Critiques pour l'événement Le Syndrome de l'Oiseau
Séquestration de l’horreur qui nous met mal à l’aise !
Eve est une jeune femme fragile psychologiquement qui semble vivre sous la terreur de son mari. Franck, son mari, parait attentionné puis peu à peu on le voit de plus en plus dirigiste, étouffant sa femme. L’histoire avançant, nous comprendrons qu’Eve est séquestrée dans un sous-sol, qu’elle a été enlevée, qu’elle est même peut-être une adolescente. L’histoire tourne au prédateur qui a séquestré depuis des années une jeune fille et qu’il en a fait son esclave. Un enfant est né de cette horreur. Eve cherche le moyen d’échapper à son bourreau avec le peu de moyens dont elle dispose. Un baby phone lui permettra un contact avec l’extérieur et lui permettra de mettre en place une stratégie pour se libérer. Les secours tarderont à intervenir dans ce huis-clos de l’horreur angoissant.
Le duo Giraudeau et d’Assumçao est formidable. L’interprétation est parfaite. Patrick d’Assumçao est bluffant dans l’interprétation du bourreau inhumain. Sara Giraudeau est touchante et émouvante dans cette jeune femme persécutée et traumatisée dans sa recherche pour échapper à son bourreau. Mention spéciale à l’interprétation.
Cependant, malgré un jeu d’acteurs impeccable, j’ai eu du mal à rentrer dans cette histoire qui devrait être angoissante. Je n’ai pas ressenti monter la pression comme j’aurais aimé que ce soit le cas. Beaucoup d’aspects plutôt invraisemblables m’ont gêné. Toutefois, je reconnais que le montage est très bien fait. La volonté de rester sur un texte apuré et une situation « normalisée » m’ont gêné pour ressentir la montée en pression. C’est surement un jugement un peu dur de ma part mais cela m’a empêché de basculer vers l’œuvre remarquable.
Le décor est extrêmement efficace. Un petit bémol sur le son qui est essentiel pour cette pièce et n’est pas parfait par moments.
On se révolte quant à l’histoire, on découvre l’horreur mais je n’ai pas basculé vers le sentiment d’une pièce essentielle sur le sujet.
Eve est une jeune femme fragile psychologiquement qui semble vivre sous la terreur de son mari. Franck, son mari, parait attentionné puis peu à peu on le voit de plus en plus dirigiste, étouffant sa femme. L’histoire avançant, nous comprendrons qu’Eve est séquestrée dans un sous-sol, qu’elle a été enlevée, qu’elle est même peut-être une adolescente. L’histoire tourne au prédateur qui a séquestré depuis des années une jeune fille et qu’il en a fait son esclave. Un enfant est né de cette horreur. Eve cherche le moyen d’échapper à son bourreau avec le peu de moyens dont elle dispose. Un baby phone lui permettra un contact avec l’extérieur et lui permettra de mettre en place une stratégie pour se libérer. Les secours tarderont à intervenir dans ce huis-clos de l’horreur angoissant.
Le duo Giraudeau et d’Assumçao est formidable. L’interprétation est parfaite. Patrick d’Assumçao est bluffant dans l’interprétation du bourreau inhumain. Sara Giraudeau est touchante et émouvante dans cette jeune femme persécutée et traumatisée dans sa recherche pour échapper à son bourreau. Mention spéciale à l’interprétation.
Cependant, malgré un jeu d’acteurs impeccable, j’ai eu du mal à rentrer dans cette histoire qui devrait être angoissante. Je n’ai pas ressenti monter la pression comme j’aurais aimé que ce soit le cas. Beaucoup d’aspects plutôt invraisemblables m’ont gêné. Toutefois, je reconnais que le montage est très bien fait. La volonté de rester sur un texte apuré et une situation « normalisée » m’ont gêné pour ressentir la montée en pression. C’est surement un jugement un peu dur de ma part mais cela m’a empêché de basculer vers l’œuvre remarquable.
Le décor est extrêmement efficace. Un petit bémol sur le son qui est essentiel pour cette pièce et n’est pas parfait par moments.
On se révolte quant à l’histoire, on découvre l’horreur mais je n’ai pas basculé vers le sentiment d’une pièce essentielle sur le sujet.
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