Ses critiques
8 critiques
6,5/10
Cette pièce se veut distrayante et l'objectif est atteint.
Deux-trois scènes désopilantes et une ambiance déjantée qui nous donnent le sourire et nous font passer un agréable moment.
Restent quelques longueurs et un style parfois un peu lourd qui ternissent la néanmoins bonne impression générale.
Deux-trois scènes désopilantes et une ambiance déjantée qui nous donnent le sourire et nous font passer un agréable moment.
Restent quelques longueurs et un style parfois un peu lourd qui ternissent la néanmoins bonne impression générale.
3/10
Si vous avez été faire un tour du côté des grands revendeurs de billets et spectacles et que les excellentes notes générales ont réussi à susciter chez vous quelque intérêt, ne vous laissez pas avoir, cette pièce est mauvaise !
Médiocrité des dialogues et des acteurs malheureusement...
Médiocrité des dialogues et des acteurs malheureusement...
9/10
Tout simplement incroyable...
J'avais adoré Le Cercle des Illusionnistes et aimé Le Porteur d'Histoire mais appréhendais de me lasser du style Michalik qui met toujours une claque la première fois.
Pas de lassitude au rendez-vous mais une véritable fascination : on se retrouve transporter dans cette histoire en quelques secondes. On rit, on admire, on est ému... Les acteurs sont tous d'une justesse infinie, que c'est agréable !
Aucune longueur, un rythme soutenu qui ne nous épuise pas mais nous galvanise ! Sans compter cette mise en abyme finale où nous, spectateurs, nous retrouvons à la place d'un public conquis en 1897. C'est brillant.
J'avais adoré Le Cercle des Illusionnistes et aimé Le Porteur d'Histoire mais appréhendais de me lasser du style Michalik qui met toujours une claque la première fois.
Pas de lassitude au rendez-vous mais une véritable fascination : on se retrouve transporter dans cette histoire en quelques secondes. On rit, on admire, on est ému... Les acteurs sont tous d'une justesse infinie, que c'est agréable !
Aucune longueur, un rythme soutenu qui ne nous épuise pas mais nous galvanise ! Sans compter cette mise en abyme finale où nous, spectateurs, nous retrouvons à la place d'un public conquis en 1897. C'est brillant.
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