Ses critiques
28 critiques
9/10
J'ai tellement aimé que j'y retourne prochainement. Mon avis n'est pas académique mais très personnel. C'est tout à fait le genre de pièce que je recherche.
Un texte subtil qui vous tient en haleine jusqu'à la fin. J'ai juste regretté la durée. Trop court ! Contrairement à certains avis je suis tombée raide dingue de Nicolas Vaude que je ne connaissais qu'à travers le cinéma ou la TV même si à l'origine j'y allais pour Thierry Godart.
J'ai également découvert le jeu de Davy Sardou. C'est une pièce à découvrir avec de vrais comédiens. Par contre ne comptez pas sur moi pour vous raconter l'histoire...
Un texte subtil qui vous tient en haleine jusqu'à la fin. J'ai juste regretté la durée. Trop court ! Contrairement à certains avis je suis tombée raide dingue de Nicolas Vaude que je ne connaissais qu'à travers le cinéma ou la TV même si à l'origine j'y allais pour Thierry Godart.
J'ai également découvert le jeu de Davy Sardou. C'est une pièce à découvrir avec de vrais comédiens. Par contre ne comptez pas sur moi pour vous raconter l'histoire...
9/10
Ça pique, ça grince, ça dérange parfois mais c'est tellement bien écrit qu'on ne peut que saluer le talent de Gaspard Proust.
Pour rire mais pas que...
Pour rire mais pas que...
7/10
Les premières salles sont un peu décevantes ... trop de chaussures et trop d'accessoires alors que l'on vient voir des robes et pas des études de robes (miniatures).
Après les choses s'arrangent car la chronologie reprend le dessus sur le fouillis des salles précédentes. La mise en scène est parfaite et les œuvres qui entourent les modèles viennent du Louvre et des musées parisiens.
Mais ce que j'ai retenu de l'exposition c'est que Dior a perdu gros en licenciant Galliano...
Après les choses s'arrangent car la chronologie reprend le dessus sur le fouillis des salles précédentes. La mise en scène est parfaite et les œuvres qui entourent les modèles viennent du Louvre et des musées parisiens.
Mais ce que j'ai retenu de l'exposition c'est que Dior a perdu gros en licenciant Galliano...
9/10
Quelle bonne idée !
En plus de démocratiser l'opéra, ces cantatrices au look improbable revisitent les œuvres avec beaucoup d'originalité.
De plus, elles performent en reprenant des airs chantées habituellement par des hommes : Don Giovanni et Tosca par exemple. Chapeau bas à mademoiselle Savari, la digne fille de son père qui réalise une mise en scène ciselée.
Je conseille vivement !
En plus de démocratiser l'opéra, ces cantatrices au look improbable revisitent les œuvres avec beaucoup d'originalité.
De plus, elles performent en reprenant des airs chantées habituellement par des hommes : Don Giovanni et Tosca par exemple. Chapeau bas à mademoiselle Savari, la digne fille de son père qui réalise une mise en scène ciselée.
Je conseille vivement !
10/10
C'était le bon moment et une idée géniale de faire appel à ce personnage que certains jugent clivant et sulfureux.
C'est l'homme de la situation pour déclamer des textes d'une autre époque et pourtant tellement d'actualité sur la citoyenneté, la liberté de la presse, la dérive du pouvoir, le racisme etc.
Un porteur de message devant une assemblée de tout âge (enfin plutôt jeune !) acquise à sa cause !
Seul petit regret, et bien oui, il fallait que je trouve quelque chose à redire... Je trouve qu'il est un peu prisonnier du prompteur !
C'est l'homme de la situation pour déclamer des textes d'une autre époque et pourtant tellement d'actualité sur la citoyenneté, la liberté de la presse, la dérive du pouvoir, le racisme etc.
Un porteur de message devant une assemblée de tout âge (enfin plutôt jeune !) acquise à sa cause !
Seul petit regret, et bien oui, il fallait que je trouve quelque chose à redire... Je trouve qu'il est un peu prisonnier du prompteur !