Critiques pour l'événement Ça n'arrive pas qu'aux autres
N'est pas "Le père Noël est une ordure" qui veut.
Même si l'idée de départ est sympa, une simple visite de maison qui vire au drame, la mise en scène est tellement poussive qu'on a du mal à ne pas décrocher.
Ça hurle du début à la fin, ça se met à poil un peu gratuitement, les blagues sont souvent lourdes, les gros mots sont fournis au kilo.
Mais on s'attache au comédien principal qui joue bien le jeu du fou furieux. Il suscite ma curiosité de le voir dans un autre registre.
Ça aurait mérité d'évoluer plus doucement, que ça monte en puissance.
On en sort épuisé, rincé autant que les comédiens qui dégoulinent, et surtout à me demander pendant 10mn "mais pourquoi ça ?".
Revu, corrigé, travaillé avec un metteur en scène de talent et un peu subtil je suis sûre qu'on pourrait en sortir quelque chose d'intéressant.
Là on a juste envie que ça se termine.
Même si l'idée de départ est sympa, une simple visite de maison qui vire au drame, la mise en scène est tellement poussive qu'on a du mal à ne pas décrocher.
Ça hurle du début à la fin, ça se met à poil un peu gratuitement, les blagues sont souvent lourdes, les gros mots sont fournis au kilo.
Mais on s'attache au comédien principal qui joue bien le jeu du fou furieux. Il suscite ma curiosité de le voir dans un autre registre.
Ça aurait mérité d'évoluer plus doucement, que ça monte en puissance.
On en sort épuisé, rincé autant que les comédiens qui dégoulinent, et surtout à me demander pendant 10mn "mais pourquoi ça ?".
Revu, corrigé, travaillé avec un metteur en scène de talent et un peu subtil je suis sûre qu'on pourrait en sortir quelque chose d'intéressant.
Là on a juste envie que ça se termine.
Je sais d'avance qu'on va me reprocher d'avoir (mauvais) goût. Je suis capable de goûter une pièce jouée à la Comédie française (où elles ne sont pas toutes excellentes d'ailleurs à ce que j'entends en ce moment) comme d'apprécier une comédie franchement premier degré.
Je suis allée voir Ça n'arrrive pas qu'aux autres parce que je tenais à avoir une opinion personnelle du jeu de Nicolas Martinez parce qu'il est nommé dans la catégorie "révélation masculine" pour les Molières. Comme je vais assister à la soirée il me semble plus sérieux de savoir de qui on parlera.
Avec une soixantaine de pièces sur mon agenda depuis septembre dernier je n'ai pas (pas encore mais je rattrape, je rattrape) vu la liste entière. J'avoue que je n'aurais pas pensé spontanément à aller au Café de la gare.
C'est pourtant un lieu hautement historique que l'on doit à la volonté de Sotha, Miou-Miou, Patrick Dewaere, Jean-Michel Haas, Henri Guybet, Coluche, Catherine Mitry, Gérard Lefèvre, Romain Bouteille. Ils ouvrent une première salle en juin 1969 à Montparnasse. Elle s'avère trop petite (moins de 200 places) et la bande migre pour un ancien relai de poste, dans une arrière-cour de la rue du Temple en 1972.
Aujourd'hui co-dirigé par Sotha et Philippe Manesse c'est devenu un théâtre privé de 300 places. L'esprit des fondateurs flotte encore dans les lieux qui ne semblent pas avoir vieilli.
Pour apprécier Ça n'arrive pas qu'aux autres il faut se laisser porter par le jeu des acteurs qui va crescendo depuis une relative normalité jusqu'à la folie dévastatrice.
Les quatre acteurs ne quittent jamais la scène et jouent sans répit. ils composent deux couples que tout apparemment oppose : des parisiens en quête d'une petite maison à la campagne et des provinciaux criblés de dettes et carrément borderline.
