Son balcon
SAISON 2024-2025
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Mini Molières
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Son classement : 2158 / 6157
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Actualités de ses filatures
Agréable spectacle sur la condition du recalé et de tous ceux qui ne passent pas très loin de leur rêve.
Beaux décors et mise en scène enlevée.
Des comédiens très attachants, dont Pierre Bénézit qui a une force comique incroyable.
Il faut tout de même avoir des références sur l'oeuvre Harry Potter pour tout saisir, ce qui n'était pas mon cas.
Un peu long.
Beaux décors et mise en scène enlevée.
Des comédiens très attachants, dont Pierre Bénézit qui a une force comique incroyable.
Il faut tout de même avoir des références sur l'oeuvre Harry Potter pour tout saisir, ce qui n'était pas mon cas.
Un peu long.
Prouesse d'acteur qui se transforme de l'être le plus naïf et simple au plus intelligent et inquiétant.
Tout se modifie, la voix, le visage, la gestuelle, le corps, la diction.
Peut-être quelques longueurs dans la mise en scène qui reste elle-même très recherchée dans sa simplicité.
Tout se modifie, la voix, le visage, la gestuelle, le corps, la diction.
Peut-être quelques longueurs dans la mise en scène qui reste elle-même très recherchée dans sa simplicité.
2 couples, 4 histoires
Comment gère t-on le couple et ses turpitudes ?
Comment on gère l'espoir d'un enfant ?
Sur une histoire très attendue et prévisible, Bertrand Marcos a su écrire un texte assez moderne et au ton juste.
On ne comprend pas très bien la fin mais on ne s'ennuie pas.
Petit problème de mise en scène à la fin du 3eme tableau lorsque les spectateurs pensent être la fin et commencent à applaudir....mais non.
La mise en scène manque vraiment de force. C'est très classique et sans surprise. Les comédiens devraient être mieux cadrés pour que ça soit plus subtil.
Davy Sardou embarque le spectateur dès la première seconde avec une force comique indéniable. Il est léger, lourd quand il faut, émouvant aussi, mais toujours naturel. Il a un jeu agréable car on ne le voit pas jouer.
Ses partenaires semblent plus empruntés dans leur rôle dont ils ne maitrisent pas encore bien les contours. Nervosité, haine, jovialité, hurlements, cynisme, il va falloir choisir. Paradis et Personnaz vont trouver.
J'ai plus peur pour la catastrophique Marie-Ange Casta. J'ai cru voir la Joconde pendant toute la représentation. Quant à ses accès de rage, ils sont tellement surjoués..... tout sonne creux.
Comment gère t-on le couple et ses turpitudes ?
Comment on gère l'espoir d'un enfant ?
Sur une histoire très attendue et prévisible, Bertrand Marcos a su écrire un texte assez moderne et au ton juste.
On ne comprend pas très bien la fin mais on ne s'ennuie pas.
Petit problème de mise en scène à la fin du 3eme tableau lorsque les spectateurs pensent être la fin et commencent à applaudir....mais non.
La mise en scène manque vraiment de force. C'est très classique et sans surprise. Les comédiens devraient être mieux cadrés pour que ça soit plus subtil.
Davy Sardou embarque le spectateur dès la première seconde avec une force comique indéniable. Il est léger, lourd quand il faut, émouvant aussi, mais toujours naturel. Il a un jeu agréable car on ne le voit pas jouer.
Ses partenaires semblent plus empruntés dans leur rôle dont ils ne maitrisent pas encore bien les contours. Nervosité, haine, jovialité, hurlements, cynisme, il va falloir choisir. Paradis et Personnaz vont trouver.
J'ai plus peur pour la catastrophique Marie-Ange Casta. J'ai cru voir la Joconde pendant toute la représentation. Quant à ses accès de rage, ils sont tellement surjoués..... tout sonne creux.
C'est sublime, mais pas juste grâce au texte.
Ca repose sur la subtilité des décors et des costumes,
sur l'intelligence du texte,
Et surtout surtout sur le jeu de Delphine Depardieu et Valentin de Carbonnières. Ils sont époustouflants. Ils habitent totalement leurs personnages, jusqu'à nous faire oublier John Malkovich et Glenn Close.
Cette pièce est à voir rien que pour les voir jouer et prendre une leçon.
Ca repose sur la subtilité des décors et des costumes,
sur l'intelligence du texte,
Et surtout surtout sur le jeu de Delphine Depardieu et Valentin de Carbonnières. Ils sont époustouflants. Ils habitent totalement leurs personnages, jusqu'à nous faire oublier John Malkovich et Glenn Close.
Cette pièce est à voir rien que pour les voir jouer et prendre une leçon.
Une pièce musicale comme on les aime : un superbe duo de comédiens, un piano à queue pour des chansons "en live", une histoire fascinante et en plus, inspirée de faits réels...
Le sujet, c'est Madame Florence Foster Jenkins, cette cantatrice qui dans les années 30, est devenue célèbre car persuadée d'avoir un don, inconsciente de son manque de rythme et de ses fausses notes.
Celle qui a sans doute inspirée la Castafiore, reprend vie sous les traits d'Agnès Bove, aussi drôle qu'impressionnante dans ce rôle.
Face à elle, Cyril Romoli interprète le pianiste de la chanteuse, et le narrateur de ce destin incroyable et émouvant.
On retiendra également les costumes, très travaillés, aussi extravagants que l'héroïne du spectacle ; et bien sûr, la musique en elle-même, entre mélodies jazzy et grands airs lyriques.
Une ode aux mélomanes et aux rêveurs...
Le sujet, c'est Madame Florence Foster Jenkins, cette cantatrice qui dans les années 30, est devenue célèbre car persuadée d'avoir un don, inconsciente de son manque de rythme et de ses fausses notes.
Celle qui a sans doute inspirée la Castafiore, reprend vie sous les traits d'Agnès Bove, aussi drôle qu'impressionnante dans ce rôle.
Face à elle, Cyril Romoli interprète le pianiste de la chanteuse, et le narrateur de ce destin incroyable et émouvant.
On retiendra également les costumes, très travaillés, aussi extravagants que l'héroïne du spectacle ; et bien sûr, la musique en elle-même, entre mélodies jazzy et grands airs lyriques.
Une ode aux mélomanes et aux rêveurs...