Critiques pour l'événement La Princesse au petit pois
Hilarant ! Jubilatoire ! Drôlissime !
Edouard Signolet nous donne une version décapante et très second degré de ce célèbre conte d'Andersen.
Ici, c'est la partie "quête initiatique" du prince qui est surtout mise en avant.
Avant de trouver princesse à son pied, le prince jamais sorti des jupes de sa mère va en "baver" !
Ce nigaud va subir bien des épreuves, sans trop s'en sortir, d'ailleurs.
Les quatre comédiens français, sous la houlette de Signolet, s'en donnent à coeur joie.
Grâce à une scénographie particulièrement réussie (on voit que nos impôts sont bien utilisés, car même sur une "petite pièce", d'assez gros moyens techniques sont mis en œuvre...), Elsa Lepoivre, Giorgia Scalliet, Jérémy Lopez et Eliot Jennicot se régalent, et nous avec.
Les qualités de mime et de danseur de ce dernier sont d'ailleurs pleinement utilisées.
Les enfants présents au Studio-théâtre ne s'y trompent d'ailleurs pas : c'est un festival de rires qui ponctue cette heure trop vite passée. (Si vous avez envie de faire aimer le théâtre à vos rejetons, n'hésitez d'ailleurs surtout pas...)
Car c'est également la grande force du premier théâtre de France que de proposer deux fois par an des spectacles destinés aux tout jeunes spectateurs.
Mais qu'on se rassure ! Les adultes ne sont pas oubliés : voir la grande tragédienne Elsa Lepoivre en femme-cougar, (au propre comme au figuré...) tentant d'asservir ses petits copains du Français, cette vision-là est véritablement jouissive.
Edouard Signolet nous donne une version décapante et très second degré de ce célèbre conte d'Andersen.
Ici, c'est la partie "quête initiatique" du prince qui est surtout mise en avant.
Avant de trouver princesse à son pied, le prince jamais sorti des jupes de sa mère va en "baver" !
Ce nigaud va subir bien des épreuves, sans trop s'en sortir, d'ailleurs.
Les quatre comédiens français, sous la houlette de Signolet, s'en donnent à coeur joie.
Grâce à une scénographie particulièrement réussie (on voit que nos impôts sont bien utilisés, car même sur une "petite pièce", d'assez gros moyens techniques sont mis en œuvre...), Elsa Lepoivre, Giorgia Scalliet, Jérémy Lopez et Eliot Jennicot se régalent, et nous avec.
Les qualités de mime et de danseur de ce dernier sont d'ailleurs pleinement utilisées.
Les enfants présents au Studio-théâtre ne s'y trompent d'ailleurs pas : c'est un festival de rires qui ponctue cette heure trop vite passée. (Si vous avez envie de faire aimer le théâtre à vos rejetons, n'hésitez d'ailleurs surtout pas...)
Car c'est également la grande force du premier théâtre de France que de proposer deux fois par an des spectacles destinés aux tout jeunes spectateurs.
Mais qu'on se rassure ! Les adultes ne sont pas oubliés : voir la grande tragédienne Elsa Lepoivre en femme-cougar, (au propre comme au figuré...) tentant d'asservir ses petits copains du Français, cette vision-là est véritablement jouissive.
L’œuvre d'Andersen est très intelligemment adaptée et mise en scène, de sorte qu'elle puisse plaire à tout spectateur, petits comme grands.
Les comédiens nous ravissent et nous comblent de vivacité et de talent ; mention spéciale à Elliot Jenicot, étonnant imitateur d'animaux, qui plonge la salle dans un rire sans fin. À voir !
Les comédiens nous ravissent et nous comblent de vivacité et de talent ; mention spéciale à Elliot Jenicot, étonnant imitateur d'animaux, qui plonge la salle dans un rire sans fin. À voir !
Période de fêtes de Noël obligent et après le réjouissant Les Trois petits cochons, le Studio-Théâtre nous replonge en enfance avec une adaptation parodique et swingante à souhait d'un conte d'Andersen.
La Princesse au petit pois, dont l'intrigue tient en à peine une page, trouve un second souffle grâce à l'écriture à six mains d'Elsa Tauvernon, Antoine Guémy et Édouard Signolet. La mise en scène de ce dernier insiste sur l'aspect social et transgressif de ce conte dont la morale repose sur un petit pois mais manque de fantaisie et de folie.
Le quatuor de comédiens court dans tous les sens et nous entraîne dans un univers jazzy et labyrinthique réjouissant et enlevé.
La Princesse au petit pois, dont l'intrigue tient en à peine une page, trouve un second souffle grâce à l'écriture à six mains d'Elsa Tauvernon, Antoine Guémy et Édouard Signolet. La mise en scène de ce dernier insiste sur l'aspect social et transgressif de ce conte dont la morale repose sur un petit pois mais manque de fantaisie et de folie.
Le quatuor de comédiens court dans tous les sens et nous entraîne dans un univers jazzy et labyrinthique réjouissant et enlevé.
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