Eva Duarte, puis Eva Peron, Evita... ça promettait une belle soirée historique...

Je n'ai pas du tout apprécié cette version de l'histoire à la première personne.

Aucun décor et Sebastian Galeota qui reste planté statique au centre de la scène dans une robe sculpturale de Franck Sorbier (robe qui occupe presque toute la scène), avec une perruque blonde et un maquillage très élaboré qui déclame (voir qui hurle par moment avec un accent argentin très prononcé) des saynettes de la vie d'Evita.

Ce n'est pas ce que je voulais voir et entendre même si je reconnais qu'il y a eu un sacré travail pour présenter ce monologue.