Ses critiques
2 critiques
10/10
Quel bonheur !
Shakespeare en version déjantée à la Comédie Française.
C'était inespéré, Thomas Ostermeier l'a fait.
Au début, j'étais bousculée et je suis repartie le sourire aux lèvres.
Outre, le texte, la mise en scène, les comédiens, les intermèdes surprenants étaient absolument exceptionnels !
C'est simple dès que Laurent Stocker rentre en scène, je suis en joie.
Allez-y si vous voulez vivre un moment hors du temps et des conventions.
Shakespeare en version déjantée à la Comédie Française.
C'était inespéré, Thomas Ostermeier l'a fait.
Au début, j'étais bousculée et je suis repartie le sourire aux lèvres.
Outre, le texte, la mise en scène, les comédiens, les intermèdes surprenants étaient absolument exceptionnels !
C'est simple dès que Laurent Stocker rentre en scène, je suis en joie.
Allez-y si vous voulez vivre un moment hors du temps et des conventions.
0,5/10
Catastrophe.
On m'avait dit du bien de cette pièce, j'y suis donc allée les yeux fermés surtout que le concept était à priori intéressant.
Et là, oh rage, oh désespoir dès les premières minutes, je me dis que j'ai dû rater quelques chose.
C'est lourd, vulgaire, long, pénible.
Tous les clichés sont exploités : l'homo déluré car il est coiffeur, la nympho idiote car elle est coiffeuse, la femme cultivée car elle a un mari riche, le beau gosse car il est producteur TV, les policiers idiots et lourds car sont... policiers. Tout y passe.
Point positif : ils savent improviser avec les spectateurs.
Sauf que le policier passe son temps à hurler.
On m'avait dit du bien de cette pièce, j'y suis donc allée les yeux fermés surtout que le concept était à priori intéressant.
Et là, oh rage, oh désespoir dès les premières minutes, je me dis que j'ai dû rater quelques chose.
C'est lourd, vulgaire, long, pénible.
Tous les clichés sont exploités : l'homo déluré car il est coiffeur, la nympho idiote car elle est coiffeuse, la femme cultivée car elle a un mari riche, le beau gosse car il est producteur TV, les policiers idiots et lourds car sont... policiers. Tout y passe.
Point positif : ils savent improviser avec les spectateurs.
Sauf que le policier passe son temps à hurler.