Critiques pour l'événement Un léger doute
Fan de l'écriture ciselée de Stéphane de Groodt dans ses chroniques et son "voyage en absurdie" je n'ai pas retrouvé cette densité de mots d'esprits qui fait sa signature. La déconstruction de la logique théâtrale traditionnelle m'a bien plu en terme de démarche artistique mais on se retrouve parfois un peut largué et surtout le texte ne suit pas à mon goût. Plus de profondeur ou de clins d'oeil culturels eussent été bienvenus.
Mais les acteurs sont bien embarqués par la situation parfois complexe pour eux.
Bref un 8 de soutien à la création de Stéphane de Groodt en souhaitant rencontrer d'avantage son esprit la prochaine fois.
Mais les acteurs sont bien embarqués par la situation parfois complexe pour eux.
Bref un 8 de soutien à la création de Stéphane de Groodt en souhaitant rencontrer d'avantage son esprit la prochaine fois.
Rions sur le présent déjà passé et du futur faisons une donne, un jeu décalant les codes, décodant, déconnant intelligemment , en tous les cas avec des résonances, raisonnons sur la légèreté du temps, sur cette faille cognitive qui met une petite mort à chaque instant.
Nous sommes autant habités par la mort que par son opposée présence , la conscience de l'instant qui ramène à cette même peine de mort.
Au cours d'un dîner peut être nous dirons nous des choses, sortant de l'inertie nos non dits dans nos âmes engourdies, ce sera le moment d'un sondage, savoir ce qui reste vivant en nous et redéfinir cette notion souvent relative.
Sous des aspects de comédie d'un soir, Stéphane de Groodt nous présente une invitation à ce paradoxe éternel de l'existence, sourire sans rire à la Bergson, philologie et bal à blanc, enterrement de ronds de serviette dans un banquet post platonique.
Modeste et bon.
Nous sommes autant habités par la mort que par son opposée présence , la conscience de l'instant qui ramène à cette même peine de mort.
Au cours d'un dîner peut être nous dirons nous des choses, sortant de l'inertie nos non dits dans nos âmes engourdies, ce sera le moment d'un sondage, savoir ce qui reste vivant en nous et redéfinir cette notion souvent relative.
Sous des aspects de comédie d'un soir, Stéphane de Groodt nous présente une invitation à ce paradoxe éternel de l'existence, sourire sans rire à la Bergson, philologie et bal à blanc, enterrement de ronds de serviette dans un banquet post platonique.
Modeste et bon.
Lever de rideau, on applaudit les comédiens qui apparemment ont fini la représentation ! et oui et nous ne sommes pas au bout de nos surprises !
Constance fait comprendre à Stéphane qu’il doit lui donner la réplique, celui-ci était pourtant prêt à partir, puisqu’ils ont salué, mais devant l’insistance de sa partenaire, il consent à jouer enfin rejouer…
Eric et Bérangère entrent à point nommé pour leur scène, mais quand on est dans le délire le plus total, on ne peut guère garder son sérieux ! Qui a raison, qui a tort, à vous de juger.
Ce n’est plus un léger doute mais un énorme doute, qui de toutes façons vous fera pleurer de rire !
Constance fait comprendre à Stéphane qu’il doit lui donner la réplique, celui-ci était pourtant prêt à partir, puisqu’ils ont salué, mais devant l’insistance de sa partenaire, il consent à jouer enfin rejouer…
Eric et Bérangère entrent à point nommé pour leur scène, mais quand on est dans le délire le plus total, on ne peut guère garder son sérieux ! Qui a raison, qui a tort, à vous de juger.
Ce n’est plus un léger doute mais un énorme doute, qui de toutes façons vous fera pleurer de rire !
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