Ses critiques
601 critiques
8/10
Comment gérer quand on est psy, à la fois, la folie de son patient qui lui se sent hyper bien, et la colère de sa femme qui l’attend au restaurant. Pas simple !
Le docteur ne peut pas faire autrement que de recevoir Pavel, celui-ci lui a téléphoné le matin, au bord du suicide. Alors lorsque Pavel entre, décontracté, heureux, il y a quelque chose qui cloche…
Il est quand même un peu spécial Pavel, et le docteur s’en rendra compte assez vite, il a plus d’un tour et autre chose dans son sac, le fou bien sûr, quant au psy il soigne avec des proverbes, on n’y comprend goutte et Pavel s’impatiente…
Voilà une bien sympathique comédie, avec petit clin d’œil à Sir Alfred et son cultissime « Psychose », enfin c’est mon avis ! Bravo aussi au décor de Jean-Michel Adam.
Daniel Russo et son complice Philippe Lelièvre nous livrent une séance de psychanalyse avec humour, et nous font réfléchir aussi. Flavia Coste dont j’avais déjà apprécié « Non à l’argent ! » et « Alors on s’aime ! », a l’art de nous faire rire avec une petite pointe de vérité cinglante.
Un bon moment de détente à savourer sans modération !
Le docteur ne peut pas faire autrement que de recevoir Pavel, celui-ci lui a téléphoné le matin, au bord du suicide. Alors lorsque Pavel entre, décontracté, heureux, il y a quelque chose qui cloche…
Il est quand même un peu spécial Pavel, et le docteur s’en rendra compte assez vite, il a plus d’un tour et autre chose dans son sac, le fou bien sûr, quant au psy il soigne avec des proverbes, on n’y comprend goutte et Pavel s’impatiente…
Voilà une bien sympathique comédie, avec petit clin d’œil à Sir Alfred et son cultissime « Psychose », enfin c’est mon avis ! Bravo aussi au décor de Jean-Michel Adam.
Daniel Russo et son complice Philippe Lelièvre nous livrent une séance de psychanalyse avec humour, et nous font réfléchir aussi. Flavia Coste dont j’avais déjà apprécié « Non à l’argent ! » et « Alors on s’aime ! », a l’art de nous faire rire avec une petite pointe de vérité cinglante.
Un bon moment de détente à savourer sans modération !
8/10
Deux petites dames d’un certain âge s’exhibent en public pour un peu d’argent, elles ont chacune leur chaise, l’une est particulièrement hargneuse et n’apprécie pas sa nouvelle « voisine » ! ces deux femmes ont vécu, et vivent maintenant dans un monde aseptisé, il y a une brigade sanitaire qui surveille, le moindre insecte est neutralisé, mais nos deux commères ont plus d’un tour dans leur sac !
Eulalie Delpierre et Marilyn Pape campent avec humour et émotion leurs personnages, l’une ancienne comédienne et chanteuse, l’autre danseuse classique. Vieillir dans son corps mais pas dans la tête, acceptation de voir partir sa jeunesse et de voir survenir les problèmes du corps.
C’est une belle fable que nous conte Pierre Notte, et Marilyn Pape a su donner une mise en scène joyeuse et farceuse !
Eulalie Delpierre et Marilyn Pape campent avec humour et émotion leurs personnages, l’une ancienne comédienne et chanteuse, l’autre danseuse classique. Vieillir dans son corps mais pas dans la tête, acceptation de voir partir sa jeunesse et de voir survenir les problèmes du corps.
C’est une belle fable que nous conte Pierre Notte, et Marilyn Pape a su donner une mise en scène joyeuse et farceuse !
8/10
Elle, comédienne dans une minable troupe de théâtre, lui musicien avec son père, ils courent le cachet. Les deux jeunes gens se rencontrent sur le quai de la gare, c’est le coup de foudre ! ils décident de tout quitter pour vivre ensemble. Mais le passé d’Eurydice la rattrape.
Les deux jeunes gens doivent affronter l’une sa mère comédienne, cabotine et son amant, qui cite Musset à chaque instant ! Orphée doit faire comprendre à son père qu’il ne le rejoindra pas non plus pour le concert.
