Lalalangue
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L'Histoire de Lalalangue est avant tout l'histoire d'une mère.
Du corps d'une mère. Un corps unijambiste, cette mère ayant perdu sa jambe gauche lors d'un accident de montagne et qui dit sur son lit d'hôpital : " je me vengerai sur les enfants ".
C'est le témoignage du petit Poucet devenue femme, qui nous raconte l'enfance dans l'antre de la mère dévoratrice et du père doux dingue qui parle aux arbres.
1 critique
« Lalangue : langue revisitée comme une musique inconsciente à travers une pratique des enfant et de leur mère. »
Quel talent ! Frédérique Voruz nous émeut, nous chavire, nous amuse et nous interpelle.
Frédérique Voruz nous conte avec ferveur et humour l’histoire de son enfance dominée par une mère castratrice, catholique et unijambiste se vengeant de sa souffrance sur ses enfants.
Une mère préférant son chien à ses filles, une mère tyrannique…
Frédérique Voruz nous entraine avec dynamisme et brio dans l’univers de cette famille où elle s’est construite envers et contre tous.
Sur scène un projecteur de diapo à l’aide duquel, Frédérique Voruz tout au long de ses confidences nous présente sa nombreuse fratrie, ses grands-mères ennemies, son père qui parlait aux arbres tous ces êtres gravissant autour de cette mère odieuse et avilissante.
Par intervalle, sa spy l’interrompt et la recadre avec grandiloquence.
C’est vivant, dynamique, transperçant sans jamais tomber dans le pathos.
Malgré la persécution maternelle, la petite fille se blottit contre le moignon de sa mère et se crée un monde à elle, un monde imaginaire...
Ne soyons pas étonnée qu’elle soit devenue cette comédienne talentueuse.
A travers ces mots profonds, magnifiques, parfois cyniques, le pardon est loin d’être absent.
Très beau moment de théâtre et merci à Fréderic Voruz que l’on a fort envie de revoir très vite sur les planches.
Quel talent ! Frédérique Voruz nous émeut, nous chavire, nous amuse et nous interpelle.
Frédérique Voruz nous conte avec ferveur et humour l’histoire de son enfance dominée par une mère castratrice, catholique et unijambiste se vengeant de sa souffrance sur ses enfants.
Une mère préférant son chien à ses filles, une mère tyrannique…
Frédérique Voruz nous entraine avec dynamisme et brio dans l’univers de cette famille où elle s’est construite envers et contre tous.
Sur scène un projecteur de diapo à l’aide duquel, Frédérique Voruz tout au long de ses confidences nous présente sa nombreuse fratrie, ses grands-mères ennemies, son père qui parlait aux arbres tous ces êtres gravissant autour de cette mère odieuse et avilissante.
Par intervalle, sa spy l’interrompt et la recadre avec grandiloquence.
C’est vivant, dynamique, transperçant sans jamais tomber dans le pathos.
Malgré la persécution maternelle, la petite fille se blottit contre le moignon de sa mère et se crée un monde à elle, un monde imaginaire...
Ne soyons pas étonnée qu’elle soit devenue cette comédienne talentueuse.
A travers ces mots profonds, magnifiques, parfois cyniques, le pardon est loin d’être absent.
Très beau moment de théâtre et merci à Fréderic Voruz que l’on a fort envie de revoir très vite sur les planches.
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