- Comédie Contemporaine
- Théâtre de la Madeleine
- Paris 8ème
Les grandes ambitions, avec Matt Pokora
- Matt Pokora
- Philippe Lellouche
- Estelle Lefébure
- Théâtre de la Madeleine
- 19, rue de Surène
- 75008 Paris
- Madeleine (l.8, l.12, l.14)
Yvan et Fred sont deux amis copains comme cochons. Un lien qui n'est pas prêt de s'effriter, même en vieillissant.
C'est vrai qu'il y a quelques années, ils ont échoué en essayant de créer leur karaoké, mais cela n'a pas laissé de traces. Ils se laissent vivre sans penser au lendemain.
Charlotte, la copine de Fred, n'est pas sur la même longueur d'ondes. Pour rester avec elle, Fred a fait la promesse à Charlotte de passer un petit entretien d’embauche.
Cet ultime tentative pourrait lui offrir un nouveau départ, une dernière chance de devenir quelqu'un. Pourtant, Yvan et Fred ont d’autres projets qui pourraient bien tout gâcher.
C'est la première fois que Matt Pokora montera sur scène. Il s'était déjà essayé au jeu d'acteur avec une apparition dans le téléfilm de Martin Lamotte Le Premier Oublié.
Cette comédie est mise en scène par Philippe Lellouche, qui assure la direction artistique du Théâtre de la Madeleine.
Adrien Raccah est auteur de roman et pièces de théâtre.
Dialogues mal écrits, sans finesse, personnages caricaturaux (le loser, le débile et la potiche), mise en scène plate, décor moche. On n'y croit pas une minute, et je me demande encore où et quand on est censé rire.
Une pièce écrite à la va-vite pour les fans de Pokora. Estelle Lefébure aussi insignifiante que son personnage. Philippe Lellouche en fait des tonnes en loser. C'est nullissime.
La seule chose drôle, c'est le titre.
L'ambition était peut-être grande mais le résultat tout petit.
Matt Pokota est le moins pire des 3 acteurs, il pousse quelques notes et essaie de jouer un peu avec le public mais les 2 autres acteurs sont sans reliefs. Il faut avouer que le texte est d’une platitude incroyable. Ça faisait bien longtemps que je n’avais pas eu envie de quitter la salle …
J’imagine qu’il fait vraiment avoir besoin de gagner sa vie pour jouer ces rôles et cette pièce, franchement c’est l’apologie de la bêtise.
