Elodie Poux, Le syndrome du playmobil

De nos jours, c’est un fait : de moins en moins de personnes exercent le même métier tout au long de leur vie. Une chose est certaine, en matière de reconversion professionnelle réussie, Elodie Poux pourrait faire figure de référence.

Animatrice petite enfance, elle va décider un matin de quitter la cour d’école pour la scène et de ne plus amuser les petits mais les adultes. Grand bien lui en a pris !

Avec une énergie débordante et communicative, Elodie Poux dépeint le monde (impitoyable) qui a constitué son quotidien pendant plus de dix ans. Avec un humour grinçant, elle raconte ses aventures (le mot n’est pas exagéré) auprès des enfants, mais aussi les joies d’être parents. A peine le projecteur est-il allumé que le spectacle démarre en fanfare … ou plutôt en éclat de rire. En effet, le spectateur n’aura pas longtemps à attendre avant de faire fonctionner ses zygomatiques. Bien sûr, la désormais célèbre Kimberley est présente, mais également tellement d’autres personnages … dont je ne dirai rien afin de ne déflorer aucune surprise.

En un peu plus d’une heure, Elodie Poux dresse un tableau férocement drôle des enfants et de la famille.
Un one-woman-show véritablement jubilatoire qui ose tout.
A ne surtout pas manquer !

Une nana qui ose tout et qui a réussi à me faire pleurer de rire ! Merci Elodie POUX.