- Théâtre contemporain
- Théâtre Gaîté-Montparnasse
- Paris 14ème
Cowboy Mouth

- Cali
- Marie Barraud
- Andrey Zouari
- Théâtre Gaîté-Montparnasse
- 26, rue de la Gaîté
- 75014 Paris
- Edgard Quinet (l.6), Gaité (l.13)
New York, 1971. En pleine rue, Cavale, armée d'un colt 45, kidnappe Slim, un père de famille.
Enfermés dans une chambre d'hôtel, elle tente de faire de lui une star du Rock afin d'offrir un sauveur à toute une génération perdue. "Un Jésus rock'n'roll avec une gueule de cowboy".
Mais le captif tombe amoureux de son ravisseur...
Cette pièce des années 70 a été écrite par le scénariste Sam Shepard et la rockeuse Patti Smith, tous deux américains.
A l’époque pour Smith, Shepard a quitté femme et enfant.
C’est dans la chambre du légendaire "Chelsea Hotel" à Manhattan où ils ont ensemble élu domicile, que la pièce va voir le jour. En deux nuits blanches, ils vont écrire leur histoire sur les touches d’une vieille machine à écrire. Cette chambre du “Chelsea Hotel” est le décor unique de cette pièce…
La pièce Cowboy Mouth a été récompensée de la Tomate AuBalcon 2014 du pire texte qui aurait pu être écrit par ma petite sœur.
Cette pièce a été touchée par le syndrome de la tête d'affiche.
L'avis de la rédaction : Une terrible déception.
Transportés dans un univers rock, avec des personnages plus américains que nature, on se croirait plutôt au cinéma qu’au théâtre. Pourtant, aucune émotion ne passe.
Il manque une intrigue, une histoire à cette pièce dans laquelle on assiste simplement à une conversation d’une heure et demie entre deux artistes névrosés et drogués qui se disputent et refont le monde. On s’ennuie ferme.
Heureusement, Cali prend sa guitare et nous chante un morceau, puis sort son harmonica et apporte enfin un peu de poésie...
Ça secoue!
A voir
Je confirme qu'aucune émotion ne passe, les acteurs semblent répéter leurs textes comme à l'école, et le scénario est franchement plat.
On ne se prend pas la tête sur la mise en scène puisque tout se passe au même endroit. On aurait pu imaginer un peu plus d'audace...
Quant à Cali, on préfère l'entendre chanter (même sans être fan) que de monter sur les planches...