Critiques pour l'événement Un amour qui ne finit pas
Une pièce amusante, originale et décalée, interprétée par d'excellents acteurs. Pas follement drôle mais très plaisante.
J'ai été agréablement surprise par les personnages, moins convenus que dans beaucoup de pièces du genre (notamment les personnages féminins).
Je rejoins cependant la critique de la rédaction ; une vague impatience s'est installée sur la fin, dans l'attente d'un dénouement qui ne semblait pas venir.
J'ai été agréablement surprise par les personnages, moins convenus que dans beaucoup de pièces du genre (notamment les personnages féminins).
Je rejoins cependant la critique de la rédaction ; une vague impatience s'est installée sur la fin, dans l'attente d'un dénouement qui ne semblait pas venir.
Voici une pièce de boulevard qui m'a beaucoup plu. Le point de départ était amusant, les réactions des deux femmes se manipulant mutuellement par mari interposé étaient drôles, en particulier Pascale Arbillot. Les moments de comédie ne sont pas (trop) surjouées, l'intrigue est bien menée, sans temps mort. Les personnages sont un peu caricaturaux, le mari en particulier, mais ça n'a pas gâché mon plaisir. L'évolution du personnage principal qui apparaît finalement plutôt comme un goujat était convaincante.
Le décor et les costumes étaient une véritable reconstitution d'une scène des années 60, la plongée dans le temps semblait renforcée par un cadre de scène semblable à un vieil écran cathodique.
Par contre je n'ai pas compris le choix des éclairages: Seuls les projecteurs de face basse et contre-plongée étaient utilisés. Je ne sais pas si c'était indispensable pour n'éclairer que la moitié du décor "active", ou bien pour rendre un éclairage de type "appartement", mais le résultat était franchement sous-éclairé avec des ombres pas très heureuses.
J'avais été peu enthousiasmé par Fleur de cactus. Ce précédent essai de résurrection du boulevard des années 60 m'a bien plus convaincu du talent de Michel Fau.
Le décor et les costumes étaient une véritable reconstitution d'une scène des années 60, la plongée dans le temps semblait renforcée par un cadre de scène semblable à un vieil écran cathodique.
Par contre je n'ai pas compris le choix des éclairages: Seuls les projecteurs de face basse et contre-plongée étaient utilisés. Je ne sais pas si c'était indispensable pour n'éclairer que la moitié du décor "active", ou bien pour rendre un éclairage de type "appartement", mais le résultat était franchement sous-éclairé avec des ombres pas très heureuses.
J'avais été peu enthousiasmé par Fleur de cactus. Ce précédent essai de résurrection du boulevard des années 60 m'a bien plus convaincu du talent de Michel Fau.
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