Critiques pour l'événement La prochaine fois que tu mordras la poussière
Bohemian Rhapsody.
Avec plus d'1 million de lecteurs, Panayotis Pascot a frappé très fort pour son premier essai.
Le roman sorti en août 2023, a trouvé immédiatement son public.
Formidable récit autobiographique d'un jeune homme qui raconte son passage à l'âge adulte, son rapport avec son père, sa dépression et la découverte de son homosexualité.
Très vite son frère, Paul Pascot, adapte et met en scène ce texte coup de poing. Le spectacle décolle immédiatement, porté à la fois par la force des mots, et l'authenticité d'une jeunesse bourrée de talent.
Ce qui frappe tout d'abord dans ces mots, c'est leur sincérité et leur justesse qui ont trouvé le coeur de nombreux lecteurs et spectateurs.
Comme le dit si justement mon voisin "Cà nous parle grave !"
Et qui de mieux que Vassili Schneider pour endosser ce rôle ? Parce qu'à lui aussi ça lui parle grave !
Ces deux là partagent pas mal de choses, alors forcément !
Le comédien, dont c'est la première fois sur scène, est incroyable !
Cette charge émotionnelle qui l'habite, cette intimité qu'il nous livre, résonnent en chacun de nous.
Un savant équilibre d'impudeur et de pudeur, de vulnérabilité et de force.
Et puis il y a le père, formidable Yann Pradal, sur qui Vassili s'appuie.
Parfaite figure du patriarche, avec une économie de mots qui en dit long.
A peine le noir clôture t'il la dernière réplique que la salle se lève d'un seul bond pour applaudir.
Les idoles des jeunes, comme disait Johnny !
Je vous dirais bien d'y courir mais .....
Sylvie Tuffier
Avec plus d'1 million de lecteurs, Panayotis Pascot a frappé très fort pour son premier essai.
Le roman sorti en août 2023, a trouvé immédiatement son public.
Formidable récit autobiographique d'un jeune homme qui raconte son passage à l'âge adulte, son rapport avec son père, sa dépression et la découverte de son homosexualité.
Très vite son frère, Paul Pascot, adapte et met en scène ce texte coup de poing. Le spectacle décolle immédiatement, porté à la fois par la force des mots, et l'authenticité d'une jeunesse bourrée de talent.
Ce qui frappe tout d'abord dans ces mots, c'est leur sincérité et leur justesse qui ont trouvé le coeur de nombreux lecteurs et spectateurs.
Comme le dit si justement mon voisin "Cà nous parle grave !"
Et qui de mieux que Vassili Schneider pour endosser ce rôle ? Parce qu'à lui aussi ça lui parle grave !
Ces deux là partagent pas mal de choses, alors forcément !
Le comédien, dont c'est la première fois sur scène, est incroyable !
Cette charge émotionnelle qui l'habite, cette intimité qu'il nous livre, résonnent en chacun de nous.
Un savant équilibre d'impudeur et de pudeur, de vulnérabilité et de force.
Et puis il y a le père, formidable Yann Pradal, sur qui Vassili s'appuie.
Parfaite figure du patriarche, avec une économie de mots qui en dit long.
A peine le noir clôture t'il la dernière réplique que la salle se lève d'un seul bond pour applaudir.
Les idoles des jeunes, comme disait Johnny !
Je vous dirais bien d'y courir mais .....
Sylvie Tuffier
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