- Comédie Contemporaine
- Théâtre du Chien qui Fume
- Avignon
Du charbon dans les veines
À l'affiche du :
5 juillet 2025 au 26 juillet 2025
Jours et horaires
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AVIGNON 2025
La nouvelle création de Jean-Philippe Daguerre, créateur de ADIEU MONSIEUR HAFFMANN et de LE PETIT COIFFEUR
1958, à Noeux-Les- Mines, petite ville minière du Nord de la France. Pierre et Vlad sont les deux meilleurs amis du monde.
Ils partagent tout leur temps en creusant à la mine, en élevant des pigeons-voyageurs et en jouant de l’accordéon dans l’orchestre local dirigé par Sosthène « boute en train-philosophe de comptoir », personnage central de cette petite sphère joviale et haute en couleurs malgré la poussière du charbon.
À partir du jour où Leila, la jeune et jolie marocaine, vient jouer de l’accordéon dans l’orchestre, le monde des deux meilleurs amis ne sera plus le même…
LA pièce aux 5 Molières 2025 !
Toutes les critiques
Tous les ingrédients sont présents pour une pièce qui plait à tous
Dans le nord, deux familles de mineurs sont amies. Les garçons sont amis et sont aussi mineurs. La modernité entre avec la télévision dans ces familles traditionnelles du nord. Les deux garçons jouent de l’accordéon et tombent amoureux de Leila, une jeune fille marocaine. Elle est issue de l’immigration qui est présente dans cette région pour le travail dans les mines. Et puis tout finira comme cela se devait.
L’histoire est classique, bien-pensante et sans surprise. Facile d’écriture, cela est le prétexte à montrer la vie du nord à l’époque minière.
La mise en scène est classique, bien faite et efficace. C’est ultra commercial.
Jean-Philippe Daguerre nous propose sa nouvelle pièce dans un registre très commercial. Tout est millimétré sans aucune place à l’originalité.
On passe un bon moment dans un cadre bien défini. Je n’ai pas été emportée par cette pièce totalement téléguidée.
Dans le nord, deux familles de mineurs sont amies. Les garçons sont amis et sont aussi mineurs. La modernité entre avec la télévision dans ces familles traditionnelles du nord. Les deux garçons jouent de l’accordéon et tombent amoureux de Leila, une jeune fille marocaine. Elle est issue de l’immigration qui est présente dans cette région pour le travail dans les mines. Et puis tout finira comme cela se devait.
L’histoire est classique, bien-pensante et sans surprise. Facile d’écriture, cela est le prétexte à montrer la vie du nord à l’époque minière.
La mise en scène est classique, bien faite et efficace. C’est ultra commercial.
Jean-Philippe Daguerre nous propose sa nouvelle pièce dans un registre très commercial. Tout est millimétré sans aucune place à l’originalité.
On passe un bon moment dans un cadre bien défini. Je n’ai pas été emportée par cette pièce totalement téléguidée.
C'est un plongeon dans l'univers minier et la vie en 1958 qui nous est proposé ici par Jean-Philippe Daguerre : une réalité méconnue et que l'on découvre entre un petit bistro et une volière à pigeons, la joie du jour de paye, l'arrivée d'un premier poste de télévision dans le foyer, et les jardins potagers, sommaires et nécessaires.
Le décor est planté dans des nuances de gris, où la lumière apparaît subtilement pour distinguer cette même palette dans les accessoires, les costumes, finement choisis.
La distribution est au service de l'histoire : une tranche de vie poignante et réaliste, portée par des comédiens touchants, sans tendre vers le pathos.
On suivra le combat de Sosthène (Jean-Jacques Vanier) qui après une vie sous terre, souffre des poumons mais sans se plaindre, se réjouissant de la toute proche Coupe du Monde de football, et dirigeant la fanfare d'accordéons du village, à laquelle appartient son fils Pierre (Théo Dusoulié), son meilleur ami Vlad (Julien Ratel), mais aussi, depuis peu, la jolie Leila (Juliette Behar) qui semble avoir bouleversé les deux garçons.
La musique y est comme un personnage à part entière : morceaux d'accordéon, jazz, chant, qui viennent se poser sur le récit, toute en délicatesse.
Une pièce simple et efficace, teintée de poésie et de douceur.
Le décor est planté dans des nuances de gris, où la lumière apparaît subtilement pour distinguer cette même palette dans les accessoires, les costumes, finement choisis.
La distribution est au service de l'histoire : une tranche de vie poignante et réaliste, portée par des comédiens touchants, sans tendre vers le pathos.
On suivra le combat de Sosthène (Jean-Jacques Vanier) qui après une vie sous terre, souffre des poumons mais sans se plaindre, se réjouissant de la toute proche Coupe du Monde de football, et dirigeant la fanfare d'accordéons du village, à laquelle appartient son fils Pierre (Théo Dusoulié), son meilleur ami Vlad (Julien Ratel), mais aussi, depuis peu, la jolie Leila (Juliette Behar) qui semble avoir bouleversé les deux garçons.
La musique y est comme un personnage à part entière : morceaux d'accordéon, jazz, chant, qui viennent se poser sur le récit, toute en délicatesse.
Une pièce simple et efficace, teintée de poésie et de douceur.
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