Critiques pour l'événement Sous la glace
Spectacle annulé...
Plantage du système informatique lumières.
J'ai bien proposé qu'on éclaire le plateau tous avec nos smartphones, fort du principe que l'union fait la force, mais rien n'y fit... (Nb : ne pas croire forcément tout ce que j'écris....)
Dommage, je suis un inconditionnel du théâtre de Falk Richter.
Plantage du système informatique lumières.
J'ai bien proposé qu'on éclaire le plateau tous avec nos smartphones, fort du principe que l'union fait la force, mais rien n'y fit... (Nb : ne pas croire forcément tout ce que j'écris....)
Dommage, je suis un inconditionnel du théâtre de Falk Richter.
Pas vraiment réussi à rentrer dans cette pièce. Je trouve qu'elle souffre de la comparaison avec Nobody de Cyril Teste basée sur plusieurs écrits de Falk Richter.
La mise en scène de Victor Gauthier-Martin est toutefois beaucoup moins noire sur la critique du travail. De bonnes trouvailles sur le décor avec ses bureaux qui se retrouve assemblé en banquise pour phoque en perdition.
J'ai un peu aimé.
La mise en scène de Victor Gauthier-Martin est toutefois beaucoup moins noire sur la critique du travail. De bonnes trouvailles sur le décor avec ses bureaux qui se retrouve assemblé en banquise pour phoque en perdition.
J'ai un peu aimé.
Une pièce âpre basée sur de nombreux monologues, sur les codes langagiers et le fonctionnement mécanique d'une entreprise qui broient l'individu en besoin de légitimité existentielle.
La mise en scène, le rythme des instruments, des mots et des corps, le jeu des acteurs, notamment de Stéphane Szestack et son regard d'acier, donnent à cette violence névrotique une intensité lourde qui ne laisse pas indifférent.
On sort sonné de cette vision effrayante et morbide; le son de la basse faisant résonner la dimension tragique de l'impitoyable nécessité de la rentabilité et de l'efficacité au détriment de l'individu.
La mise en scène, le rythme des instruments, des mots et des corps, le jeu des acteurs, notamment de Stéphane Szestack et son regard d'acier, donnent à cette violence névrotique une intensité lourde qui ne laisse pas indifférent.
On sort sonné de cette vision effrayante et morbide; le son de la basse faisant résonner la dimension tragique de l'impitoyable nécessité de la rentabilité et de l'efficacité au détriment de l'individu.
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