Critiques pour l'événement Espejo
Espejo est loin d'être une pièce légère mais elle est captivante.
Elle est empreinte de violence. Elle se démarque avec des thèmes peu classiques au théâtre en racontant l'histoire d'une obsession qui tourne à la folie, celle d'un ravisseur mais aussi celle de sa victime qui semble peu à peu atteinte par le syndrome de Stockholm. Elle est surtout jouée avec beaucoup de talent.
C'est une très belle pièce.
Elle est empreinte de violence. Elle se démarque avec des thèmes peu classiques au théâtre en racontant l'histoire d'une obsession qui tourne à la folie, celle d'un ravisseur mais aussi celle de sa victime qui semble peu à peu atteinte par le syndrome de Stockholm. Elle est surtout jouée avec beaucoup de talent.
C'est une très belle pièce.
Kidnappée par son voisin et enchaînée dans le salon de cet inconnu, Elsa se retrouve dépendante des moindres désirs de son ravisseur et contrainte à subir les privations ou les brimades.
Il se trouve aussi parfois des moments plus légers.
On ne manque pas alors de s'interroger sur le fait de savoir si la prisonnière simule un bonheur pour gagner en liberté ou si elle tombe sous le coup du syndrome de Stockholm.
C'est une pièce parfois violente, dérangeante et profondément intéressante.
C'est du beau théâtre.
Il se trouve aussi parfois des moments plus légers.
On ne manque pas alors de s'interroger sur le fait de savoir si la prisonnière simule un bonheur pour gagner en liberté ou si elle tombe sous le coup du syndrome de Stockholm.
C'est une pièce parfois violente, dérangeante et profondément intéressante.
C'est du beau théâtre.
Cette pièce s’adresse à un public averti.
Comment vivre une relation amoureuse non consentie par une des parties… Voilà une histoire qui sort des sentiers battus.
Adam (extraordinaire Erwan Orain), qui a observé sa voisine Elsa (qui est moins convaincante que son collègue masculin et c’est là un des rares points faibles de la pièce) pendant des jours, est persuadé de la connaitre et de l’aimer… Un jour, il saute le pas, Il la séquestre chez lui et ils commencent à vivre ‘ensemble’ mais comment peut on vivre ensemble quand l un des deux est enchainé et non consentant ?
La relation entre les deux se construit comme un étrange ballet entre violence et affrontement.
Dans ce jeu de domination, on ne ressort pas indemne.
Qui va gagner au final ? Le public, çà coup sur, qui reste captivé jusqu’au dénouement.
Comment vivre une relation amoureuse non consentie par une des parties… Voilà une histoire qui sort des sentiers battus.
Adam (extraordinaire Erwan Orain), qui a observé sa voisine Elsa (qui est moins convaincante que son collègue masculin et c’est là un des rares points faibles de la pièce) pendant des jours, est persuadé de la connaitre et de l’aimer… Un jour, il saute le pas, Il la séquestre chez lui et ils commencent à vivre ‘ensemble’ mais comment peut on vivre ensemble quand l un des deux est enchainé et non consentant ?
La relation entre les deux se construit comme un étrange ballet entre violence et affrontement.
Dans ce jeu de domination, on ne ressort pas indemne.
Qui va gagner au final ? Le public, çà coup sur, qui reste captivé jusqu’au dénouement.
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