Ses critiques
13 critiques
0,5/10
Vulgarité, bêtise, machisme écoeurant, lourdeur, platitude, nullité abyssale, pathétique et pour tout dire flippant.
3/10
Très déçu. J'adore Michel Fau. J'adore Catherine Frot. Je me suis ennuyé. Beaucoup.
Je sais bien qu'il semble y avoir une mode Barillet et Grédy, mais je crois qu'on ne doit cette "résurrection" qu'à la pauvreté de la création boulevardière contemporaine.
La pièce est certes honorable, pas vulgaire et sur une jolie idée... Mais enfin... ça ne suffit pas. Quelque soit le talent des uns et des autres, (une petite mention aussi à la très très jolie et formidable Mathilde Bisson Fabre), on a l'impression que tout cela se construit sur du rien... Même le très joli décors du frère de Michel Fau tourne à vide. L'ennui arrive et ne se dissipe pas. Dommage...
Je sais bien qu'il semble y avoir une mode Barillet et Grédy, mais je crois qu'on ne doit cette "résurrection" qu'à la pauvreté de la création boulevardière contemporaine.
La pièce est certes honorable, pas vulgaire et sur une jolie idée... Mais enfin... ça ne suffit pas. Quelque soit le talent des uns et des autres, (une petite mention aussi à la très très jolie et formidable Mathilde Bisson Fabre), on a l'impression que tout cela se construit sur du rien... Même le très joli décors du frère de Michel Fau tourne à vide. L'ennui arrive et ne se dissipe pas. Dommage...
3/10
J'ai été voir avec beaucoup d'espérances ce Roméo et Juliette. La dernière version de Nicolas Briançon ne m'avait pas complètement convaincu. Mais j'avais aimé la jeunesse et la fougue de ses héros et son parti-pris d'une Italie des années trente... Et ... Mais comme c'est étrange, on retrouve dans la mise en scène d'Eric Ruf, l'Italie des années trente, un décors qui ressemble à celui de la production de la Porte st Martin (en plus lourd), un traitement de lumières qui est semblable (les petites guirlandes du bal...), des effets semblables (le micro de Roméo lors de sa déclaration) etc.
En musique ou en littérature, on parlerait de plagiat... Ici on se contentera de constater, désolé, que l'ère d'Eric Ruf démarre sur un drôle de moment de théâtre. La copie d'un spectacle du privé... Et des personnages qui ont à peu près tous dépassés (très largement!) l'âge des rôles...
Bizarre. Personne ne dit rien ?
En musique ou en littérature, on parlerait de plagiat... Ici on se contentera de constater, désolé, que l'ère d'Eric Ruf démarre sur un drôle de moment de théâtre. La copie d'un spectacle du privé... Et des personnages qui ont à peu près tous dépassés (très largement!) l'âge des rôles...
Bizarre. Personne ne dit rien ?