le pays. L'ex-président, désormais centenaire, vient d'enterrer Juppé et Fillon. Il refuse de quitter son lit pour fêter son jubilé. "C'était quand même bien trouvé votre slogan du 'président des pauvres' en 2017 et votre petite fête à l'Hippopotamus, rappelez-vous c'était une triomphe", le rassure son aide-soignante. l faut le voir, dans une séquence truculente, en Fabrice Luchini venu analyser le spectacle : "Y a un mea culpa, c'est important. Bon, Zemmour démago, Marine Le Pen le diable, y a aussi quelques facilités. Mais on va dire qu'il y a un public pour ça". Puis en Guy Bedos, "professeur" bienveillant, à qui il rend un vibrant et excellent hommage. Mis en scène par sa compagne Muriel Cousin, Stéphane Guillon livre ses fragilités tout en conservant son humour noir qui colle parfaitement à notre époque dépressive.
Il a bien fait de faire une parenthèse, de laisser monter certaines indignations avant de franchir à nouveau la porte du seul en scène. L'humoriste se moque méchamment de lui, de nous, parce que, comme l'a si bien dit Guy Bedos, "la vie est une comédie italienne : tu vis, tu pleures, tu ris".
Dans une séquence d'anticipation, il imagine Nicolas Sarkozy en maison de retraite. Nous sommes en 2057, Marion Maréchal-Le Pen dirige le pays. L'ex-président, désormais centenaire, vient d'enterrer Juppé et Fillon. Il refuse de quitter son lit pour fêter son jubilé. "C'était quand même bien trouvé votre slogan du 'président des pauvres' en 2017 et votre petite fête à l'Hippopotamus, rappelez-vous c'était une triomphe", le rassure son aide-soignante. l faut le voir, dans une séquence truculente, en Fabrice Luchini venu analyser le spectacle : "Y a un mea culpa, c'est important. Bon, Zemmour démago, Marine Le Pen le diable, y a aussi quelques facilités. Mais on va dire qu'il y a un public pour ça". Puis en Guy Bedos, "professeur" bienveillant, à qui il rend un vibrant et excellent hommage. Mis en scène par sa compagne Muriel Cousin, Stéphane Guillon livre ses fragilités tout en conservant son humour noir qui colle parfaitement à notre époque dépressive.
Il a bien fait de faire une parenthèse, de laisser monter certaines indignations avant de franchir à nouveau la porte du seul en scène. L'humoriste se moque méchamment de lui, de nous, parce que, comme l'a si bien dit Guy Bedos, "la vie est une comédie italienne : tu vis, tu pleures, tu ris".
5/10
"Tu sais pourquoi tu es heureux avec ta femme ?
Parce qu'elle est moche !"
Bonne petite pièce avec la complicité de Darmon et Lellouche qui se sent, on rit parfois un peu, on ne comprend pas tout à cette histoire et on finit par passer une bonne soirée quand même.
Parce qu'elle est moche !"
Bonne petite pièce avec la complicité de Darmon et Lellouche qui se sent, on rit parfois un peu, on ne comprend pas tout à cette histoire et on finit par passer une bonne soirée quand même.