- Classique
- Lucernaire
- Paris 6ème
On purge bébé

Mis en scène par Frédéric Jessua
Avec Etienne Coquereau
- Etienne Coquereau
6,3/10
- Lucernaire
- 53, rue Notre-Dame-des-Champs
- 75006 Paris
- Notre-Dame-des-Champs (l.12)
Itinéraire
Billets de 13,00 à 39,00 €
Evénement plus programmé pour le moment
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Paris, 11 heures, Bastien Follavoine, porcelainier de son état, attend un client important, Monsieur Chouilloux, capable de lui assurer définitivement la fortune : il s’agit de fournir toute l’armée française en pots de chambre.
Surgit alors Madame Follavoine, son seau d’eaux sales à la main : leur fils Toto est constipé !
Jusqu’ici tout va bien...
Dans cette comédie acerbe au rythme endiablé, composée à la fin de sa vie, Feydeau fait voler en éclat la cellule familiale, les conventions sociales et les bonnes manières.
Toutes les critiques
On purge Bébé de Georges Feydeau mise en scène Frédéric Jessua.
Nous sommes dans le cabinet de travail de Monsieur Follavoine.
Monsieur est fabriquant de vases de nuit et doit conclure un marché avec l’armée française par l’intermédiaire de Monsieur Chouilloux.
Madame est préoccupée par la constipation de Toto et désire le purger.
Toto est tout simplement un enfant roi désagréable et irrespectueux.
*Monsieur Follavoine va-t-il arriver à conclue son marché ?
*Toto va-t-il enfin prendre sa purge ?
Feydeau se moque avec beaucoup d’humour et de verve.
de cette société bourgeoise arriviste mais inculte.
*« ZʼHébrides… ZʼHébrides… » C’est extraordinaire ! Je trouve zèbre, zébré, zébrure, zébu !… Mais de Zhébrides, pas plus que dans mon œil ! Si ça y était, ce serait entre zébré et zébrure. On ne trouve rien dans ce dictionnaire !
De ces maris trompés mais trop imbus d’eux- même pour se l’imaginer.
*Follavoine : … Les femmes ne sont jamais prêtes !
Chouilloux : ah ! bien ! Je ne peux pas dire ça de la mienne !… tous les matins, c’est la première sortie ! Le footing lui est recommandé ; moi ce n’est plus de mon âge ; alors elle a son cousin… qui marche avec elle.
Follavoine : Oui ! Oui ! … c’est ce qu’on m’a dit !…
On s’amuse, on rit, c’est Feydeau.
Le tableau de la fin est très dynamique et sympathique mais je vous en laisse la surprise.
Le duo Nicolas Struve et Etienne Coquereau nous réjouit.
Dommage tout de même que Toto ne soit pas interprété par un réel petit garçon.
Nous sommes dans le cabinet de travail de Monsieur Follavoine.
Monsieur est fabriquant de vases de nuit et doit conclure un marché avec l’armée française par l’intermédiaire de Monsieur Chouilloux.
Madame est préoccupée par la constipation de Toto et désire le purger.
Toto est tout simplement un enfant roi désagréable et irrespectueux.
*Monsieur Follavoine va-t-il arriver à conclue son marché ?
*Toto va-t-il enfin prendre sa purge ?
Feydeau se moque avec beaucoup d’humour et de verve.
de cette société bourgeoise arriviste mais inculte.
*« ZʼHébrides… ZʼHébrides… » C’est extraordinaire ! Je trouve zèbre, zébré, zébrure, zébu !… Mais de Zhébrides, pas plus que dans mon œil ! Si ça y était, ce serait entre zébré et zébrure. On ne trouve rien dans ce dictionnaire !
De ces maris trompés mais trop imbus d’eux- même pour se l’imaginer.
*Follavoine : … Les femmes ne sont jamais prêtes !
Chouilloux : ah ! bien ! Je ne peux pas dire ça de la mienne !… tous les matins, c’est la première sortie ! Le footing lui est recommandé ; moi ce n’est plus de mon âge ; alors elle a son cousin… qui marche avec elle.
Follavoine : Oui ! Oui ! … c’est ce qu’on m’a dit !…
On s’amuse, on rit, c’est Feydeau.
Le tableau de la fin est très dynamique et sympathique mais je vous en laisse la surprise.
Le duo Nicolas Struve et Etienne Coquereau nous réjouit.
Dommage tout de même que Toto ne soit pas interprété par un réel petit garçon.
Joie de voir un Feydeau qui m’a laissé un souvenir sympathique.
Mais malheureusement, c’est une version bien tristounette qui se joue au Lucernaire.
D’abord le décor et les costumes sont fades et tristes. La mise en scène est lache, le plateau est assez large, sans doute eut il fallu resserrer l’action au centre de la scène.
Coté comédiens : Il y a un manque flagrant de dynamisme pour le couple Follavoine (Isabelle Jeanbrau et Nicolas Struve), la bonne (Julia Mével qui joue aussi bébé et madame Chouilloux) n’est pas assez irrévérencieuse, bébé n’est pas assez remuant mais ses mimiques sont vraiment réussies. Seul Monsieur Chouilloux (Etienne Coquereau) tire son épingle du jeu..
Au final on a la sensation que la pièce s’étale en longueur alors qu’elle ne dure qu’une heure.
Mais malheureusement, c’est une version bien tristounette qui se joue au Lucernaire.
D’abord le décor et les costumes sont fades et tristes. La mise en scène est lache, le plateau est assez large, sans doute eut il fallu resserrer l’action au centre de la scène.
Coté comédiens : Il y a un manque flagrant de dynamisme pour le couple Follavoine (Isabelle Jeanbrau et Nicolas Struve), la bonne (Julia Mével qui joue aussi bébé et madame Chouilloux) n’est pas assez irrévérencieuse, bébé n’est pas assez remuant mais ses mimiques sont vraiment réussies. Seul Monsieur Chouilloux (Etienne Coquereau) tire son épingle du jeu..
Au final on a la sensation que la pièce s’étale en longueur alors qu’elle ne dure qu’une heure.
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