Critiques pour l'événement Inconnu à cette adresse
Un texte maintes fois mis en scène que vous redécouvrirez grâce à une mise en scène fine intelligente et inventive et un Stéphane Guillon atomique !
A voir absolument surtout quand on pense avoir fait le tour de l'oeuvre.
A voir absolument surtout quand on pense avoir fait le tour de l'oeuvre.
Plus dure sera la chute !
Dans ce roman épistolaire et intense, Katerine Kressman Taylor dénonce dès 1938 la folie des hommes et les ravages de l'idéologie.
Visionnaire, l'auteure raconte une amitié entre deux hommes écrasée sous les coups des bottes nazies.
Et avec elle l'Humanité toute entière, l'Humanité avec un grand H .....comme Horreur, comme Haine, comme Hitler, Comme Hélas !
Max le juif, et Martin l'allemand s'écrivent 19 lettres qui contiennent toute la beauté et toute la cruauté du monde.
Nombreux sont les comédiens qui ont porté ces mots sur la scène du théâtre Antoine.
C'est que le texte a un attrait puissant et délivre un message essentiel.
Difficile de résister.
Jean-Pierre Darroussin, dans le rôle de Max, et Stéphane Guillon dans celui de Martin, viennent à nouveau prêter leurs voix pour quelques semaines à ces deux personnages.
Le premier, tout en retenue et en sobriété malgré la tourmente, anéanti par le second, plus exubérant, presque agité.
Puissamment portées par les deux amis devenus ennemis, les lettres vibrent de plus en fort jusqu'au dénouement tragique qui nous serre le coeur.
Il est évident que Jérémie Lippmann s'est régalé tant la mise en scène est réussie.
Utilisant à merveille la profondeur du plateau, la vidéo et les lumières, il crée des tableaux poignants où la dramaturgie est exaltée et les mots mortels.
La détresse de Max contre l'exaltation de Martin .....puis la détermination du premier contre l'effroi du second.
"L'homme que j'ai aimé comme un frère, dont le coeur a toujours débordé d'affection et d'amitié ne peut pas s'associer, même passivement, au massacre de gens innocents".
Il y a là toute la folie des hommes !
Dans ce roman épistolaire et intense, Katerine Kressman Taylor dénonce dès 1938 la folie des hommes et les ravages de l'idéologie.
Visionnaire, l'auteure raconte une amitié entre deux hommes écrasée sous les coups des bottes nazies.
Et avec elle l'Humanité toute entière, l'Humanité avec un grand H .....comme Horreur, comme Haine, comme Hitler, Comme Hélas !
Max le juif, et Martin l'allemand s'écrivent 19 lettres qui contiennent toute la beauté et toute la cruauté du monde.
Nombreux sont les comédiens qui ont porté ces mots sur la scène du théâtre Antoine.
C'est que le texte a un attrait puissant et délivre un message essentiel.
Difficile de résister.
Jean-Pierre Darroussin, dans le rôle de Max, et Stéphane Guillon dans celui de Martin, viennent à nouveau prêter leurs voix pour quelques semaines à ces deux personnages.
Le premier, tout en retenue et en sobriété malgré la tourmente, anéanti par le second, plus exubérant, presque agité.
Puissamment portées par les deux amis devenus ennemis, les lettres vibrent de plus en fort jusqu'au dénouement tragique qui nous serre le coeur.
Il est évident que Jérémie Lippmann s'est régalé tant la mise en scène est réussie.
Utilisant à merveille la profondeur du plateau, la vidéo et les lumières, il crée des tableaux poignants où la dramaturgie est exaltée et les mots mortels.
La détresse de Max contre l'exaltation de Martin .....puis la détermination du premier contre l'effroi du second.
"L'homme que j'ai aimé comme un frère, dont le coeur a toujours débordé d'affection et d'amitié ne peut pas s'associer, même passivement, au massacre de gens innocents".
Il y a là toute la folie des hommes !
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