C'est une pièce agréable à voir. On sourit, mais personnellement, je m'y suis un peu ennuyée. C'est une pièce de boulevard agréable mais un peu "trop".
Situation rocambolesque, un peu désuet. Berléand est très bon. Mais franchement la pièce n'est vraiment pas exceptionnelle.

J'ai passé un moment agréable. Les situations comiques et les répliques sont bonnes mais ce n'est pas la pièce du siècle.
En deuxième partie, un long monologue de Mathilde Seigner n'apporte malheureusement pas grand chose.

Rocambolesque, "Nina" nous fait rire du début jusqu’à la fin. Mathilde Seigner en amante femme fatale est parfaite, François Vincentelli se prête à merveille au ridicule de la pièce et François Berléand... il est bluffant de bout en bout tant sa prestation est remarquable.
C'est beaucoup de plaisir, ça réchauffe les coeurs en cette fin d'automne.

Je suis allé voir cette pièce en trainant les pieds. Pour moi, Roussin, c’est un auteur de boulevard un peu vieillot, connoté ‘Au Théâtre ce soir’ et plusieurs amis qui avaient vu la pièce, des soirs différents, m’avaient dit que Mathilde Seigner hurlait beaucoup trop.
J’ai eu de la chance, il me semble que Matilde Seigner était un peu malade. Elle ne criait pas. Elle avait une jolie voix grave, très agréable à écouter. Elle a été excellente. Berléand est fabuleux. Il nous offre une prestation mémorable. C’est du très très grand Berléand. C’est difficile pour le troisième comédien, François Vincentelli, d’exister face à ces deux comédiens exceptionnels. J’ai trouvé la pièce très bien écrite et drôle.
C’est du théâtre de boulevard haut de gamme. J’ai ri énormément et je n’ai pas honte d’avoir ri. La mise en scène de Bernard Murat est comme toujours simple et efficace, au service du texte et des comédiens. J’ai passé une bonne soirée de détente.

Mathilde Seigner est belle et joue à la perfection. J'ai vraiment trouvé cette pièce top !

Une pièce trop longue, sans magie, qui ne démarre pas. Mathilde Seigner crie beaucoup, comme à son habitude. Ses répliques n'ont pas beaucoup d'intérêt. Le rôle de l'amant est sans relief. Heureusement que François Berléand évite que la pièce devienne une catastrophe grâce à la justesse de son jeu.