Critiques pour l'événement Le Cri de la Pomme de Terre du Connecticut
Je n'ai pas été emballé par le comique de Patrick Robine, fait de slapstick plus ou moins réussi, de jeux de mots parfois vraiment drôles, parfois pas du tout.
Comme le dit Philibert Humm au Figaro, c'est un doux dingue... Une espèce qui a toute ma sympathie a priori, mais ici ça manque un peu de direction. C'est quand même un spectacle plaisant. Le public, qui semblait dans l’ensemble plus sensible à son humour que moi, a ri et applaudi de bon cœur, et c’était sans doute mérité.
Comme le dit Philibert Humm au Figaro, c'est un doux dingue... Une espèce qui a toute ma sympathie a priori, mais ici ça manque un peu de direction. C'est quand même un spectacle plaisant. Le public, qui semblait dans l’ensemble plus sensible à son humour que moi, a ri et applaudi de bon cœur, et c’était sans doute mérité.
Un spectacle de Patrick Robine, c’est toujours la promesse d’un road-trip enchanteur, poétique, pittoresque et facétieux.
Quel titre de spectacle bien énigmatique, surtout pour qui ne connaît pas encore l’inénarrable Patrick Robine. Il y a fort à parier qu’une bonne partie de la salle sait qui et ce qu’elle vient voir ; on sent les habitués, les fans, les groupies. Pour les autres, les novices, les premières minutes seront peut-être inattendues. Mais très vite on décide d’entrer dans l’univers de Robine et de l’accompagner dans son voyage en Poésie. Un voyage au cours duquel nous croiserons des lieux (rappelons que Patrick Robine s’est spécialisé dans les imitations de paysages), des objets et des choses (une pomme de terre BF15, un platane de cours d’école, un tire-bouchon proche du Général de Gaulle), des animaux (une chauve-souris paniquée, un lion qui lit Roland Barthes, un singe qu’on sèche)…
Un voyage qui nous fera passer par les airs, par la cave, par l’armoire : Patrick Robine a un petit côté magicien.
Un voyage qui parle de rencontres, et notamment de celle avec un élan mystérieux, majestueux et solitaire. Un élan qu’il faudra bien finir par quitter, dans un dernier de cri de pomme de terre…
Quel titre de spectacle bien énigmatique, surtout pour qui ne connaît pas encore l’inénarrable Patrick Robine. Il y a fort à parier qu’une bonne partie de la salle sait qui et ce qu’elle vient voir ; on sent les habitués, les fans, les groupies. Pour les autres, les novices, les premières minutes seront peut-être inattendues. Mais très vite on décide d’entrer dans l’univers de Robine et de l’accompagner dans son voyage en Poésie. Un voyage au cours duquel nous croiserons des lieux (rappelons que Patrick Robine s’est spécialisé dans les imitations de paysages), des objets et des choses (une pomme de terre BF15, un platane de cours d’école, un tire-bouchon proche du Général de Gaulle), des animaux (une chauve-souris paniquée, un lion qui lit Roland Barthes, un singe qu’on sèche)…
Un voyage qui nous fera passer par les airs, par la cave, par l’armoire : Patrick Robine a un petit côté magicien.
Un voyage qui parle de rencontres, et notamment de celle avec un élan mystérieux, majestueux et solitaire. Un élan qu’il faudra bien finir par quitter, dans un dernier de cri de pomme de terre…
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