Ses critiques
46 critiques
9/10
Les pas de la danse folklorique bavaroise Schuhplattler répétés à l'infini ou presque, jusqu'au quasi épuisement des danseurs/performeurs sur scène.
Le rythme (frappe au sol, claquement des mains sur la cuisse, sur le pied, entre elles) est hypnotique et trotte dans nos têtes longtemps.
Très bien !
Le rythme (frappe au sol, claquement des mains sur la cuisse, sur le pied, entre elles) est hypnotique et trotte dans nos têtes longtemps.
Très bien !
8/10
Dans une ambiance très british qui n'est pas sans rappeler celles de la Compagnie 1927 avec Golem et The Animals And Children Took to the Streets!, le Collectif Quatre Ailes s'empare du roman de Charles Dickens The Mugby Junction dans une superbe mise en scène de théâtre d'objet à la limite du cinéma d'animation. Mugby est une ville imaginaire située en Angleterre et qui a la particularité d'être un immense nœud ferroviaire depuis lequel on peut se rendre dans n'importe quelle ville du pays. En pleine nuit y débarque un homme mélancolique et égaré dans la vie.
Les dispositifs scéniques sont multiples et fascinants, le Collectif Quatre Ailes reconstitue à l'aide de maquettes de maisons toute la ville de Mugby ou serpente des trains miniatures. Nous suivons les pérégrinations des différentes personnages à la fois sur scène ou projeté sur l'écran. C'est pour tous les publics à partir de 7 ans.
Un très grand moment de magie et de poésie pour retomber en enfance. Nous avons beaucoup aimé.
Les dispositifs scéniques sont multiples et fascinants, le Collectif Quatre Ailes reconstitue à l'aide de maquettes de maisons toute la ville de Mugby ou serpente des trains miniatures. Nous suivons les pérégrinations des différentes personnages à la fois sur scène ou projeté sur l'écran. C'est pour tous les publics à partir de 7 ans.
Un très grand moment de magie et de poésie pour retomber en enfance. Nous avons beaucoup aimé.
7/10
Le personnage d'Hamlet coincé quelque part dans une bibliothèque entre Moby Dick et Alice au pays des merveilles part à la recherche de William Shakespeare afin qu'il réécrive son histoire.
Commence une quête loufoque où se mélange le texte de la tragédie originale avec du "grand n'importe quoi" empruntés à différentes œuvres ( En attendant Godot, ...) et à l'imagination délirante de Charlotte Rondelez.
Autant le dire, ce n'est pas le genre de spectacle que j’apprécie le plus, et pourtant là, les situations décalées, les dialogues absurdes et les clowneries des acteurs prennent, j'y ai ri vraiment de bon cœur.
J'ai bien aimé.
Commence une quête loufoque où se mélange le texte de la tragédie originale avec du "grand n'importe quoi" empruntés à différentes œuvres ( En attendant Godot, ...) et à l'imagination délirante de Charlotte Rondelez.
Autant le dire, ce n'est pas le genre de spectacle que j’apprécie le plus, et pourtant là, les situations décalées, les dialogues absurdes et les clowneries des acteurs prennent, j'y ai ri vraiment de bon cœur.
J'ai bien aimé.
6,5/10
Gilles Ostrowsky seul sur scène revisite de manière déjantée le mythe des Atrides. Les Atrides, dans la mythologie grecque, c'est une suite de règlements de compte familiaux des plus sordides : meurtres, parricide, infanticide, inceste ... Avec comme point d'orgue : l’invitation d'Atrée à Thyeste, son frère, à un banquet. Après avoir massacré ses enfants, il les lui sert comme plat au cours du repas.
Gilles Ostrowsky conte et joue, c'est sanglant, empreint de malice et délirant. Il est totalement investi dans les différents rôles, je regrette toutefois une "certaine" baisse de rythme au fur et à mesure du déroulement de la pièce.
J'ai bien aimé.
Gilles Ostrowsky conte et joue, c'est sanglant, empreint de malice et délirant. Il est totalement investi dans les différents rôles, je regrette toutefois une "certaine" baisse de rythme au fur et à mesure du déroulement de la pièce.
J'ai bien aimé.
6/10
Pas vraiment réussi à rentrer dans cette pièce. Je trouve qu'elle souffre de la comparaison avec Nobody de Cyril Teste basée sur plusieurs écrits de Falk Richter.
La mise en scène de Victor Gauthier-Martin est toutefois beaucoup moins noire sur la critique du travail. De bonnes trouvailles sur le décor avec ses bureaux qui se retrouve assemblé en banquise pour phoque en perdition.
J'ai un peu aimé.
La mise en scène de Victor Gauthier-Martin est toutefois beaucoup moins noire sur la critique du travail. De bonnes trouvailles sur le décor avec ses bureaux qui se retrouve assemblé en banquise pour phoque en perdition.
J'ai un peu aimé.