Les premiers sont pressés de visiter l'endroit pour vérifier s'il correspond à leur idéal. Les seconds préviennent qu'ici c'est pas l'Eldorado, voilà c'est dit. Mais ils les ont piégés et vont s'amuser d'eux comme des chats titilleraient des souris. Dès que l'on pense que la situation va se rétablir elle dérape de plus belle.
Certes, le jeu de Nicola Martinez est "forcé" mais il sait faire rire alors pardonnons lui les excès qui collent à la peau de son personnage. Sa compagne, Pascale Oudot lui donne la réplique sur la même longueur d'onde avec beaucoup d'énergie. Je l'avais vue il y a quatre ans dans le Roi nu de Philippe Awat. Ariane Boumendil n'est pas en reste et se révèle de plus en plus déjantée.
Apparemment solide, Benoît Moret pètera littéralement les plombs à la fin d'une soirée cauchemardesque qui m'a fait penser à Horror.
On aime ... ou pas. C'est absurde mais cohérent et cela fait du bien de rire du malheur des autres. C'est aussi cela le théâtre !
Je suis allée voir Ça n'arrrive pas qu'aux autres parce que je tenais à avoir une opinion personnelle du jeu de Nicolas Martinez parce qu'il est nommé dans la catégorie "révélation masculine" pour les Molières. Comme je vais assister à la soirée il me semble plus sérieux de savoir de qui on parlera.
Avec une soixantaine de pièces sur mon agenda depuis septembre dernier je n'ai pas (pas encore mais je rattrape, je rattrape) vu la liste entière. J'avoue que je n'aurais pas pensé spontanément à aller au Café de la gare.
C'est pourtant un lieu hautement historique que l'on doit à la volonté de Sotha, Miou-Miou, Patrick Dewaere, Jean-Michel Haas, Henri Guybet, Coluche, Catherine Mitry, Gérard Lefèvre, Romain Bouteille. Ils ouvrent une première salle en juin 1969 à Montparnasse. Elle s'avère trop petite (moins de 200 places) et la bande migre pour un ancien relai de poste, dans une arrière-cour de la rue du Temple en 1972.
Aujourd'hui co-dirigé par Sotha et Philippe Manesse c'est devenu un théâtre privé de 300 places. L'esprit des fondateurs flotte encore dans les lieux qui ne semblent pas avoir vieilli.
Pour apprécier Ça n'arrive pas qu'aux autres il faut se laisser porter par le jeu des acteurs qui va crescendo depuis une relative normalité jusqu'à la folie dévastatrice.
Les quatre acteurs ne quittent jamais la scène et jouent sans répit. ils composent deux couples que tout apparemment oppose : des parisiens en quête d'une petite maison à la campagne et des provinciaux criblés de dettes et carrément borderline.
Les premiers sont pressés de visiter l'endroit pour vérifier s'il correspond à leur idéal. Les seconds préviennent qu'ici c'est pas l'Eldorado, voilà c'est dit. Mais ils les ont piégés et vont s'amuser d'eux comme des chats titilleraient des souris. Dès que l'on pense que la situation va se rétablir elle dérape de plus belle.
Certes, le jeu de Nicola Martinez est "forcé" mais il sait faire rire alors pardonnons lui les excès qui collent à la peau de son personnage. Sa compagne, Pascale Oudot lui donne la réplique sur la même longueur d'onde avec beaucoup d'énergie. Je l'avais vue il y a quatre ans dans le Roi nu de Philippe Awat. Ariane Boumendil n'est pas en reste et se révèle de plus en plus déjantée.
Apparemment solide, Benoît Moret pètera littéralement les plombs à la fin d'une soirée cauchemardesque qui m'a fait penser à Horror.
On aime ... ou pas. C'est absurde mais cohérent et cela fait du bien de rire du malheur des autres. C'est aussi cela le théâtre !
J'en conviens, la pièce peut aller dans certaines facilités, reste néanmoins que l'on est dans un vrai univers, une vraie proposition de comédie, proche dans l'esprit, des films de Kervern et Delépine.
