Critiques pour l'événement Les hérétiques
Les Hérétiques de Mariette Navarro mise en scène François Rancillac.
Conte Fantastique, ensorcelant, profond.
« En Grèce, le mot Hérétique désignait ceux qui avaient librement fait le choix de s’inscrire dans tel ou tel mouvement de pensée, quitte à sortir des sentiers battus. »
Nous sommes en 2028 c’est le chaos entre les extrémistes et les laïques, l’avortement est interdit, la liberté d’expression est remise en jeu par les censures.
Une jeune femme se pose mille questions sur cette société en déroute. Elle ne trouve plus ses mots, elle est perdue. Elle ne retrouve plus la lumière…
C’est à qui priera le plus fort.
C’est à ceux qui seront les plus nombreux.
C’est à ceux qui seront les plus puissants.
Pour faire feu de toute cette obscurité.
Un jour au cours d’une manifestation, elle remarque une femme qui résiste, qui a le diable au corps et qui blasphème.
Elle décide de la retrouver…
Nous la suivons… L’obscurité se fait, une ambiance un peu surnaturelle nous envoute. Nous distinguons dans la pénombre une salle de classe du siècle dernier, lieu du savoir et de l’érudition.
Les sorcières apparaissent. Elles vont mener un interrogatoire sans merci à cette jeune femme.
Est-elle vraiment de leur côté ou est-ce une espionne ?
Bien des questions vont surgir, sur l’ordre établi.
La religion.
La place des femmes.
La misogynie.
Tout à coup, une apparition nous désoriente, Blandine. Sainte Blandine martyre chrétienne. Blandine qui croit en la lumière de Dieu.
Entre les sorcières agnostiques, assoiffées de vengeances et Blandine illuminée par sa foi.
Cette jeune femme retrouvera-t-elle ses mots ? Retrouvera-t-elle la lumière ?
*Comment peut-on faire cohabiter nos croyances ?
*Comment se remettre en question ?
La mise en scène de François Rancillac, les lumières en clair-obscur, les costumes, nous transportent dans un monde onirique, débordant de surprises, profond et plein de vérités.
Les comédiennes, Andrea El Azan, Christine Guênon, Yvette Petit, Stéphanie Schwartzbrod, Lymia Vitt sont émouvantes, investies dans leur rôle et talentueuses.
C’est emporté, plein d’énergies, magique et surprenant.
C’est un conte, un conte philosophique.
Agréable moment de théâtre qui nous ensorcelle, nous réjouit et nous questionne.
Conte Fantastique, ensorcelant, profond.
« En Grèce, le mot Hérétique désignait ceux qui avaient librement fait le choix de s’inscrire dans tel ou tel mouvement de pensée, quitte à sortir des sentiers battus. »
Nous sommes en 2028 c’est le chaos entre les extrémistes et les laïques, l’avortement est interdit, la liberté d’expression est remise en jeu par les censures.
Une jeune femme se pose mille questions sur cette société en déroute. Elle ne trouve plus ses mots, elle est perdue. Elle ne retrouve plus la lumière…
C’est à qui priera le plus fort.
C’est à ceux qui seront les plus nombreux.
C’est à ceux qui seront les plus puissants.
Pour faire feu de toute cette obscurité.
Un jour au cours d’une manifestation, elle remarque une femme qui résiste, qui a le diable au corps et qui blasphème.
Elle décide de la retrouver…
Nous la suivons… L’obscurité se fait, une ambiance un peu surnaturelle nous envoute. Nous distinguons dans la pénombre une salle de classe du siècle dernier, lieu du savoir et de l’érudition.
Les sorcières apparaissent. Elles vont mener un interrogatoire sans merci à cette jeune femme.
Est-elle vraiment de leur côté ou est-ce une espionne ?
Bien des questions vont surgir, sur l’ordre établi.
La religion.
La place des femmes.
La misogynie.
Tout à coup, une apparition nous désoriente, Blandine. Sainte Blandine martyre chrétienne. Blandine qui croit en la lumière de Dieu.
Entre les sorcières agnostiques, assoiffées de vengeances et Blandine illuminée par sa foi.
Cette jeune femme retrouvera-t-elle ses mots ? Retrouvera-t-elle la lumière ?
*Comment peut-on faire cohabiter nos croyances ?
*Comment se remettre en question ?
La mise en scène de François Rancillac, les lumières en clair-obscur, les costumes, nous transportent dans un monde onirique, débordant de surprises, profond et plein de vérités.
Les comédiennes, Andrea El Azan, Christine Guênon, Yvette Petit, Stéphanie Schwartzbrod, Lymia Vitt sont émouvantes, investies dans leur rôle et talentueuses.
C’est emporté, plein d’énergies, magique et surprenant.
C’est un conte, un conte philosophique.
Agréable moment de théâtre qui nous ensorcelle, nous réjouit et nous questionne.
Dans le même genre