Mais après leur première nuit, Eurydice est confrontée à son passé, elle s’enfuit. Orphée apprendra l’accident mortel de sa bien-aimée. Alors un certain M. Henri propose un marché à Orphée, il pourra retrouver son Eurydice mais à une condition.
Une histoire triste, comme les aimait Jean Anouilh, elle est contée et interprétée avec talent par les comédiens dans une mise en scène sobre d’Emmanuel Gaury.
Histoire d’amour toujours, pièce « noire » créée en 1942 au théâtre de l’Atelier, le rôle-titre était tenue par Monelle Valentin épouse de l’auteur, Alain Cuny était Orphée.
Les deux jeunes gens doivent affronter l’une sa mère comédienne, cabotine et son amant, qui cite Musset à chaque instant ! Orphée doit faire comprendre à son père qu’il ne le rejoindra pas non plus pour le concert.
Mais après leur première nuit, Eurydice est confrontée à son passé, elle s’enfuit. Orphée apprendra l’accident mortel de sa bien-aimée. Alors un certain M. Henri propose un marché à Orphée, il pourra retrouver son Eurydice mais à une condition.
Une histoire triste, comme les aimait Jean Anouilh, elle est contée et interprétée avec talent par les comédiens dans une mise en scène sobre d’Emmanuel Gaury.
Histoire d’amour toujours, pièce « noire » créée en 1942 au théâtre de l’Atelier, le rôle-titre était tenue par Monelle Valentin épouse de l’auteur, Alain Cuny était Orphée.
9/10
Ecoutons donc ses nouvelles choisies, « La gouttière » où il est question d’amour bien sûr, mais pas que… voilà que notre héros est bien obligé d’escalader la fenêtre pour ne pas rencontrer le mari de madame !
«L’exil » toujours d’une douloureuse actualité… comment un jeune nigérien arrive en France, mais quel accueil et quelle destinée l’attendent.
La dernière nouvelle est plaisante, qui de nous n’a pas vu des reportages sur ces « fous » de la reconstitution historique ! « La bataille » c’est la victoire de Borodino, mais les deux protagonistes aussi « déjantés » l’un que l’autre ne s’entende pas mais ont un point commun !
Judith Magre lit avec délice et gourmandise ces trois nouvelles de Sylvain Tesson sous l’œil avisé de Thierry Harcourt, elle est amusante, émouvante.
On l’aime quoi !
«L’exil » toujours d’une douloureuse actualité… comment un jeune nigérien arrive en France, mais quel accueil et quelle destinée l’attendent.
La dernière nouvelle est plaisante, qui de nous n’a pas vu des reportages sur ces « fous » de la reconstitution historique ! « La bataille » c’est la victoire de Borodino, mais les deux protagonistes aussi « déjantés » l’un que l’autre ne s’entende pas mais ont un point commun !
Judith Magre lit avec délice et gourmandise ces trois nouvelles de Sylvain Tesson sous l’œil avisé de Thierry Harcourt, elle est amusante, émouvante.
On l’aime quoi !
8/10
.../...
Ah la la qu’on ne me critique plus les « services publics », ils se mettent en quatre pour satisfaire le simple péquin, seul, jeune ou vieux, et pas seulement en période de canicule !
Je vous laisse le soin de découvrir la méga teuf qu’organise Cécile pour l’anniversaire d’Oscar. On peut penser que c’est une joyeuse pochade, mais si le texte est léger, le sujet est quand même profond.
Hugo Ferraro et Jules Tarla se donnent à fond dans leurs rôles respectifs pour nous faire rire et réfléchir.
Ah la la qu’on ne me critique plus les « services publics », ils se mettent en quatre pour satisfaire le simple péquin, seul, jeune ou vieux, et pas seulement en période de canicule !
Je vous laisse le soin de découvrir la méga teuf qu’organise Cécile pour l’anniversaire d’Oscar. On peut penser que c’est une joyeuse pochade, mais si le texte est léger, le sujet est quand même profond.
Hugo Ferraro et Jules Tarla se donnent à fond dans leurs rôles respectifs pour nous faire rire et réfléchir.