Critiques pour l'événement Un tramway nommé Désir
Cristiana Reali, bouleversante, porte le chef d’œuvre de Tennesse WILLIAMS
Belle, touchante, drôle, Cristiana Reali (Blanche) subjugue en femme brisée dont la raison lancinante se raccroche encore à un avenir improbable, à des élans de beauté, condamnée pourtant à s’enfoncer, cernée par le mépris et la violence de Stanley (Nicolas Avinée)…
Pauline Susini axe sa mise en scène sur Reali, peut-être un peu au détriment des seconds rôles qui méritent de l’espace, telle Alysson Paradis (Stella), fraîche, sensible et naturelle.
L'excellent Lionel Abelanski (Mitch) est celui qui s’élève le plus au niveau du jeu de Reali.
Quasi personnifié, le grand décor, se dilate, rétrécit et s’abîme inexorablement à l’unisson de la folie de Blanche. L’effet de fumée submerge à un moment les spectateurs des premiers rangs de l’orchestre. Un excès qui interrompt un peu la magie en dissipant la salle...
Il manque peut-être au face à face Blanche / Stanley, un trouble intéressant qui ne manquera pas d'éclore au fil des prochaines représentations.
La divine Reali mérite absolument l’ovation de la salle des Bouffes Parisiens !
Brava !
Belle, touchante, drôle, Cristiana Reali (Blanche) subjugue en femme brisée dont la raison lancinante se raccroche encore à un avenir improbable, à des élans de beauté, condamnée pourtant à s’enfoncer, cernée par le mépris et la violence de Stanley (Nicolas Avinée)…
Pauline Susini axe sa mise en scène sur Reali, peut-être un peu au détriment des seconds rôles qui méritent de l’espace, telle Alysson Paradis (Stella), fraîche, sensible et naturelle.
L'excellent Lionel Abelanski (Mitch) est celui qui s’élève le plus au niveau du jeu de Reali.
Quasi personnifié, le grand décor, se dilate, rétrécit et s’abîme inexorablement à l’unisson de la folie de Blanche. L’effet de fumée submerge à un moment les spectateurs des premiers rangs de l’orchestre. Un excès qui interrompt un peu la magie en dissipant la salle...
Il manque peut-être au face à face Blanche / Stanley, un trouble intéressant qui ne manquera pas d'éclore au fil des prochaines représentations.
La divine Reali mérite absolument l’ovation de la salle des Bouffes Parisiens !
Brava !
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