Critiques pour l'événement Pockemon Crew
C’est une performance de danse, un cocktail qui m’a plu, alliant des mouvements de danses contemporaines (Breakdance…) sur des musiques d’une grande diversité (latino, jazzy…)
Les danseurs maitrisent leur art. Les tableaux se suivent, exécutés avec justesse.
La mise en scène et le jeu des sons et des lumières contribuent à cette agréable performance.
Seul bémol : il faut être dans les 1 ers rangs à Bobino pour apprécier une bonne partie du spectacle car qui dit Breakdance dit Danse au sol. La configuration du théâtre montre ses limites pour ce spectacle.
Les danseurs maitrisent leur art. Les tableaux se suivent, exécutés avec justesse.
La mise en scène et le jeu des sons et des lumières contribuent à cette agréable performance.
Seul bémol : il faut être dans les 1 ers rangs à Bobino pour apprécier une bonne partie du spectacle car qui dit Breakdance dit Danse au sol. La configuration du théâtre montre ses limites pour ce spectacle.
J'ai été un peu déçue par ce spectacle.
A vrai dire, j'avais beaucoup d'attentes. Je m'imaginais un spectacle mêlant danse contemporaine et hip hop avec un rythme endiablé et bien ficelé. Malheureusement je n'ai pas ressenti ça. J'ai trouvé l'écriture, ô combien importante pour réussir un spectacle vivant, bâclée. L'histoire n'a pas vraiment de sens (ou je ne l'ai pas comprise) et les quelques intermèdes "poétiques" étaient assez plats et faciles.
Je sentais les danseurs un peu crispés, hésitants, pas sûrs de leurs mouvements...
Dommage.
A vrai dire, j'avais beaucoup d'attentes. Je m'imaginais un spectacle mêlant danse contemporaine et hip hop avec un rythme endiablé et bien ficelé. Malheureusement je n'ai pas ressenti ça. J'ai trouvé l'écriture, ô combien importante pour réussir un spectacle vivant, bâclée. L'histoire n'a pas vraiment de sens (ou je ne l'ai pas comprise) et les quelques intermèdes "poétiques" étaient assez plats et faciles.
Je sentais les danseurs un peu crispés, hésitants, pas sûrs de leurs mouvements...
Dommage.
Riyad Fghani a décidé d'interroger le spectateur sur la jeunesse qui est accro aux réseaux sociaux, et menant une vie ultra-connectée. Je ne sais pas si le message a bien été passé car plusieurs personnes se sont permises de filmer dans la salle pendant le spectacle. Ma filleule de 17 ans m'a demandé si elle avait le droit de le faire aussi. La réponse fut un non catégorique. Ce fut difficile pour elle de ne pas prendre son smartphone pendant 1h00. L'addiction est bien là et révèle l'état d'esprit d'une nouvelle société.
C'est avec un peu de retard que commence le spectacle et il débute avec une certaine lenteur. Doucement, des danseurs viennent s'asseoir sur scène, discutent, chantent et jouent de la guitare. Puis doucement, ils se mettent à faire des mouvements et le spectacle débute vraiment. Plus il avance et plus les effets visuels sont perfectionnés. Les artistes connaissent parfaitement leur travail et la maîtrise se fait sentir assez vite, même si l'ensemble n'est pas totalement homogène. Parfois, lorsqu'ils sont plusieurs à faire la même chose, on y voit un petit décalage. Mais ce n'est pas grave, ce n'est pas une battle où des crews s'affrontent.
Les tableaux se suivent et la beauté de la mise en scène s'affirme. Ainsi, le travail du danseur est plus valorisé. J'ai beaucoup apprécié le moment où un danseur seul en scène torse nu s'est mis à danser et la lumière se reflétait sur sa peau. De même lorsqu'ils dansent ensemble où des mains projetées se dirigent vers eux. Et aussi le duo, où les corps s'entremêlent et se mélange pour n'en créer qu'un. Les beaux moments ne manquent pas. Ils pourraient intégrer les grandes compagnies de cirque qui insèrent maintenant de la danse comme il la pratique. Maintenant sur 2h00 de cirque, il y a au moins 1h00 de danse.
En plus, le spectacle dure juste 1h00. C'est tellement plaisant à voir que j'ai été étonné que le spectacle se termine si vite. Quand on est dedans et que l'on trouve cela beau on a envie que cela dure. Mais 1h00 c'est court, d'autant plus qu'ils ne sont pas tous ensemble tout le temps du spectacle. Et il y au moins 10 min de spectacle où le metteur en scène parle du changement de société, de la montée du FN, des préjugés... J'aurais apprécié au moins 15 moins supplémentaires. Peut-être que le format a été adapté à ces accros du smartphone qui ont bien du mal à se concentrer un moment.