C'est décalé, foutraque, parfois même invraisemblable, mais qu'importe, l'énergie des comédiens nous entraîne dans ce grand délire. Et ça fait du bien !
Mention spéciale à Nicolas Martinez, nerveux à souhait, que j'avais découvert dans la Troupe à Palmade.
C'est décalé, foutraque, parfois même invraisemblable, mais qu'importe, l'énergie des comédiens nous entraîne dans ce grand délire. Et ça fait du bien !
Mention spéciale à Nicolas Martinez, nerveux à souhait, que j'avais découvert dans la Troupe à Palmade.
Un couple parisien se rend à la campagne pour visiter une maison à vendre et sont reçus par les actuels propriétaires mais la visite ne va pas se dérouler comme prévue…
A partir de ce postulat prometteur le duo d’auteurs Nicolas MARTINEZ et Benoît MOREL, deux comédiens issus de la troupe à Palmade, ont imaginé ÇA N’ARRIVE PAS QU’AUX AUTRES, une comédie originale et complètement barrée que nous propose le Café de la Gare depuis fin août dernier. Ça faisait donc un petit moment que je voulais la découvrir et si l’attente fut longue la pièce s’avère finalement très inégale et beaucoup trop barrée pour convaincre.
Si la pièce enchaîne, parfois maladroitement, quelques bons moments poilants, sur la longueur elle ne tient pas ses promesses, la faute à des personnages manichéens et (beaucoup trop) caricaturaux évoluant au gré d’un scénario improbable aussi fin qu’un filtre à cigarette. Du coup la pièce s’empêtre assez vite dans une absence totale d’enjeu : on ne voit pas où les auteurs veulent nous emmener et on ne comprend pas toujours les motivations du couple vendeur et encore moins les réactions du couple acheteur. Coté écriture c’est la déception, pas assez de bonnes répliques et des effets de manches (si j’ose dire) faciles qui se répètent : ici le sein de Pascale OUDOT, là le fessier velu de Guillaume CLÉRICE et même “l’intimité” intégrale d’un MARTINEZ sous la douche. Certes on rit (par surprise) face à cet étalage inattendu de chair mais je ne vois pas trop ce que ça apporte à la pièce si ce n’est un effet comique facile et gratuit pour obtenir quelques rires gênés ou enthousiastes, c’est selon.
Du coup la folie et l’extravagance des personnages, notamment celui interprété par le couple de vendeur MARTINEZ/OUDOT), vient composer la faiblesse du scénario. Même la fin, improbable et incompréhensible puisqu’annoncée en plein milieu de la pièce, n’arrive pas à relever le niveau et ne finit pas sur l’éclat de rire attendu.
Saluons néanmoins la belle énergie de la troupe avec des comédiens qui ne se ménagent pas et qui se donnent à 100%. Même à 300% en ce qui concerne Nicolas MARTINEZ, (trop) surexcité, (trop) intense, hurlant en permanence, en un mot (vraiment, mais alors vraiment) fatiguant. Et moi j’ai toujours eu du mal avec les personnages trop exubérants, du type qu’on ne rencontre jamais vraiment au quotidien. Face à lui je regrette l’absence de Benoît MOREL, remplacé par un CLÉRISSE fade mais qui fait son maximum avec un personnage inexistant qui n’a aucune réplique comique (du coup je ne suis pas sur que MOREL s’en soit mieux sorti). Je ne comprends pas trop le travail d’écriture qui laisse une large place au personnage antipathique de MARTINEZ et qui laisse de coté son comparse masculin pendant une bonne partie de la pièce… J’ai par contre particulièrement apprécié les prestations de deux comédiennes Pascale OUDOT et Arianne BOUMENDIL qui interprètent les épouses désabusées et qui pètent respectivement les plombs dans des scènes vraiment réussies. Elles font le show sans en faire des caisses et malgré leur rôle secondaire arrivent à nous faire passer un bon moment et à rattraper le côte hystérique de MARTINEZ.
