Son balcon
SAISON 2025-2026
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Mini Molières
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Actualités de ses filatures
Cinq ans après sa Ménopause, l'ancien animateur récidive et nous embarque cette fois dans un combat contre la masculinité toxique et les pannes au lit.
De bien sérieux sujets, traités dans un musical qui ne l'est pas : c'est à la fois un extraordinaire juke-box de chansons qu'on adore, parodiées pour nous raconter les maux de ces garçons, et un enchainement de situations rocambolesques, de chorégraphies endiablées et de jeux de mots barrés (on en attendait pas moins d'Alex Goude !).
Les choix sont éclectiques, des années 80 à 2025, ils sont tous là (Céline, Gaga, Mylène, mais aussi Johnny et Queen).
Sérieux aussi : le niveau du cast.
Pierre Vigié y est un trentenaire au physique avantageux, mais perdu dans sa quête d'un amour véritable qu'il ne trouve ni sur les réseaux ni à la salle de sport.
Edouard Collin incarne le jeune papa quarantenaire, qui ne sait pas comment rallumer la flamme avec son compagnon.
Philippe d'Avilla se glisse dans la peau d'un quinqua divorcé, dont la vision "un peu macho" bloque une véritable évolution, tant professionnelle que charnelle.
Un trio gagnant, chapeauté par Laura Masci, thérapeute de choc de ces mâles.
Côté mise en scène, minimalisme et écrans permettent un rythme effréné où on passe d'un tableau à l'autre (avec également quelques changements de tenue dignes d'as du "quick change").
Utile, drôle, divertissant : un vrai spectacle feel-goude !
De bien sérieux sujets, traités dans un musical qui ne l'est pas : c'est à la fois un extraordinaire juke-box de chansons qu'on adore, parodiées pour nous raconter les maux de ces garçons, et un enchainement de situations rocambolesques, de chorégraphies endiablées et de jeux de mots barrés (on en attendait pas moins d'Alex Goude !).
Les choix sont éclectiques, des années 80 à 2025, ils sont tous là (Céline, Gaga, Mylène, mais aussi Johnny et Queen).
Sérieux aussi : le niveau du cast.
Pierre Vigié y est un trentenaire au physique avantageux, mais perdu dans sa quête d'un amour véritable qu'il ne trouve ni sur les réseaux ni à la salle de sport.
Edouard Collin incarne le jeune papa quarantenaire, qui ne sait pas comment rallumer la flamme avec son compagnon.
Philippe d'Avilla se glisse dans la peau d'un quinqua divorcé, dont la vision "un peu macho" bloque une véritable évolution, tant professionnelle que charnelle.
Un trio gagnant, chapeauté par Laura Masci, thérapeute de choc de ces mâles.
Côté mise en scène, minimalisme et écrans permettent un rythme effréné où on passe d'un tableau à l'autre (avec également quelques changements de tenue dignes d'as du "quick change").
Utile, drôle, divertissant : un vrai spectacle feel-goude !
Je découvre cet humoriste canadien qui m'a positivement surprise par l'intelligence du contenu.
Que ça fait du bien aujourd'hui de voir quelqu'un qui parle d'autre chose que de son nombril et de ses wesh wesh d'états d'âme.
A partir de son expérience d'enfant d'intellos il raconte un parcours atypique et en marge, qui l'a rendu souvent inadapté notamment dans ses relations aux femmes.
Il est capable de beaucoup d'humour sur lui-même avant de rire des autres.
Parfois un peu confus dans le déroulé des infos.
Ca part dans tous les sens. Mais il parvient à nous ramener sur son chemin.
Intéressant.
A suivre !
Que ça fait du bien aujourd'hui de voir quelqu'un qui parle d'autre chose que de son nombril et de ses wesh wesh d'états d'âme.
A partir de son expérience d'enfant d'intellos il raconte un parcours atypique et en marge, qui l'a rendu souvent inadapté notamment dans ses relations aux femmes.
Il est capable de beaucoup d'humour sur lui-même avant de rire des autres.
Parfois un peu confus dans le déroulé des infos.
Ca part dans tous les sens. Mais il parvient à nous ramener sur son chemin.
Intéressant.
A suivre !
Dans un très joli décor s'installe une équipe de film qui aura toutes les difficultés à aller au bout du tournage.
Malheureusement les dialogues sont vraiment pas très intéressants et les blagues plutôt lourdes.
Les comédiens très inégaux
On n'est pas sur du Père Noël est une ordure.....
Malheureusement les dialogues sont vraiment pas très intéressants et les blagues plutôt lourdes.
Les comédiens très inégaux
On n'est pas sur du Père Noël est une ordure.....
C'est une belle partie entre ces 3 générations de comédiens.
Une mise en scène d'une grande finesse qui permet à chacun d'exister sans écraser l'autre.
Très beau décor qui en étant sobre est tout de même impressionnant.
Arditi et Briançon sont formidables.
On sent un Arditi heureux d'être là, heureux de partager la scène avec ses partenaires.
Briançon formidable comme toujours.
Quelques longueurs parfois dans le texte de ce huis clos de règlement de compte.
Mais un bon rythme tout de même.
Un final intéressant auquel on ne s'attend pas forcément et qui équilibre les jugements
Une mise en scène d'une grande finesse qui permet à chacun d'exister sans écraser l'autre.
Très beau décor qui en étant sobre est tout de même impressionnant.
Arditi et Briançon sont formidables.
On sent un Arditi heureux d'être là, heureux de partager la scène avec ses partenaires.
Briançon formidable comme toujours.
Quelques longueurs parfois dans le texte de ce huis clos de règlement de compte.
Mais un bon rythme tout de même.
Un final intéressant auquel on ne s'attend pas forcément et qui équilibre les jugements
Il y a des pièces de théâtres qui se découvrent comme un film ou un bon roman. Aïda Asgarzadeh nous avait déjà livré ce sentiment avec ses Poupées persanes, ou La main de Leïla... une auteure qu'on retourne donc voir les yeux fermés mais le cœur bien ouvert, prêt à recevoir l'histoire et l'Histoire, tissées par des personnages vibrants et sincères.
C'est l'occasion de se glisser dans un univers méconnu, celui du journalisme de guerre, en traversant plusieurs évènements marquants, mais aussi des thématiques qui sont presque les codes de ce théâtre de fiction historique : la quête initiatique, le voyage, le hasard, les parents.
Des thèmes aspirants notre génération, troublants, émouvants mais sans jamais glisser vers le pathos.
Le rythme (palpitant) et la mise en scène (minimaliste) aussi participent à cet enveloppement des sens : on est tout de suite happé, sans temps mort, par cette alternance de réalisme et d'instants suspendus.
Le trio de comédiens (Magali Genoud, Maëlis Adalle, Azeddine Benamara) y est authentique et brillant.
C'est l'occasion de se glisser dans un univers méconnu, celui du journalisme de guerre, en traversant plusieurs évènements marquants, mais aussi des thématiques qui sont presque les codes de ce théâtre de fiction historique : la quête initiatique, le voyage, le hasard, les parents.
Des thèmes aspirants notre génération, troublants, émouvants mais sans jamais glisser vers le pathos.
Le rythme (palpitant) et la mise en scène (minimaliste) aussi participent à cet enveloppement des sens : on est tout de suite happé, sans temps mort, par cette alternance de réalisme et d'instants suspendus.
Le trio de comédiens (Magali Genoud, Maëlis Adalle, Azeddine Benamara) y est authentique et brillant.