Un beau spectacle où le breakdance a laissé place à la danse plus contemporaine où les genres se mélangent.
C'est avec un peu de retard que commence le spectacle et il débute avec une certaine lenteur. Doucement, des danseurs viennent s'asseoir sur scène, discutent, chantent et jouent de la guitare. Puis doucement, ils se mettent à faire des mouvements et le spectacle débute vraiment. Plus il avance et plus les effets visuels sont perfectionnés. Les artistes connaissent parfaitement leur travail et la maîtrise se fait sentir assez vite, même si l'ensemble n'est pas totalement homogène. Parfois, lorsqu'ils sont plusieurs à faire la même chose, on y voit un petit décalage. Mais ce n'est pas grave, ce n'est pas une battle où des crews s'affrontent.
Les tableaux se suivent et la beauté de la mise en scène s'affirme. Ainsi, le travail du danseur est plus valorisé. J'ai beaucoup apprécié le moment où un danseur seul en scène torse nu s'est mis à danser et la lumière se reflétait sur sa peau. De même lorsqu'ils dansent ensemble où des mains projetées se dirigent vers eux. Et aussi le duo, où les corps s'entremêlent et se mélange pour n'en créer qu'un. Les beaux moments ne manquent pas. Ils pourraient intégrer les grandes compagnies de cirque qui insèrent maintenant de la danse comme il la pratique. Maintenant sur 2h00 de cirque, il y a au moins 1h00 de danse.
En plus, le spectacle dure juste 1h00. C'est tellement plaisant à voir que j'ai été étonné que le spectacle se termine si vite. Quand on est dedans et que l'on trouve cela beau on a envie que cela dure. Mais 1h00 c'est court, d'autant plus qu'ils ne sont pas tous ensemble tout le temps du spectacle. Et il y au moins 10 min de spectacle où le metteur en scène parle du changement de société, de la montée du FN, des préjugés... J'aurais apprécié au moins 15 moins supplémentaires. Peut-être que le format a été adapté à ces accros du smartphone qui ont bien du mal à se concentrer un moment.
Un beau spectacle où le breakdance a laissé place à la danse plus contemporaine où les genres se mélangent.
Quand ils entrent en scène, ils ne démarrent pas de suite par de la danse, on voit une bande de copains qui se retrouve puis ils commencent à danser avec une belle technicité en alternant tableaux de groupe et performances en solo ou duo.
Le collectif Pockemon crew nous livre un spectacle mélant figures de hip hop et de danse contemporaine, c'est réussi. Il sont impressionnants. La performance est physique et ce n'est pas pour rien que le spectacle ne dure qu'une heure.
Ce spectacle Hashtag 2.0 a pour fil notre société où nous passons plus de temps les yeux rivés sur nos écrans alors qu'il y a de belles choses à voir autour de nous. Cependant, je trouve que l'enchainement des morceaux comportent beaucoup trop de silences et de blancs et nous sommes souvent plongés dans le noir.
Là où le bas blesse, c'est dans les lumières choisies, il y a beaucoup d'ombre sur scène, on ne voit pas toujours comme il faut les figures réalisées. Comme une bonne partie de ces figures sont au niveau du sol et que vu la configuration de l'orchestre à Bobino, on ne voit que très peu le sol de la scène ( à moins d'être au premier rang) donc on ne profite pas du spectacle à 100%.
Mon conseil : Il vaut mieux être à la mezzanine pour profiter pleinement des chorégraphies.
Le collectif Pockemon crew nous livre un spectacle mélant figures de hip hop et de danse contemporaine, c'est réussi. Il sont impressionnants. La performance est physique et ce n'est pas pour rien que le spectacle ne dure qu'une heure.
Ce spectacle Hashtag 2.0 a pour fil notre société où nous passons plus de temps les yeux rivés sur nos écrans alors qu'il y a de belles choses à voir autour de nous. Cependant, je trouve que l'enchainement des morceaux comportent beaucoup trop de silences et de blancs et nous sommes souvent plongés dans le noir.
Là où le bas blesse, c'est dans les lumières choisies, il y a beaucoup d'ombre sur scène, on ne voit pas toujours comme il faut les figures réalisées. Comme une bonne partie de ces figures sont au niveau du sol et que vu la configuration de l'orchestre à Bobino, on ne voit que très peu le sol de la scène ( à moins d'être au premier rang) donc on ne profite pas du spectacle à 100%.
Mon conseil : Il vaut mieux être à la mezzanine pour profiter pleinement des chorégraphies.