Vous l’aurez compris la pièce ne m’a pas spécialement convaincu (je n’étais peut-être pas dans un bon jour, allez savoir). N’en demeure pas moins que la proposition des auteurs démontre un vrai univers et une certaine originalité. Mais au final on adhère ou pas et moi, pour le coup, c’est plutôt pas, la folie excessive des personnages ayant eu raison de mon enthousiasme.
A partir de ce postulat prometteur le duo d’auteurs Nicolas MARTINEZ et Benoît MOREL, deux comédiens issus de la troupe à Palmade, ont imaginé ÇA N’ARRIVE PAS QU’AUX AUTRES, une comédie originale et complètement barrée que nous propose le Café de la Gare depuis fin août dernier. Ça faisait donc un petit moment que je voulais la découvrir et si l’attente fut longue la pièce s’avère finalement très inégale et beaucoup trop barrée pour convaincre.
Si la pièce enchaîne, parfois maladroitement, quelques bons moments poilants, sur la longueur elle ne tient pas ses promesses, la faute à des personnages manichéens et (beaucoup trop) caricaturaux évoluant au gré d’un scénario improbable aussi fin qu’un filtre à cigarette. Du coup la pièce s’empêtre assez vite dans une absence totale d’enjeu : on ne voit pas où les auteurs veulent nous emmener et on ne comprend pas toujours les motivations du couple vendeur et encore moins les réactions du couple acheteur. Coté écriture c’est la déception, pas assez de bonnes répliques et des effets de manches (si j’ose dire) faciles qui se répètent : ici le sein de Pascale OUDOT, là le fessier velu de Guillaume CLÉRICE et même “l’intimité” intégrale d’un MARTINEZ sous la douche. Certes on rit (par surprise) face à cet étalage inattendu de chair mais je ne vois pas trop ce que ça apporte à la pièce si ce n’est un effet comique facile et gratuit pour obtenir quelques rires gênés ou enthousiastes, c’est selon.
Du coup la folie et l’extravagance des personnages, notamment celui interprété par le couple de vendeur MARTINEZ/OUDOT), vient composer la faiblesse du scénario. Même la fin, improbable et incompréhensible puisqu’annoncée en plein milieu de la pièce, n’arrive pas à relever le niveau et ne finit pas sur l’éclat de rire attendu.
Saluons néanmoins la belle énergie de la troupe avec des comédiens qui ne se ménagent pas et qui se donnent à 100%. Même à 300% en ce qui concerne Nicolas MARTINEZ, (trop) surexcité, (trop) intense, hurlant en permanence, en un mot (vraiment, mais alors vraiment) fatiguant. Et moi j’ai toujours eu du mal avec les personnages trop exubérants, du type qu’on ne rencontre jamais vraiment au quotidien. Face à lui je regrette l’absence de Benoît MOREL, remplacé par un CLÉRISSE fade mais qui fait son maximum avec un personnage inexistant qui n’a aucune réplique comique (du coup je ne suis pas sur que MOREL s’en soit mieux sorti). Je ne comprends pas trop le travail d’écriture qui laisse une large place au personnage antipathique de MARTINEZ et qui laisse de coté son comparse masculin pendant une bonne partie de la pièce… J’ai par contre particulièrement apprécié les prestations de deux comédiennes Pascale OUDOT et Arianne BOUMENDIL qui interprètent les épouses désabusées et qui pètent respectivement les plombs dans des scènes vraiment réussies. Elles font le show sans en faire des caisses et malgré leur rôle secondaire arrivent à nous faire passer un bon moment et à rattraper le côte hystérique de MARTINEZ.
Vous l’aurez compris la pièce ne m’a pas spécialement convaincu (je n’étais peut-être pas dans un bon jour, allez savoir). N’en demeure pas moins que la proposition des auteurs démontre un vrai univers et une certaine originalité. Mais au final on adhère ou pas et moi, pour le coup, c’est plutôt pas, la folie excessive des personnages ayant eu raison de mon enthousiasme.
