Critiques pour l'événement Zugzwang
On s'émerveille simplement de cette scénographie atypique qui occupe l'entièreté du plateau. Les décors se bougent, tombent, glissent et virevoltent d'un endroit à l'autre et d'un circassien à l'autre.
Derrière un simple papier peint se trouve des espaces vides, de la terre, des pelles... On verra le listing de tout ce qui a été utilisé le temps d'une soirée. On vous dira tout, on vous montre tout. Un travail de fourmi pour provoquer la surprise en continu. Les sauts sur le tobogan droit des plus étranges, les chutes, les traversés d'espaces... rappellent les premiers effets spéciaux de vidéos au 19ème, sans omettre les Buster Keaton, Charlie Chaplin, Laurel et Hardy...
Ils cherchent à trouver le point de bascule, l'équilibre dans le déséquilibre sans oublier de jouer avec son visage et son corps pour le plaisir des regardants. La maladresse ne doit qu'être illusion ce qui prouve la maîtrise de ces artistes hors piste. A contrario des films muets, le son fait parti lui aussi des compagnons d'infortune.
On s'amuse à en amplifier, mettre le doute entre ce que l'on voit et ce que l'entend, à créer un leitmotiv sympathique avec une chanson connue "Tombe la neige" d'Adamo.
Absolument rien n'est laissé au hasard dans ce foutraque comique, captivant et insolite.
Derrière un simple papier peint se trouve des espaces vides, de la terre, des pelles... On verra le listing de tout ce qui a été utilisé le temps d'une soirée. On vous dira tout, on vous montre tout. Un travail de fourmi pour provoquer la surprise en continu. Les sauts sur le tobogan droit des plus étranges, les chutes, les traversés d'espaces... rappellent les premiers effets spéciaux de vidéos au 19ème, sans omettre les Buster Keaton, Charlie Chaplin, Laurel et Hardy...
Ils cherchent à trouver le point de bascule, l'équilibre dans le déséquilibre sans oublier de jouer avec son visage et son corps pour le plaisir des regardants. La maladresse ne doit qu'être illusion ce qui prouve la maîtrise de ces artistes hors piste. A contrario des films muets, le son fait parti lui aussi des compagnons d'infortune.
On s'amuse à en amplifier, mettre le doute entre ce que l'on voit et ce que l'entend, à créer un leitmotiv sympathique avec une chanson connue "Tombe la neige" d'Adamo.
Absolument rien n'est laissé au hasard dans ce foutraque comique, captivant et insolite.
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