Critiques pour l'événement L'éducation de Rita
Je souscris entièrement à la critique de Sylvie Tuffier.
Que dire de plus?
C'est un spectacle dont on sort ravi, béat, contenté, et définitivement amoureux du Théâtre.
Que dire de plus?
C'est un spectacle dont on sort ravi, béat, contenté, et définitivement amoureux du Théâtre.
Très classique ? Ou intemporelle ?
Ecrite dans les années 80, multi récompensée, cette célèbre comédie d'outre manche est une ode à la culture et à la liberté de penser.
Et malgré ce petit côté "déjà vu", l'Education de Rita est une bien jolie surprise comme nous en réserve souvent le théâtre du Funambule.
Le texte de Willy Russell, très bien traduit, est savoureux et sans aucun temps mort.
Quant aux comédiens ......
Dans le rôle de Frank, professeur alcoolique, désabusé et un poil dépressif, Owen Doyle fait merveille.
Le comédien franco américain, doté d'un petit accent authentique, n'a rien à envier au grand Michael Caine, le héros du film.
Face à lui, Maxime - Lior Windisch est une Rita éclatante, d'un naturel ébouriffant.
Aussi pétulante que son mentor est statique, l'espiègle coiffeuse inculte et avide d'apprendre crève l'écran.
Mis en scène avec beaucoup de cadence et de créativité par Owen Doyle - décidément doté de bien des talents - les deux personnages nous harponnent dès les premiers verbes pour ne plus nous lâcher.
Tchékhov rencontre Blake, Shakespeare et Forster s'animent, les balayages et les pintes sont aussi de la partie .....
Last but not least, le décor chaleureux et réaliste, dans lequel les livres et le papier reprennent leurs droits, nous plonge tout droit dans l'antre du professeur.
We smile, we laugh ....
C'est gagné !
Ecrite dans les années 80, multi récompensée, cette célèbre comédie d'outre manche est une ode à la culture et à la liberté de penser.
Et malgré ce petit côté "déjà vu", l'Education de Rita est une bien jolie surprise comme nous en réserve souvent le théâtre du Funambule.
Le texte de Willy Russell, très bien traduit, est savoureux et sans aucun temps mort.
Quant aux comédiens ......
Dans le rôle de Frank, professeur alcoolique, désabusé et un poil dépressif, Owen Doyle fait merveille.
Le comédien franco américain, doté d'un petit accent authentique, n'a rien à envier au grand Michael Caine, le héros du film.
Face à lui, Maxime - Lior Windisch est une Rita éclatante, d'un naturel ébouriffant.
Aussi pétulante que son mentor est statique, l'espiègle coiffeuse inculte et avide d'apprendre crève l'écran.
Mis en scène avec beaucoup de cadence et de créativité par Owen Doyle - décidément doté de bien des talents - les deux personnages nous harponnent dès les premiers verbes pour ne plus nous lâcher.
Tchékhov rencontre Blake, Shakespeare et Forster s'animent, les balayages et les pintes sont aussi de la partie .....
Last but not least, le décor chaleureux et réaliste, dans lequel les livres et le papier reprennent leurs droits, nous plonge tout droit dans l'antre du professeur.
We smile, we laugh ....
C'est gagné !
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