Absurde à souhait, beaucoup d’énergie sur scène mais néanmoins une écriture un peu faible, des blagues faciles, de la nudité gratuite et trop de caricature.
Dans la Veine du Père Noël est une Ordure pour ceux qui aiment.
Dans la Veine du Père Noël est une Ordure pour ceux qui aiment.
En 2013, Benoît Moret s’était distingué avec À Flanc de colline, une première comédie fine et timbrée sur fond de coquillages et de crustacés. Deux ans après, le protégé de Pierre Palmade co-signe avec Nicolas Martinez une nouvelle mouture baptisée Ça n’arrive pas qu’aux autres au Café de la Gare. Ce titre prémonitoire confirme malheureusement l’adage selon lequel la seconde œuvre d’un artiste réserve son lot de déceptions. S’embourbant dans des facilités tapageuses, le trentenaire tombe dans le piège d’une outrance collective et néglige de dessiner ses personnages avec nuance. Voulant sans doute négocier un virage plus vendeur après l’échec commercial de sa première pièce, Benoît Moret signe un divertissement honnête mais pas assez abouti.
Benoît Moret et Nicolas Martinez peinent à exploiter le potentiel angoissant de leur comédie en le noyant sous une avalanche de paranoïa hystérique, au pire exaspérante, au mieux lassante. Aucune progression dramatique, tant dans le déroulement de l’intrigue que dans l’évolution des personnages : le talent du quatuor n’est pas à remettre en question, ils s’en sortent tous bien (sauf Nicolas Martinez, décidément trop borderline et braillard).
La pièce verse dans une caricature trop grossière pour se distinguer de la masse : du nu totalement injustifié pour rameuter le chaland, des jeux de mots douteux, une fin invraisemblable… Bref, on reste très loin de la qualité d’écriture du premier opus de Moret et la consternation est d’autant plus grande que l’attente était forte. Ne soyons pas mesquins, les rires ont bien fusé mais mécaniquement.
En ne faisant pas dans la dentelle, le duo aux commandes parviendra sans aucun doute à ratisser large et à cartonner en salle mais les zygomatiques se sont un peu rouillées en chemin…
Benoît Moret et Nicolas Martinez peinent à exploiter le potentiel angoissant de leur comédie en le noyant sous une avalanche de paranoïa hystérique, au pire exaspérante, au mieux lassante. Aucune progression dramatique, tant dans le déroulement de l’intrigue que dans l’évolution des personnages : le talent du quatuor n’est pas à remettre en question, ils s’en sortent tous bien (sauf Nicolas Martinez, décidément trop borderline et braillard).
La pièce verse dans une caricature trop grossière pour se distinguer de la masse : du nu totalement injustifié pour rameuter le chaland, des jeux de mots douteux, une fin invraisemblable… Bref, on reste très loin de la qualité d’écriture du premier opus de Moret et la consternation est d’autant plus grande que l’attente était forte. Ne soyons pas mesquins, les rires ont bien fusé mais mécaniquement.
En ne faisant pas dans la dentelle, le duo aux commandes parviendra sans aucun doute à ratisser large et à cartonner en salle mais les zygomatiques se sont un peu rouillées en chemin…
Une comédie absurde et burlesque dans la lignée de celles qui ont fait les grandes heures du Café de la Gare.
Benoit MORET et Nicolas MARTINEZ s'en donnent à cœur joie pour le plus grand plaisir du public. Un humour parfois un peu gras et des comédiens qui débordent d'une énergie exceptionnelle et communicative.
On ne boude pas son plaisir face à cette farce qui va cartonner.
Benoit MORET et Nicolas MARTINEZ s'en donnent à cœur joie pour le plus grand plaisir du public. Un humour parfois un peu gras et des comédiens qui débordent d'une énergie exceptionnelle et communicative.
On ne boude pas son plaisir face à cette farce qui va cartonner.
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